La guerre de positionnement qui fait actuellement rage au Fpi a fait une grande victime en la personne du Secrétaire Général de la Jfpi, Konaté Navigué. Celui qui a succédé à Damana Picass est complètement rentré dans rangs. Avec lui, la jeunesse du parti chère à Laurent Gbagbo.
Lorsque le pouvoir de Laurent Gbagbo avait été attaqué en 2002, Konaté Navigué a choisi de regarder les bras croisés son patron se défendre sous les flammes des canons ennemis. La Jfpi était totalement absente aux côtés du président de la république.
Ceux qui ont connu la Jfpi de Blé Kessié, Damana Picass etc… s’expliquent difficilement le mutisme de la structure de la jeunesse du Fpi. C’est ainsi que l’ex secrétaire général de la Fesci, Charles Blé Goudé, a surgi du néant avec son Cojep pour se substituer à la Jfpi.
Il prendra, à bras le corps, le combat pour la défense des Institutions de la République. Du coup, toute la jeunesse du Front Populaire se reconnaissent dans le combat de Charles Blé Goudé et elle fait de lui de facto son leader. La Direction du Fpi, aussi, tombera sous l’audace et le charisme du Cojep. La bataille était ainsi lancée. Et au fil de la crise, Blé Goudé gravit les échelons au point de s’imposer comme étant un acteur essentiel dans le règlement de la crise Ivoirienne. Ne pouvant pas épouser le rythme imposé par le patron du Cojep, Konaté Navigué s’essouffle et renonce au combat. La Jfpi est effacée et remplacée par le Cojep. Conséquences, depuis l’éclatement de la crise, Konaté Navigué et la Jfpi n’ont jamais lancé une mobilisation, ni animé un meeting. D’ailleurs, pour beaucoup d’ivoiriens, Konaté Navigué demeure un grand inconnu dans le paysage politique ivoirien. Contrairement à lui, Charles Blé Goudé est constamment sous les feux de la rampe . C’est lui qui s’exprime au nom de la galaxie patriotique, qui n’est que l’autre nom de la jeunesse du Fpi. C’est logiquement que les portes dorées du Palais Présidentiel s’ouvrent grandement à lui. D’ailleurs, Koudou Gbagbo ne doit-il pas la survie de son pouvoir au président du Cojep ? Sa témérité et son engagement pour la défense de la république ont permis à Blé de se tailler une popularité qui dérange certaines personnes de l’entourage présidentiel.
Le combat est clair, aujourd’hui, après Koudou Gbagbo (ça reste à vérifier) personne d’autre au Fpi ne peut contester, à Blé Goudé, sa grande popularité. Mais le seul hic, c’est que Charles Blé Goudé ne se reconnait pas comme militant du Front Populaire Ivoirien. Il l’a d’ailleurs toujours clamé, haut et fort.
Non seulement, Blé Goudé a tué Konaté Navigué, mais, il a tué aussi la Jfpi. Cette structure n’a même plus de section ni de base comme c’était le cas par le passé. Dès lors, des voix s’élèvent ça et là pour s’en prendre au président du Cojep l’accusant parfois de détruire le Fpi. La preuve que non seulement le Fpi a montré toute son incapacité à gérer correctement le pouvoir d’Etat, mais il donne aussi les preuves qu’il n’est pas capable de gérer ses propres structures. Et le cas de la Jfpi en est une preuve palpable. Pendant que le Pdci de Aimé Henri Konan Bédié, bien qu’ayant perdu le pouvoir, garde ses structures (Jpdci,Ufdci) toujours dynamiques.
Preuves également de la vitalité et de la bonne gestion du parti le plus expérimenté de Côte d’Ivoire.
Lorsque le pouvoir de Laurent Gbagbo avait été attaqué en 2002, Konaté Navigué a choisi de regarder les bras croisés son patron se défendre sous les flammes des canons ennemis. La Jfpi était totalement absente aux côtés du président de la république.
Ceux qui ont connu la Jfpi de Blé Kessié, Damana Picass etc… s’expliquent difficilement le mutisme de la structure de la jeunesse du Fpi. C’est ainsi que l’ex secrétaire général de la Fesci, Charles Blé Goudé, a surgi du néant avec son Cojep pour se substituer à la Jfpi.
Il prendra, à bras le corps, le combat pour la défense des Institutions de la République. Du coup, toute la jeunesse du Front Populaire se reconnaissent dans le combat de Charles Blé Goudé et elle fait de lui de facto son leader. La Direction du Fpi, aussi, tombera sous l’audace et le charisme du Cojep. La bataille était ainsi lancée. Et au fil de la crise, Blé Goudé gravit les échelons au point de s’imposer comme étant un acteur essentiel dans le règlement de la crise Ivoirienne. Ne pouvant pas épouser le rythme imposé par le patron du Cojep, Konaté Navigué s’essouffle et renonce au combat. La Jfpi est effacée et remplacée par le Cojep. Conséquences, depuis l’éclatement de la crise, Konaté Navigué et la Jfpi n’ont jamais lancé une mobilisation, ni animé un meeting. D’ailleurs, pour beaucoup d’ivoiriens, Konaté Navigué demeure un grand inconnu dans le paysage politique ivoirien. Contrairement à lui, Charles Blé Goudé est constamment sous les feux de la rampe . C’est lui qui s’exprime au nom de la galaxie patriotique, qui n’est que l’autre nom de la jeunesse du Fpi. C’est logiquement que les portes dorées du Palais Présidentiel s’ouvrent grandement à lui. D’ailleurs, Koudou Gbagbo ne doit-il pas la survie de son pouvoir au président du Cojep ? Sa témérité et son engagement pour la défense de la république ont permis à Blé de se tailler une popularité qui dérange certaines personnes de l’entourage présidentiel.
Le combat est clair, aujourd’hui, après Koudou Gbagbo (ça reste à vérifier) personne d’autre au Fpi ne peut contester, à Blé Goudé, sa grande popularité. Mais le seul hic, c’est que Charles Blé Goudé ne se reconnait pas comme militant du Front Populaire Ivoirien. Il l’a d’ailleurs toujours clamé, haut et fort.
Non seulement, Blé Goudé a tué Konaté Navigué, mais, il a tué aussi la Jfpi. Cette structure n’a même plus de section ni de base comme c’était le cas par le passé. Dès lors, des voix s’élèvent ça et là pour s’en prendre au président du Cojep l’accusant parfois de détruire le Fpi. La preuve que non seulement le Fpi a montré toute son incapacité à gérer correctement le pouvoir d’Etat, mais il donne aussi les preuves qu’il n’est pas capable de gérer ses propres structures. Et le cas de la Jfpi en est une preuve palpable. Pendant que le Pdci de Aimé Henri Konan Bédié, bien qu’ayant perdu le pouvoir, garde ses structures (Jpdci,Ufdci) toujours dynamiques.
Preuves également de la vitalité et de la bonne gestion du parti le plus expérimenté de Côte d’Ivoire.