Le président de la Fédération ivoirienne de Football (Fif), Jacques Anouma a exprimé sa satisfaction à la fin de la large victoire des Eléphants sur les Etalons. Quels sentiments vous animent après la victoire de votre équipe aux dépens des Burkinabè ?
Je suis un président très soulagé et heureux. Parce que c`était un match très attendu de part et d`autre. Je suis heureux pour les Ivoiriens qui ont toujours été derrière leur équipe.
Etes-vous surpris par le large score ?
Non. Parce que j`avais trouvé mes joueurs très concentrés. Et je leur avais demandé de tout mettre en œuvre pour remporter ce match décisif pour le bonheur des Ivoiriens. Après le Championnat d`Afrique des Nations (Chan), nous avons été malmenés. Donc, il le fallait pour donner de la joie aux cœurs des Ivoiriens.
Vous êtes encore plus satisfaits avec la participation à un 2e Mondial, après celui de 2006…
C`est une grande satisfaction. Maintenant je vais me retirer.
Pourquoi voulez-vous vous retirer ?
Tout simplement, j`ai rempli ma mission (il rit).
Laquelle ?
Celle de porter la sélection nationale de Côte d`Ivoire au plus haut sommet. Maintenant, c`est chose faite. Etre premier en Afrique (il rit encore). Deux Mondiaux de suite, que vous-voulez qu`on ait en plus ? On ne peut qu`être heureux.
Quelle est l`importance, selon vous, du football en Côte d`Ivoire ?
Depuis le début de la crise, le football est le dénominateur commun en Côte d`Ivoire. Je pense que nous avons joué notre partition au niveau de la réconciliation nationale. Et une deuxième qualification à une Coupe du Monde, ce n`est pas donné à tout le monde. Je rends gloire à Dieu. Il aurait été impardonnable que la Côte d`Ivoire soit absente à la première Coupe du Monde qui se déroule en terre africaine. C`était un objectif. Maintenant qu`il est atteint, il va falloir aller le défendre crânement mieux qu`en Allemagne.
Propos recueillis par Eugène Djabia
Je suis un président très soulagé et heureux. Parce que c`était un match très attendu de part et d`autre. Je suis heureux pour les Ivoiriens qui ont toujours été derrière leur équipe.
Etes-vous surpris par le large score ?
Non. Parce que j`avais trouvé mes joueurs très concentrés. Et je leur avais demandé de tout mettre en œuvre pour remporter ce match décisif pour le bonheur des Ivoiriens. Après le Championnat d`Afrique des Nations (Chan), nous avons été malmenés. Donc, il le fallait pour donner de la joie aux cœurs des Ivoiriens.
Vous êtes encore plus satisfaits avec la participation à un 2e Mondial, après celui de 2006…
C`est une grande satisfaction. Maintenant je vais me retirer.
Pourquoi voulez-vous vous retirer ?
Tout simplement, j`ai rempli ma mission (il rit).
Laquelle ?
Celle de porter la sélection nationale de Côte d`Ivoire au plus haut sommet. Maintenant, c`est chose faite. Etre premier en Afrique (il rit encore). Deux Mondiaux de suite, que vous-voulez qu`on ait en plus ? On ne peut qu`être heureux.
Quelle est l`importance, selon vous, du football en Côte d`Ivoire ?
Depuis le début de la crise, le football est le dénominateur commun en Côte d`Ivoire. Je pense que nous avons joué notre partition au niveau de la réconciliation nationale. Et une deuxième qualification à une Coupe du Monde, ce n`est pas donné à tout le monde. Je rends gloire à Dieu. Il aurait été impardonnable que la Côte d`Ivoire soit absente à la première Coupe du Monde qui se déroule en terre africaine. C`était un objectif. Maintenant qu`il est atteint, il va falloir aller le défendre crânement mieux qu`en Allemagne.
Propos recueillis par Eugène Djabia