Confirmé à la tête des Eléphants de Côte d’Ivoire, Vahid Halilhodzic a désormais les mains libres pour réaliser les objectifs à lui fixés à la Can et au Mondial 2010.
Fini les tergiversations et autres rumeurs sur le maintien ou non de Vahid Halilhodzic à la tête des Eléphants. Les débats y afférant sont clos. « Ce n’est pas au moment où un entraîneur a atteint les objectifs que je lui ai fixés que je vais me demander s’il est bon ou pas pour le Mondial. Je ne crois pas en un entraîneur miracle. Soutenons plutôt Vahid pour sa mission ». Le président de la Fif, Jacques Anouma, a été on ne peut plus clair. L’ex-coach du Paris St Germain continue son bail jusqu’à la fin du Mondial 2010. A moins qu’une situation exceptionnelle ne vienne changer les donnes. Avec cette confiance en lui renouvelée, la balle est désormais dans le camp du technicien franco-bosniaque. Passons sur les moyens matériels parce qu’ils n’ont jamais manqué. Il a toujours eu, à temps, ce dont il a besoin. Et pour se préparer, et pour aller superviser des joueurs dans les différents pays européens. Lui qui a toujours soutenu que les Eléphants n’ont encore rien gagné a l’occasion de leur faire gagner ce trophée réclamé à cor et à cri par tous. Et se tailler enfin un palmarès digne de la qualité de ce groupe. Cet objet d’art viendra assurément embellir l’énorme travail de revalorisation du football ivoirien entamé depuis 2002. Pour Vahid, les Eléphants ne sont pas encore prêts pour la Can 2010. Dans quel sens ? Est-ce parce que l’équipe n’a pas encore entamé sa préparation pour cette épreuve ou manque-t-elle encore d’éléments de valeur? On ne peut que rester dubitatif devant cette assertion puisque personne ne connaît mieux son groupe que lui. Mais en même temps, la forme optimale que doivent afficher les Eléphants pour arriver à la Can ne dépend que de lui. C’est la qualité de la préparation dont bénéficieront les Eléphants qui leur permettra d’arriver en pleine forme en Angola. Or, ce travail préparatoire incombe à l’ancien avant centre de Nantes. Les moyens, eux, sont déjà là. Il ne lui suffit qu’à établir une feuille de route après le 14 novembre, date du dernier match des éliminatoires contre la Guinée. En attendant que les joueurs se libèrent de leurs différents championnats en Europe et se mettent à la disposition de la sélection nationale. Pour sûr, Vahid Halilhodzic est plus que jamais au pied du mur. Tout dépend désormais de lui.
Tibet Kipré
Fini les tergiversations et autres rumeurs sur le maintien ou non de Vahid Halilhodzic à la tête des Eléphants. Les débats y afférant sont clos. « Ce n’est pas au moment où un entraîneur a atteint les objectifs que je lui ai fixés que je vais me demander s’il est bon ou pas pour le Mondial. Je ne crois pas en un entraîneur miracle. Soutenons plutôt Vahid pour sa mission ». Le président de la Fif, Jacques Anouma, a été on ne peut plus clair. L’ex-coach du Paris St Germain continue son bail jusqu’à la fin du Mondial 2010. A moins qu’une situation exceptionnelle ne vienne changer les donnes. Avec cette confiance en lui renouvelée, la balle est désormais dans le camp du technicien franco-bosniaque. Passons sur les moyens matériels parce qu’ils n’ont jamais manqué. Il a toujours eu, à temps, ce dont il a besoin. Et pour se préparer, et pour aller superviser des joueurs dans les différents pays européens. Lui qui a toujours soutenu que les Eléphants n’ont encore rien gagné a l’occasion de leur faire gagner ce trophée réclamé à cor et à cri par tous. Et se tailler enfin un palmarès digne de la qualité de ce groupe. Cet objet d’art viendra assurément embellir l’énorme travail de revalorisation du football ivoirien entamé depuis 2002. Pour Vahid, les Eléphants ne sont pas encore prêts pour la Can 2010. Dans quel sens ? Est-ce parce que l’équipe n’a pas encore entamé sa préparation pour cette épreuve ou manque-t-elle encore d’éléments de valeur? On ne peut que rester dubitatif devant cette assertion puisque personne ne connaît mieux son groupe que lui. Mais en même temps, la forme optimale que doivent afficher les Eléphants pour arriver à la Can ne dépend que de lui. C’est la qualité de la préparation dont bénéficieront les Eléphants qui leur permettra d’arriver en pleine forme en Angola. Or, ce travail préparatoire incombe à l’ancien avant centre de Nantes. Les moyens, eux, sont déjà là. Il ne lui suffit qu’à établir une feuille de route après le 14 novembre, date du dernier match des éliminatoires contre la Guinée. En attendant que les joueurs se libèrent de leurs différents championnats en Europe et se mettent à la disposition de la sélection nationale. Pour sûr, Vahid Halilhodzic est plus que jamais au pied du mur. Tout dépend désormais de lui.
Tibet Kipré
