Les Etats-membres du Conseil de l’Entente veulent redynamiser cette organisation sous-régionale. En témoignent les différentes interventions à la cérémonie d’ouverture du conseil des ministres élargi qui a eu lieu les mercredi et jeudi derniers à la Fondation Félix Houphouët-Boigny.
C’est le ministre ivoirien de l’Intégration africaine, Amadou Koné, qui a donné le ton : “Il nous revient de lui (conseil de l’Entente) donner son lustre d’antan pour le bien-être des populations des Etats-membres ”. Il a souhaité que les propositions des experts, venus participer à ces assises, contribuent à la redynamisation tant souhaitée par les Etats membres. Il a justifié cela par le fait que le Conseil de l’Entente, qui a aujourd’hui 50 ans, est le premier instrument d’intégration et de solidarité sous-régionale.
Il a été suivi dans son propos par Désiré Adadja, ministre béninois de la Communication et des Nouvelles technologies de l’information, représentant le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration, de la Francophonie et des Béninois de l’extérieur, président en exercice du conseil des ministres du Conseil de l’Entente, Ehouzou Jean-Marie. Selon lui, cette organisation a été conçue pour accélérer l’intégration et le développement de la sous-région ouest-africaine. Malheureusement, elle a connu une longue période de léthargie. Pour lui, c’est pour faire face à cette situation et permettre à l’organisation de se repositionner que les chefs d’Etat ont demandé au secrétaire exécutif, Kéké Téty Magloire, d’engager des réformes nécessaires à cet effet. Lors de cette rencontre, a-t-il continué, il s’agira d’arrêter les actions diligentes pour redonner vie au conseil de l’Entente.
Kéké Téty Magloire a reconnu que l’organisation de ces assises n’a pas été facile après les échecs des conseils des ministres des 6 décembre 2006 et 16 janvier 2008 à Ouagadougou. Il pense donc qu’il est temps de mettre l’organisation sur les rails. Ce dont il ne doute au regard des thèmes qui seront abordés lors des réflexions. On note entre autres sujets de réflexion, l’exécution des décisions des chefs d’Etat, la restructuration du conseil, les propositions de sources alternatives de financement des programmes de développement, la programmation d’activités de développement, etc.
Le conseil des ministres du Conseil de l’Entente est une réunion préparatoire au sommet des chefs d’Etat qui se tiendra ce demain samedi à la Fondation Félix Houphouët-Boigny.
Koné Modestekonemo2002@yahoo.fr(Envoyé spécial)
C’est le ministre ivoirien de l’Intégration africaine, Amadou Koné, qui a donné le ton : “Il nous revient de lui (conseil de l’Entente) donner son lustre d’antan pour le bien-être des populations des Etats-membres ”. Il a souhaité que les propositions des experts, venus participer à ces assises, contribuent à la redynamisation tant souhaitée par les Etats membres. Il a justifié cela par le fait que le Conseil de l’Entente, qui a aujourd’hui 50 ans, est le premier instrument d’intégration et de solidarité sous-régionale.
Il a été suivi dans son propos par Désiré Adadja, ministre béninois de la Communication et des Nouvelles technologies de l’information, représentant le ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration, de la Francophonie et des Béninois de l’extérieur, président en exercice du conseil des ministres du Conseil de l’Entente, Ehouzou Jean-Marie. Selon lui, cette organisation a été conçue pour accélérer l’intégration et le développement de la sous-région ouest-africaine. Malheureusement, elle a connu une longue période de léthargie. Pour lui, c’est pour faire face à cette situation et permettre à l’organisation de se repositionner que les chefs d’Etat ont demandé au secrétaire exécutif, Kéké Téty Magloire, d’engager des réformes nécessaires à cet effet. Lors de cette rencontre, a-t-il continué, il s’agira d’arrêter les actions diligentes pour redonner vie au conseil de l’Entente.
Kéké Téty Magloire a reconnu que l’organisation de ces assises n’a pas été facile après les échecs des conseils des ministres des 6 décembre 2006 et 16 janvier 2008 à Ouagadougou. Il pense donc qu’il est temps de mettre l’organisation sur les rails. Ce dont il ne doute au regard des thèmes qui seront abordés lors des réflexions. On note entre autres sujets de réflexion, l’exécution des décisions des chefs d’Etat, la restructuration du conseil, les propositions de sources alternatives de financement des programmes de développement, la programmation d’activités de développement, etc.
Le conseil des ministres du Conseil de l’Entente est une réunion préparatoire au sommet des chefs d’Etat qui se tiendra ce demain samedi à la Fondation Félix Houphouët-Boigny.
Koné Modestekonemo2002@yahoo.fr(Envoyé spécial)
