Comment s’est déroulée votre préparation ?
Plutôt bien. Tout le groupe est présent. Tout s’est bien passé. Nous ne comptons pas de blessé.
Avez-vous été surpris par l’accueil qui vous a été réservé à Abidjan ?
Un peu. Nous savions qu’il y avait une forte communauté burkinabé ici mais pas à ce point. Les jeunes burkinabè qui aiment leur sélection sont sortis nombreux. C’est la preuve que les gens sont contents de leur sélection qui a remporté sept matches, concédé un nul et une seule défaite en neuf sorties.
Avec du recul, qu’est-ce qui a manqué à vos joueurs le 20 juin dernier à Ouaga devant les Eléphants ?
Je note que c’est la seule rencontre que nous avons perdu depuis le début de ces éliminatoires Can-Mondial 2010. C’est dommage car nous aurions pu la gagner. Je me souviens que mon groupe avait fait un grand match ce jour-là. Aujourd’hui, je suis satisfait d’une chose.
Laquelle ?
Le Burkina Faso peut gagner n’importe quelle équipe. Mes joueurs ont gagné en maturité et constituent un groupe fort. Nous sommes désormais bien organisés.
Avez-vous corrigé les lacunes constatées à l’aller à Ouaga ?
Nous avons perdu 3-2. Cette rencontre continue de me laisser des regrets car nous avons manqué certaines occasions et connu deux cas de blessures. En termes d’efficacité, cette rencontre m’est restée en travers de la gorge. La Côte d’Ivoire a eu beaucoup de chance sur ses deux occasions. L’autre but étant intervenu sur un but contre notre camp.
Comment jugez-vous les Eléphants ?
La sélection ivoirienne est plus mature. Elle est très efficace aussi. En football, c’est l’équipe qui marque le plus de buts qui gagne. Aujourd’hui, nous tenterons d’inscrire le maximum de buts et de gagner.
Croyez-vous encore au Mondial 2010 ?
Ce sera difficile. Mais notre principal objectif reste la Can en Angola. Si nous n’avions pas perdu contre les Eléphants à l’aller à Ouaga, le Mondial 2010 serait possible. Là, c’est difficile. Mais tout reste possible. Nous jouons notre dernière carte cet après-midi. J’espère que nous sortirons vainqueurs de ce nouveau duel.
Croyez-vous en la victoire de votre équipe ?
Oui. C’est vrai que ce ne sera pas facile mais j’ai la foi. Rien n’est impossible. Même si nous ne gagnons pas, nous ferons tout pour ne pas perdre.
Entretien réalisé
par Guy-Florentin Yaméogo
Plutôt bien. Tout le groupe est présent. Tout s’est bien passé. Nous ne comptons pas de blessé.
Avez-vous été surpris par l’accueil qui vous a été réservé à Abidjan ?
Un peu. Nous savions qu’il y avait une forte communauté burkinabé ici mais pas à ce point. Les jeunes burkinabè qui aiment leur sélection sont sortis nombreux. C’est la preuve que les gens sont contents de leur sélection qui a remporté sept matches, concédé un nul et une seule défaite en neuf sorties.
Avec du recul, qu’est-ce qui a manqué à vos joueurs le 20 juin dernier à Ouaga devant les Eléphants ?
Je note que c’est la seule rencontre que nous avons perdu depuis le début de ces éliminatoires Can-Mondial 2010. C’est dommage car nous aurions pu la gagner. Je me souviens que mon groupe avait fait un grand match ce jour-là. Aujourd’hui, je suis satisfait d’une chose.
Laquelle ?
Le Burkina Faso peut gagner n’importe quelle équipe. Mes joueurs ont gagné en maturité et constituent un groupe fort. Nous sommes désormais bien organisés.
Avez-vous corrigé les lacunes constatées à l’aller à Ouaga ?
Nous avons perdu 3-2. Cette rencontre continue de me laisser des regrets car nous avons manqué certaines occasions et connu deux cas de blessures. En termes d’efficacité, cette rencontre m’est restée en travers de la gorge. La Côte d’Ivoire a eu beaucoup de chance sur ses deux occasions. L’autre but étant intervenu sur un but contre notre camp.
Comment jugez-vous les Eléphants ?
La sélection ivoirienne est plus mature. Elle est très efficace aussi. En football, c’est l’équipe qui marque le plus de buts qui gagne. Aujourd’hui, nous tenterons d’inscrire le maximum de buts et de gagner.
Croyez-vous encore au Mondial 2010 ?
Ce sera difficile. Mais notre principal objectif reste la Can en Angola. Si nous n’avions pas perdu contre les Eléphants à l’aller à Ouaga, le Mondial 2010 serait possible. Là, c’est difficile. Mais tout reste possible. Nous jouons notre dernière carte cet après-midi. J’espère que nous sortirons vainqueurs de ce nouveau duel.
Croyez-vous en la victoire de votre équipe ?
Oui. C’est vrai que ce ne sera pas facile mais j’ai la foi. Rien n’est impossible. Même si nous ne gagnons pas, nous ferons tout pour ne pas perdre.
Entretien réalisé
par Guy-Florentin Yaméogo