La mère de Didier Drogba entend redonner le sourire aux malades de l’ulcère de Buruli grâce à « Cœur d’Ivoire ». Et les recettes du dîner-gala organisé demain à Ivotel Plateau (20h) y contribueront.
Comment se passent les préparatifs du dîner gala que vous organisez demain à Ivotel pour les malades de l’ulcère de Burili ?
Bien. Le dîner gala est prévu pour demain à 20 heures à l’hôtel Ivotel au Plateau.
Quelle sera la particularité de ce dîner-gala ?
Ce dîner-gala vise à lancer un appel à la population ivoirienne. Je sais que les Ivoiriens sont très sensibles à la douleur. Donc, je voudrais leur demander de venir en aide aux enfants qui souffrent de l’ulcère de Buruli parce que c’est une maladie très dangereuse. Il y aura à ce dîner des prestations d’artistes (Bailly Spinto, Savane Allah) pour ne citer que ceux là. Une vente aux enchères sera également faite en présence de certaines personnalités de la place.
Que vise la mère de Didier Drogba à travers cette cérémonie ?
Ce dîner vise à informer d’abord la population ivoirienne qu’il existe une Organisation non gouvernementale (Ong) qui se nomme «Cœur d’Ivoire», née en 2007 et qui veut lutter contre l’ulcère de Buruli. Elle veut apporter sa contribution à la lutte contre cette maladie. Je me suis décidée à m’engager dans la lutte contre ce fléau à partir d’un constat. Moi-même, j’ai été touchée de près par cette maladie. J’ai des amis qui ont eu l’ulcère de Buruli, leurs enfants aussi. J’ai visité des hôpitaux dans lesquels il y avait beaucoup d’enfants atteints de cette maladie. Et j’ai trouvé cela personnellement horrible. Je me suis posée la question de savoir : «Quelle est cette maladie qui fait des ravages et dont on parle très peu ? Que fallait- il faire ?». C’est comme cela que j’ai décidé de m’engager à en parler le plus souvent. Et il faut que la population ivoirienne sache que cette maladie est une réalité et qu’elle tue. Les victimes de cette maladie ont des malformations et s’il n’y a pas d’intervention rapide, c’est toute une vie qui est gâchée.
Après cette première édition, comptez-vous institutionnaliser ce genre d’actions ?
Bien sûr, puisque la maladie atteint un nombre important de personnes chaque jour.
Vous êtes la première maman de star qui se lance dans pareille activité. Allez-vous un jour fédérer toutes les mères des joueurs autour de votre projet ?
D’abord il faut dire que j’ai déjà réuni les mamans des footballeurs professionnels. Elles sont autour de moi et nous travaillons ensemble. Nous sommes déjà ensemble. Nous souhaitons à présent étendre nos actions à toute l’Afrique. Mieux, nous comptons demander aux autres mères des footballeurs de se joindre à nous pour lutter contre cette pandémie.
Entretien réalisé par Choilio D
Comment se passent les préparatifs du dîner gala que vous organisez demain à Ivotel pour les malades de l’ulcère de Burili ?
Bien. Le dîner gala est prévu pour demain à 20 heures à l’hôtel Ivotel au Plateau.
Quelle sera la particularité de ce dîner-gala ?
Ce dîner-gala vise à lancer un appel à la population ivoirienne. Je sais que les Ivoiriens sont très sensibles à la douleur. Donc, je voudrais leur demander de venir en aide aux enfants qui souffrent de l’ulcère de Buruli parce que c’est une maladie très dangereuse. Il y aura à ce dîner des prestations d’artistes (Bailly Spinto, Savane Allah) pour ne citer que ceux là. Une vente aux enchères sera également faite en présence de certaines personnalités de la place.
Que vise la mère de Didier Drogba à travers cette cérémonie ?
Ce dîner vise à informer d’abord la population ivoirienne qu’il existe une Organisation non gouvernementale (Ong) qui se nomme «Cœur d’Ivoire», née en 2007 et qui veut lutter contre l’ulcère de Buruli. Elle veut apporter sa contribution à la lutte contre cette maladie. Je me suis décidée à m’engager dans la lutte contre ce fléau à partir d’un constat. Moi-même, j’ai été touchée de près par cette maladie. J’ai des amis qui ont eu l’ulcère de Buruli, leurs enfants aussi. J’ai visité des hôpitaux dans lesquels il y avait beaucoup d’enfants atteints de cette maladie. Et j’ai trouvé cela personnellement horrible. Je me suis posée la question de savoir : «Quelle est cette maladie qui fait des ravages et dont on parle très peu ? Que fallait- il faire ?». C’est comme cela que j’ai décidé de m’engager à en parler le plus souvent. Et il faut que la population ivoirienne sache que cette maladie est une réalité et qu’elle tue. Les victimes de cette maladie ont des malformations et s’il n’y a pas d’intervention rapide, c’est toute une vie qui est gâchée.
Après cette première édition, comptez-vous institutionnaliser ce genre d’actions ?
Bien sûr, puisque la maladie atteint un nombre important de personnes chaque jour.
Vous êtes la première maman de star qui se lance dans pareille activité. Allez-vous un jour fédérer toutes les mères des joueurs autour de votre projet ?
D’abord il faut dire que j’ai déjà réuni les mamans des footballeurs professionnels. Elles sont autour de moi et nous travaillons ensemble. Nous sommes déjà ensemble. Nous souhaitons à présent étendre nos actions à toute l’Afrique. Mieux, nous comptons demander aux autres mères des footballeurs de se joindre à nous pour lutter contre cette pandémie.
Entretien réalisé par Choilio D
