Le mouvement «Ensemble pour la République» (Epr) qui se présente comme un creuset citoyen en vue d’une «cohabitation harmonieuse et parfaite des peuples de Côte d’Ivoire» dans la perspective du processus de paix, étend sa toile sur l’étendue du territoire national.
Le week-end dernier, c’est le département de Vavoua (centre-ouest), précisément les localités de Bazra-Natis, Dania et Seitifla qui ont vu leurs sections installées en présence du président national, Adolphe Gnagno.
Au plan local, le président de la coordination de Vavoua, Kouamé Eugène, propose l’organisation de manifestations d’envergure en vue de traduire dans les actes quotidiens «la cohabitation harmonieuse et parfaite entre les communautés allochtones baoulé, malinké, sénoufo ; voisines, gouro et bété ; autochtones, niédiéboua, et les communautés allogènes».
Créé en 2006 à Gagnoa, le mouvement Epr se veut à équidistance de toutes les idéologies et chapelles politiques, tout en se présentant comme l’incubateur d’une conscience nationale et citoyenne nouvelle. Le 24 janvier dernier, il avait réussi le pari historique de réunir plus de 10 000 ressortissants de l’aire baoulé à Mama (Ouragahio), village natal du Président Laurent Gbagbo, aux fins de rendre un hommage à celui-ci pour sa détermination à consolider les bases d’une démocratie en Côte d’Ivoire et leur disponibilité à vivre partout en paix avec leurs hôtes.
Après Gagnoa, Ouragahio, Mama, Bayota, Sinfra, Issia et Divo, Vavoua est l’étape transitoire pour le mouvement avant d’investir les ex-zones Centre nord ouest (Cno) et porter le message d’une Côte d’Ivoire réunifiée et résolument portée vers la paix.
Rémi Coulibaly
Le week-end dernier, c’est le département de Vavoua (centre-ouest), précisément les localités de Bazra-Natis, Dania et Seitifla qui ont vu leurs sections installées en présence du président national, Adolphe Gnagno.
Au plan local, le président de la coordination de Vavoua, Kouamé Eugène, propose l’organisation de manifestations d’envergure en vue de traduire dans les actes quotidiens «la cohabitation harmonieuse et parfaite entre les communautés allochtones baoulé, malinké, sénoufo ; voisines, gouro et bété ; autochtones, niédiéboua, et les communautés allogènes».
Créé en 2006 à Gagnoa, le mouvement Epr se veut à équidistance de toutes les idéologies et chapelles politiques, tout en se présentant comme l’incubateur d’une conscience nationale et citoyenne nouvelle. Le 24 janvier dernier, il avait réussi le pari historique de réunir plus de 10 000 ressortissants de l’aire baoulé à Mama (Ouragahio), village natal du Président Laurent Gbagbo, aux fins de rendre un hommage à celui-ci pour sa détermination à consolider les bases d’une démocratie en Côte d’Ivoire et leur disponibilité à vivre partout en paix avec leurs hôtes.
Après Gagnoa, Ouragahio, Mama, Bayota, Sinfra, Issia et Divo, Vavoua est l’étape transitoire pour le mouvement avant d’investir les ex-zones Centre nord ouest (Cno) et porter le message d’une Côte d’Ivoire réunifiée et résolument portée vers la paix.
Rémi Coulibaly