L'union des patrons de presse pour la République (Uppr) veut protéger les institutions de la République. Ainsi, dans sa phase communicative, elle était hier, au cabinet du commissaire du gouvernement, Ange Kessy.
L’Union des patrons de presse pour la République (Uppr), avec à sa tête son président Tapé Koulou, a été reçue par le commissaire du gouvernement M .Ange Kessy. Le commissaire du gouvernement a profité de cette occasion pour les éclairer sur certains problèmes de la société. Il s'agit par exemple de la situation du journaliste. Selon l'hôte du jour, le journaliste doit jouir d'une immunité comme les députés et les ministres. De sorte qu'il ait assez de marge de liberté pour bien faire son travail. Car le journalisme est le 4e pouvoir. "Ce sont les journalistes qui ont fait du Président Obama ce qu'il est aujourd'hui. En révélant son génie politique au monde. Donc, si nous sommes, c'est grâce à vous", a-t-il expliqué. Avant de demander aux journalistes de se mettre résolument au travail pour la Côte d'Ivoire. Parce que selon lui, la Côte d'Ivoire sort d'une crise, il aura l'avenir de ce pays à préparer. A cette bataille, le commissaire du gouvernement a invité l'Uppr à donner à la Côte d'Ivoire, sa place de leader de la sous-région. Ange Kessy a parlé aux journalistes du racket qui sévit sur les routes. A ce niveau, il s'est dit indigné de certaines pratiques des corps habillés. Parce qu'il ne comprend pas pourquoi certains Ivoiriens subissent des injustices des hommes en treillis. Dans ses explications, il a expliqué les cas des personnes qu'on arrête parce qu'on les a trouvées au dehors, tard, dans la nuit. Souvent, on ne considère même pas les passeports dans les vérifications de routine de pièces. Aux journalistes, le commissaire du gouvernement a conseillé l'article 497 du code pénal. Afin qu'ils le rappellent aux corps habillés. "On nous a trop racketté. Ça suffit comme ça", a-t-il martelé. Avant de souligner que les mentalités de 2000 ne seront pas les mêmes que celle de 2010. Le président de l'Uppr, Tapé Koulou, a expliqué à l’hôte du jour, l'objectif de l'Uppr. Il s'agit de défendre les Institutions de la République, en général, et en particulier le chef de l'Etat. Parlant du racket, il a remercié Ange Kessy, le chef d'état-major Philippe Mangou et le ministre Tagro pour le combat qu'ils mènent contre le racket.
Renaud Djatchi
L’Union des patrons de presse pour la République (Uppr), avec à sa tête son président Tapé Koulou, a été reçue par le commissaire du gouvernement M .Ange Kessy. Le commissaire du gouvernement a profité de cette occasion pour les éclairer sur certains problèmes de la société. Il s'agit par exemple de la situation du journaliste. Selon l'hôte du jour, le journaliste doit jouir d'une immunité comme les députés et les ministres. De sorte qu'il ait assez de marge de liberté pour bien faire son travail. Car le journalisme est le 4e pouvoir. "Ce sont les journalistes qui ont fait du Président Obama ce qu'il est aujourd'hui. En révélant son génie politique au monde. Donc, si nous sommes, c'est grâce à vous", a-t-il expliqué. Avant de demander aux journalistes de se mettre résolument au travail pour la Côte d'Ivoire. Parce que selon lui, la Côte d'Ivoire sort d'une crise, il aura l'avenir de ce pays à préparer. A cette bataille, le commissaire du gouvernement a invité l'Uppr à donner à la Côte d'Ivoire, sa place de leader de la sous-région. Ange Kessy a parlé aux journalistes du racket qui sévit sur les routes. A ce niveau, il s'est dit indigné de certaines pratiques des corps habillés. Parce qu'il ne comprend pas pourquoi certains Ivoiriens subissent des injustices des hommes en treillis. Dans ses explications, il a expliqué les cas des personnes qu'on arrête parce qu'on les a trouvées au dehors, tard, dans la nuit. Souvent, on ne considère même pas les passeports dans les vérifications de routine de pièces. Aux journalistes, le commissaire du gouvernement a conseillé l'article 497 du code pénal. Afin qu'ils le rappellent aux corps habillés. "On nous a trop racketté. Ça suffit comme ça", a-t-il martelé. Avant de souligner que les mentalités de 2000 ne seront pas les mêmes que celle de 2010. Le président de l'Uppr, Tapé Koulou, a expliqué à l’hôte du jour, l'objectif de l'Uppr. Il s'agit de défendre les Institutions de la République, en général, et en particulier le chef de l'Etat. Parlant du racket, il a remercié Ange Kessy, le chef d'état-major Philippe Mangou et le ministre Tagro pour le combat qu'ils mènent contre le racket.
Renaud Djatchi