La Côte d’Ivoire a livré samedi un match au-dessus de la moyenne collectivement pour battre la Guinée (3-0), au Stade Houphouët-Boigny. Cependant sur le plan individuel, la note sur 10 varie d`un Eléphant à l`autre.
Zogbo : 7/10
Pour sa première titularisation dans les perches de la Côte d’Ivoire, l’ex-gardien de but d’Issia Wazi a fait un match tranquille. Sur deux actions, il a été mis à rude épreuve, mais jamais le portier du Maccabi d’Israël n’a pas tremblé. Il a su garder la cage ivoirienne inviolée, en l’absence du titulaire Copa Barry.
Eboué : 5/10
Il a été la fausse note chez les Eléphants. Jouant au petit trot, le latéral droit ivoirien a joué en dessous de sa valeur habituelle. Certainement à cause de la qualification déjà acquise.
Bamba : 8/10
Il a été le Ministre de la défense ivoirienne. Prompt dans ses sorties, toujours bien placé et doté du sens de l’anticipation, le colosse défenseur a gagné tous ses duels et comblé tous les espaces dans l’axe.
Angoua : 7/10
Associé à Bamba dans l’axe, Angoua Brou et son binôme ont été complémentaires. Le défenseur a assuré la couverture de son coéquipier quand cela fut nécessaire et sauvé le camp ivoirien sur deux balles chaudes.
Chico : 8/10
Positionné en latéral gauche en remplacement de Boka Arthur, Tiéné Siaka dit Chico a tiré son épingle du jeu. Intraitable sur son côté, il a été irréprochable dans son couloir. Sa belle prestation a été couronnée d’un beau but inscrit sur coup franc (68è mn).
Zokora : 8/10
Troisième capitaine des Eléphants, Maestro a été le maître dans l’entrejeu. Il a su museler son homologue de Guinée, Pascal Feindouno, sur lequel il a fait un marquage strict réussi. A n’en point douter, Zokora a su remplacer valablement les deux premiers détenteurs du brassard : Didier Drogba et Touré Kolo non alignés.
Yaya : 9/10
Largement au-dessus de la moyenne, Yaya est resté égal à lui-même. Comme à son habitude, il a ratissé et distribué de nombreux de bons ballons. C’est d’ailleurs sur l’un de ses caviars qu’Aruna a délivré une passe décisive à Gervinho sur le deuxième but. Sur un plateau d’or, il a donné le ballon du 4é but à Doumbia Seydou qui a gâché l’occasion. « L’ordinateur » a donc fonctionné à merveille.
Romaric : 8/10
Avec Yaya, il a privé les Guinéens de ballons. Sa frappe lourde n’a certes pas été mise en exergue, mais le gaucher ivoirien a pesé sur l’adversaire, lui imposant sa masse pour finalement étouffer le milieu guinéen.
Aruna : 8,5/10
Pour son grand retour, Aruna a été avec Yaya, Bamba et Gervinho, l’une des satisfactions de l’équipe ivoirienne. Il est l’auteur des deux passes décisives bien exploitées par Gervinho. « Dangerman » a donné du fil à retordre aux défenseurs guinéens, occasionnant de nombreux coups francs. Il aurait pu être l’homme du match, si son piqué (76è mn) n’avait pas échoué sur le montant de Kémoko, peu avant sa sortie largement ovationnée.
Gervinho : 9/10
Titularisé pour la première fois sur le front de l’attaque des Eléphants, Gervinho a fait montre de son immense talent et de ses qualités d’attaquant, mais surtout de buteur. Il a inscrit deux des trois buts ivoiriens, avec la manière. De petit gabarit, l’ailier ivoirien a donné du tournis aux défenseurs guinées plus costauds.
Kader Kéita : 6/10
Il a animé l’attaque ivoirienne en permutant du côté droit au côté gauche avec Gervinho. Ses dribbles chaloupés ont désarçonné la défense du Syli, mais l’attaquant n’a pas joué utile quand il le fallait sur certaines actions. Il s’est perdu dans ses dribbles. En réalité, Kader a préféré quelquefois faire la fête en se livrant en spectacle pour faire plaisir à ses fans, que d’être collectif.
Gosso : 5/10
Entré en remplacement de N’dri Koffi Romaric (72è mn), le Monégasque n’avait pas de repère au stade Houphouët-Boigny. Il a fait des glissades avant de prendre ses appuis, pour la vingtaine de minutes jouées.
Doumbia Seydou : 5/10
Remplaçant de Kader Kéita (80è mn), Doumbia Seydou, pour sa première titularisation, a gâché une nette occasion (88è mn) de but sur une ouverture de Yaya; il a manqué le cadre face au portier guinéen.
Cissé : 5/10
L’attaquant de Feyenoord a fait son entrée à la place d’Aruna (82è mn), au moment où tout était déjà accompli.
Hamed Konin
Zogbo : 7/10
Pour sa première titularisation dans les perches de la Côte d’Ivoire, l’ex-gardien de but d’Issia Wazi a fait un match tranquille. Sur deux actions, il a été mis à rude épreuve, mais jamais le portier du Maccabi d’Israël n’a pas tremblé. Il a su garder la cage ivoirienne inviolée, en l’absence du titulaire Copa Barry.
Eboué : 5/10
Il a été la fausse note chez les Eléphants. Jouant au petit trot, le latéral droit ivoirien a joué en dessous de sa valeur habituelle. Certainement à cause de la qualification déjà acquise.
Bamba : 8/10
Il a été le Ministre de la défense ivoirienne. Prompt dans ses sorties, toujours bien placé et doté du sens de l’anticipation, le colosse défenseur a gagné tous ses duels et comblé tous les espaces dans l’axe.
Angoua : 7/10
Associé à Bamba dans l’axe, Angoua Brou et son binôme ont été complémentaires. Le défenseur a assuré la couverture de son coéquipier quand cela fut nécessaire et sauvé le camp ivoirien sur deux balles chaudes.
Chico : 8/10
Positionné en latéral gauche en remplacement de Boka Arthur, Tiéné Siaka dit Chico a tiré son épingle du jeu. Intraitable sur son côté, il a été irréprochable dans son couloir. Sa belle prestation a été couronnée d’un beau but inscrit sur coup franc (68è mn).
Zokora : 8/10
Troisième capitaine des Eléphants, Maestro a été le maître dans l’entrejeu. Il a su museler son homologue de Guinée, Pascal Feindouno, sur lequel il a fait un marquage strict réussi. A n’en point douter, Zokora a su remplacer valablement les deux premiers détenteurs du brassard : Didier Drogba et Touré Kolo non alignés.
Yaya : 9/10
Largement au-dessus de la moyenne, Yaya est resté égal à lui-même. Comme à son habitude, il a ratissé et distribué de nombreux de bons ballons. C’est d’ailleurs sur l’un de ses caviars qu’Aruna a délivré une passe décisive à Gervinho sur le deuxième but. Sur un plateau d’or, il a donné le ballon du 4é but à Doumbia Seydou qui a gâché l’occasion. « L’ordinateur » a donc fonctionné à merveille.
Romaric : 8/10
Avec Yaya, il a privé les Guinéens de ballons. Sa frappe lourde n’a certes pas été mise en exergue, mais le gaucher ivoirien a pesé sur l’adversaire, lui imposant sa masse pour finalement étouffer le milieu guinéen.
Aruna : 8,5/10
Pour son grand retour, Aruna a été avec Yaya, Bamba et Gervinho, l’une des satisfactions de l’équipe ivoirienne. Il est l’auteur des deux passes décisives bien exploitées par Gervinho. « Dangerman » a donné du fil à retordre aux défenseurs guinéens, occasionnant de nombreux coups francs. Il aurait pu être l’homme du match, si son piqué (76è mn) n’avait pas échoué sur le montant de Kémoko, peu avant sa sortie largement ovationnée.
Gervinho : 9/10
Titularisé pour la première fois sur le front de l’attaque des Eléphants, Gervinho a fait montre de son immense talent et de ses qualités d’attaquant, mais surtout de buteur. Il a inscrit deux des trois buts ivoiriens, avec la manière. De petit gabarit, l’ailier ivoirien a donné du tournis aux défenseurs guinées plus costauds.
Kader Kéita : 6/10
Il a animé l’attaque ivoirienne en permutant du côté droit au côté gauche avec Gervinho. Ses dribbles chaloupés ont désarçonné la défense du Syli, mais l’attaquant n’a pas joué utile quand il le fallait sur certaines actions. Il s’est perdu dans ses dribbles. En réalité, Kader a préféré quelquefois faire la fête en se livrant en spectacle pour faire plaisir à ses fans, que d’être collectif.
Gosso : 5/10
Entré en remplacement de N’dri Koffi Romaric (72è mn), le Monégasque n’avait pas de repère au stade Houphouët-Boigny. Il a fait des glissades avant de prendre ses appuis, pour la vingtaine de minutes jouées.
Doumbia Seydou : 5/10
Remplaçant de Kader Kéita (80è mn), Doumbia Seydou, pour sa première titularisation, a gâché une nette occasion (88è mn) de but sur une ouverture de Yaya; il a manqué le cadre face au portier guinéen.
Cissé : 5/10
L’attaquant de Feyenoord a fait son entrée à la place d’Aruna (82è mn), au moment où tout était déjà accompli.
Hamed Konin