A l’issue du tirage au sort qui lui donne pour adversaires l’Algérie, le Malawi et le Mali, le sélectionneur angolais, Mauel Jose ne cachait pas sa satisfaction. L’Angola a évité les ténors du football africain. L’Angola peut aborder avec une certaine sérénité le premier tour.
C’est pour nous un bon groupe. Nous avons la chance de ne pas rencontrer l’Algérie, futur mondialiste, lors du match d’ouverture. Nous la rencontrerons lors de la dernière journée des matches de poules. Nous saurons alors exactement où nous en sommes. Pour avoir passé de nombreuses années à la tête d’Al Ahly, je connais bien les qualités et les défauts des équipes d’Afrique du Nord. L’Algérie est une équipe qui n’est pas aussi difficile à jouer. Mais elle sait parfaitement capitaliser sur vos erreurs. c’est un avantage de les retrouver en fin de parcours». Les Palancras Negras débuteront leur tournoi le 10 janvier contre les Aigles du Mali, rencontreront ensuite, le14 janvier le Malawi pour terminer le 18 contre l’Algérie. Même cas de réaction pour Vahid Halilhodzic. L’entraineur et sélectionneur des Eléphants ne fait pas la fine bouche sur le choix de ses adversaires qu’il juge tous redoutables. « Nous sommes tombés dans une poule difficile. Le Ghana ne sera pas un petit morceau à manger, même le Burkina Faso qui viendra pour se venger avec ses armes. La phase finale n’est pas pareille comme les éliminatoires, il faut penser à ce football togolais, car cette équipe là n’acceptera pas de jouer le rôle de petite équipe. Nous sommes beaucoup attendus à ce rendez-vous, la différence se fera dans la préparation et du sérieux des joueurs. J’ai les hommes capables de donner le trophée à leur pays, mais il me faut constituer une équipe. Vahid se montre par la suite optimiste : « Nous sommes les favoris du groupe. Mais nous aurons du pain sur la planche. Nous connaissons parfaitement le Burkina Faso qui était dans notre poule éliminatoire. Le Ghana, tout le monde, sait la valeur de ce football. Il faudra se battre. Mais les grandes équipes ne doivent pas avoir peur. La CAN est une compétition difficile avec une pression très forte sur chacun des participants. A nous d’assumer pleinement notre rôle de favori». Alain Giresse, le coach des Panthères du Gabon, est obligé de faire avec les Lions du Cameroun en match d’ouverture. Un autre duel sensationnel, qui intéresse le technicien français. « L’idéal, c’est de gagner le premier match contre le Cameroun. Je pense que notre poule est la plus difficile du tournoi. La Tunisie et la Zambie sont des ambitieux à craindre. Nous allons nous mettre au travail pour donner une cohésion à l’équipe et préparer les joueurs mentalement. Parce que cette étape est plus décisive que les éliminatoires. Je suis personnellement heureux d’être à ce rendez-vous de la fête du football africain en tant que participant. Contrairement au Ghana en 2008, où j’étais parmi les spectateurs dans les tribunes ».
C’est pour nous un bon groupe. Nous avons la chance de ne pas rencontrer l’Algérie, futur mondialiste, lors du match d’ouverture. Nous la rencontrerons lors de la dernière journée des matches de poules. Nous saurons alors exactement où nous en sommes. Pour avoir passé de nombreuses années à la tête d’Al Ahly, je connais bien les qualités et les défauts des équipes d’Afrique du Nord. L’Algérie est une équipe qui n’est pas aussi difficile à jouer. Mais elle sait parfaitement capitaliser sur vos erreurs. c’est un avantage de les retrouver en fin de parcours». Les Palancras Negras débuteront leur tournoi le 10 janvier contre les Aigles du Mali, rencontreront ensuite, le14 janvier le Malawi pour terminer le 18 contre l’Algérie. Même cas de réaction pour Vahid Halilhodzic. L’entraineur et sélectionneur des Eléphants ne fait pas la fine bouche sur le choix de ses adversaires qu’il juge tous redoutables. « Nous sommes tombés dans une poule difficile. Le Ghana ne sera pas un petit morceau à manger, même le Burkina Faso qui viendra pour se venger avec ses armes. La phase finale n’est pas pareille comme les éliminatoires, il faut penser à ce football togolais, car cette équipe là n’acceptera pas de jouer le rôle de petite équipe. Nous sommes beaucoup attendus à ce rendez-vous, la différence se fera dans la préparation et du sérieux des joueurs. J’ai les hommes capables de donner le trophée à leur pays, mais il me faut constituer une équipe. Vahid se montre par la suite optimiste : « Nous sommes les favoris du groupe. Mais nous aurons du pain sur la planche. Nous connaissons parfaitement le Burkina Faso qui était dans notre poule éliminatoire. Le Ghana, tout le monde, sait la valeur de ce football. Il faudra se battre. Mais les grandes équipes ne doivent pas avoir peur. La CAN est une compétition difficile avec une pression très forte sur chacun des participants. A nous d’assumer pleinement notre rôle de favori». Alain Giresse, le coach des Panthères du Gabon, est obligé de faire avec les Lions du Cameroun en match d’ouverture. Un autre duel sensationnel, qui intéresse le technicien français. « L’idéal, c’est de gagner le premier match contre le Cameroun. Je pense que notre poule est la plus difficile du tournoi. La Tunisie et la Zambie sont des ambitieux à craindre. Nous allons nous mettre au travail pour donner une cohésion à l’équipe et préparer les joueurs mentalement. Parce que cette étape est plus décisive que les éliminatoires. Je suis personnellement heureux d’être à ce rendez-vous de la fête du football africain en tant que participant. Contrairement au Ghana en 2008, où j’étais parmi les spectateurs dans les tribunes ».