Le Premier ministre Guillaume Soro a eu une séance de travail avec les représentants des syndicats des personnels de la santé, le mercredi 5 août 2009. Les discussions, selon leur porte-parole, ont porté sur la revalorisation salariale. Le chef du Gouvernement était accompagné de MM. Hubert Oulaye, ministre de l’Emploi et de la Fonction publique, Charles Diby Koffi, ministre de l’Economie et des Finances, et Rémi Allah Kouadio, ministre de la Santé et de l’Hygiène publique.
Le SYNATIM-CI, le SYNAB-CI, le SYSAF-CI, le SYNASHO-CI, le SYNAPETESA, le SYNAAS-CI, le SYNAFIAS-CI, le SYNSFI-CI, le SYNASF-CI, le SYNI-CI, le MIDE-CI, le SYNACASS-CI, le SYNAPG-CI, le SYNADESIO ont tous pris part, à travers leurs secrétaires généraux, à cette rencontre. A la fin de la séance de travail, le Dr Ernest Atté Boka, Secrétaire général du SYNACASS-CI et Porte-Parole des syndicats de santé, a livré à la presse le contenu des discussions avec le chef du Gouvernement :
« Je voudrais dire que nous venons de rencontrer le Premier ministre sur nos points de revendication. Le point de mire sur cette rencontre, c’est la revalorisation salariale. Sur la question, le Premier ministre et les syndicats ont discuté. Le Gouvernement n’a pas fait de propositions concrètes aujourd’hui. Le Gouvernement projette courant septembre nous soumettre un projet de règlement de cette question. Nous attendons septembre pour pouvoir nous prononcer sur les propositions. Il n’y a pas eu d’accord sur la question.
Nous allons aller vers la base pour leur dire qu’au sortir de cette réunion, le Gouvernement n’a pas été capable de leur faire une proposition concrète. Alors que le Gouvernement avait déjà promis de nous faire des propositions. Il nous renvoie à septembre. La base appréciera l’information que nous allons leur donner et fixera la conduite à tenir pour la lutte à venir. Pour le moment, tant que nous ne faisons pas d’assemblée générale, nous ne pouvons pas nous prononcer sur ce que la base va dire.
Aujourd’hui, nous prenons les informations pour pouvoir les communiquer à la base. Mais, je le dis et je le répète, pour le moment il n’y a pas eu accord écrit entre le Gouvernement et nous. Le Gouvernement s’est contenté de faire une projection à septembre pour nous faire une proposition de règlement de la revalorisation salariale. Nous espérions avoir des gestes concrets aujourd’hui en venant à cette rencontre, mais nous repartons avec toute l’amertume ».
Le SYNATIM-CI, le SYNAB-CI, le SYSAF-CI, le SYNASHO-CI, le SYNAPETESA, le SYNAAS-CI, le SYNAFIAS-CI, le SYNSFI-CI, le SYNASF-CI, le SYNI-CI, le MIDE-CI, le SYNACASS-CI, le SYNAPG-CI, le SYNADESIO ont tous pris part, à travers leurs secrétaires généraux, à cette rencontre. A la fin de la séance de travail, le Dr Ernest Atté Boka, Secrétaire général du SYNACASS-CI et Porte-Parole des syndicats de santé, a livré à la presse le contenu des discussions avec le chef du Gouvernement :
« Je voudrais dire que nous venons de rencontrer le Premier ministre sur nos points de revendication. Le point de mire sur cette rencontre, c’est la revalorisation salariale. Sur la question, le Premier ministre et les syndicats ont discuté. Le Gouvernement n’a pas fait de propositions concrètes aujourd’hui. Le Gouvernement projette courant septembre nous soumettre un projet de règlement de cette question. Nous attendons septembre pour pouvoir nous prononcer sur les propositions. Il n’y a pas eu d’accord sur la question.
Nous allons aller vers la base pour leur dire qu’au sortir de cette réunion, le Gouvernement n’a pas été capable de leur faire une proposition concrète. Alors que le Gouvernement avait déjà promis de nous faire des propositions. Il nous renvoie à septembre. La base appréciera l’information que nous allons leur donner et fixera la conduite à tenir pour la lutte à venir. Pour le moment, tant que nous ne faisons pas d’assemblée générale, nous ne pouvons pas nous prononcer sur ce que la base va dire.
Aujourd’hui, nous prenons les informations pour pouvoir les communiquer à la base. Mais, je le dis et je le répète, pour le moment il n’y a pas eu accord écrit entre le Gouvernement et nous. Le Gouvernement s’est contenté de faire une projection à septembre pour nous faire une proposition de règlement de la revalorisation salariale. Nous espérions avoir des gestes concrets aujourd’hui en venant à cette rencontre, mais nous repartons avec toute l’amertume ».