Quelques minutes après sa nomination officielle comme capitaine, Samuel Eto’o s’est entretenu avec C.T.
Sur les Lions
« On a l’air de revivre à nouveau l’équipe nationale. L’espoir est né. Nous avons les moyens pour nous battre et aller en Coupe du monde. Il y a quelque chose qui renaît. Nous devons mettre nos états d’âme de côté et se mettre au service du pays. J’ai eu la chance de visiter le Cameroun profond. J’ai pu mesurer l’attente énorme qu’il y a autour des Lions. Nous avons une grosse responsabilité. Une responsabilité historique même. Les Lions Indomptables, c’est le Cameroun »
Sur le capitanat
« J’ai toujours été capitaine adjoint de cette équipe même si je n’ai jamais porté le brassard. Dans toutes les équipes, il y a toujours un ou deux joueurs sur lesquels l’entraîneur fonde ses espoirs. Au-delà des intrigues qui peuvent parfois naître parce qu’il y a des intérêts que nous ne maîtrisons pas toujours, il faut que l’opinion comprenne que le football a ses leaders. Et ça, on ne peut pas le changer. Aujourd’hui, ce sont les Rigobert Song Bahanag, Samuel Eto’o, Gérémi Njitap. Demain, ce sera Kameni, Makoun, Achille Emana, Mbia. Et ainsi de suite. Le plus important est qu’on puisse regarder vers la même direction »
Sur sa nouvelle vie à l’Inter
« Je me sens libéré. J’ai été bien accueilli par mes nouveaux coéquipiers, par le staff, notamment par le coach qui m’a dit : « Samuel, vas-y ». Quand un entraîneur te fait une telle confiance dès le départ, tu as envie de tout donner. Il a réuni l’équipe et a dit à tout le monde que tout ce qui est coup franc, penalty, c’est moi qui tire en priorité. Ce qui ne veut pas forcément dire que quelqu’un d’autre ne peut pas le faire. Les choses devraient bien aller. Avec une ou deux autres bonnes recrues, l’Inter aura une belle équipe et pourra rivaliser en Ligue des champions avec les autres. Les enchaînements, les automatismes se mettent en place progressivement. Depuis le début de la saison, je n’ai eu que six séances d’entraînement avec l’Inter. »
Sur le Barça
« La page du Barca est tournée. J’ouvre une autre. Le football est fait ainsi. C’est une école de la vie. En arrivant dans ce club il y a cinq ans, j’avais trouvé des coéquipiers. Maintenant, je n’y ai que laissé des amis. J’ai presque tout gagné avec ce club qui m’a énormément apporté ».
Sur les Lions
« On a l’air de revivre à nouveau l’équipe nationale. L’espoir est né. Nous avons les moyens pour nous battre et aller en Coupe du monde. Il y a quelque chose qui renaît. Nous devons mettre nos états d’âme de côté et se mettre au service du pays. J’ai eu la chance de visiter le Cameroun profond. J’ai pu mesurer l’attente énorme qu’il y a autour des Lions. Nous avons une grosse responsabilité. Une responsabilité historique même. Les Lions Indomptables, c’est le Cameroun »
Sur le capitanat
« J’ai toujours été capitaine adjoint de cette équipe même si je n’ai jamais porté le brassard. Dans toutes les équipes, il y a toujours un ou deux joueurs sur lesquels l’entraîneur fonde ses espoirs. Au-delà des intrigues qui peuvent parfois naître parce qu’il y a des intérêts que nous ne maîtrisons pas toujours, il faut que l’opinion comprenne que le football a ses leaders. Et ça, on ne peut pas le changer. Aujourd’hui, ce sont les Rigobert Song Bahanag, Samuel Eto’o, Gérémi Njitap. Demain, ce sera Kameni, Makoun, Achille Emana, Mbia. Et ainsi de suite. Le plus important est qu’on puisse regarder vers la même direction »
Sur sa nouvelle vie à l’Inter
« Je me sens libéré. J’ai été bien accueilli par mes nouveaux coéquipiers, par le staff, notamment par le coach qui m’a dit : « Samuel, vas-y ». Quand un entraîneur te fait une telle confiance dès le départ, tu as envie de tout donner. Il a réuni l’équipe et a dit à tout le monde que tout ce qui est coup franc, penalty, c’est moi qui tire en priorité. Ce qui ne veut pas forcément dire que quelqu’un d’autre ne peut pas le faire. Les choses devraient bien aller. Avec une ou deux autres bonnes recrues, l’Inter aura une belle équipe et pourra rivaliser en Ligue des champions avec les autres. Les enchaînements, les automatismes se mettent en place progressivement. Depuis le début de la saison, je n’ai eu que six séances d’entraînement avec l’Inter. »
Sur le Barça
« La page du Barca est tournée. J’ouvre une autre. Le football est fait ainsi. C’est une école de la vie. En arrivant dans ce club il y a cinq ans, j’avais trouvé des coéquipiers. Maintenant, je n’y ai que laissé des amis. J’ai presque tout gagné avec ce club qui m’a énormément apporté ».