Colonel, d’où vient votre amour pour un sport dit mineur comme le volley-ball ?
Je suis moi-même un ancien volleyeur. J’ai pratiqué le volley pendant plusieurs années. J’ai personnellement un grand amour pour cette discipline. C’est pourquoi, j’ai accepté de parrainer cette zone 3 afin de lui donner un coup de pousse pour le rayonnement du volley-ball dans la zone. Les sports de main sont un peu délaissés au détriment du football. Notre volonté, c’est de faire en sorte que les sports de main comme le volley-ball, puissent aussi avoir un rayonnement même si ce n’est pas comme le football. Mon objectif est d’amener les gens à s’intéresser aux sports de main et plus particulièrement au volley-ball. C’est en organisant des compétitions de ce genre que nous pouvons attirer le public.
On parle d’un projet d’extension de la compétition à tous les pays de la Cedeao, allez-vous contribuer à la réussite de cet autre pari ?
Oui ! En tout cas, en ce qui concerne les compétitions au niveau du volley-ball, nous allons essayer de faire notre possible pour soutenir cela. Parce que ce n’est pas seulement une question de pays. C’est une question de sport. Nous ferons tout ce que nous pouvons pour soutenir cette compétition de la Cedeao si elle venait à voir le jour. Cela va d’ailleurs nous renforcer au niveau de la zone3, puisque les pays qui composent la zone 3 sont tous membres de la Cedeao. Nous aurons donc une participation encore plus large des pays qui font partie de la Cedeao.
Comment entrevoyez-vous l’avenir du volley dans la sous-région et en Afrique de façon générale?
Depuis quelques temps, on voit quand même que le volley-ball est en train de progresser. Avec les compétitions que nous organisons, nous avons un progrès notable. Nous l’avons constaté au niveau de la zone 3 et cela est une très bonne chose. Parce que tant qu’il n’y a pas de compétition, aucune équipe ne peut évoluer. Les clubs ont besoin de jouer ensemble, de se frotter pour avoir plus d’experience et également améliorer leurs performances.
Les absences de certains pays à vos compétitions ne risquent-elles pas de compromettre le développement de votre sport ?
Oui ! C’est vrai que pour certaines compétitions, des pays sont absents. Mais, chaque pays a ses raisons. Certains sont absents pour des raisons de calendrier, d’autres pour des questions financières. Je ne peux pas donner des explications à ces absences. Dans tous les cas, tous les pays sont invités au même titre. Et nous nous efforçons de donner le maximum pour faire jouer ceux qui viennent et de travailler à élever notre niveau de jeu.
Réalisé à Ouagadougou par
Zana Coulibaly
Je suis moi-même un ancien volleyeur. J’ai pratiqué le volley pendant plusieurs années. J’ai personnellement un grand amour pour cette discipline. C’est pourquoi, j’ai accepté de parrainer cette zone 3 afin de lui donner un coup de pousse pour le rayonnement du volley-ball dans la zone. Les sports de main sont un peu délaissés au détriment du football. Notre volonté, c’est de faire en sorte que les sports de main comme le volley-ball, puissent aussi avoir un rayonnement même si ce n’est pas comme le football. Mon objectif est d’amener les gens à s’intéresser aux sports de main et plus particulièrement au volley-ball. C’est en organisant des compétitions de ce genre que nous pouvons attirer le public.
On parle d’un projet d’extension de la compétition à tous les pays de la Cedeao, allez-vous contribuer à la réussite de cet autre pari ?
Oui ! En tout cas, en ce qui concerne les compétitions au niveau du volley-ball, nous allons essayer de faire notre possible pour soutenir cela. Parce que ce n’est pas seulement une question de pays. C’est une question de sport. Nous ferons tout ce que nous pouvons pour soutenir cette compétition de la Cedeao si elle venait à voir le jour. Cela va d’ailleurs nous renforcer au niveau de la zone3, puisque les pays qui composent la zone 3 sont tous membres de la Cedeao. Nous aurons donc une participation encore plus large des pays qui font partie de la Cedeao.
Comment entrevoyez-vous l’avenir du volley dans la sous-région et en Afrique de façon générale?
Depuis quelques temps, on voit quand même que le volley-ball est en train de progresser. Avec les compétitions que nous organisons, nous avons un progrès notable. Nous l’avons constaté au niveau de la zone 3 et cela est une très bonne chose. Parce que tant qu’il n’y a pas de compétition, aucune équipe ne peut évoluer. Les clubs ont besoin de jouer ensemble, de se frotter pour avoir plus d’experience et également améliorer leurs performances.
Les absences de certains pays à vos compétitions ne risquent-elles pas de compromettre le développement de votre sport ?
Oui ! C’est vrai que pour certaines compétitions, des pays sont absents. Mais, chaque pays a ses raisons. Certains sont absents pour des raisons de calendrier, d’autres pour des questions financières. Je ne peux pas donner des explications à ces absences. Dans tous les cas, tous les pays sont invités au même titre. Et nous nous efforçons de donner le maximum pour faire jouer ceux qui viennent et de travailler à élever notre niveau de jeu.
Réalisé à Ouagadougou par
Zana Coulibaly