Les Eléphants, qui étaient certains d’arracher la qualification pour la Coupe d’Afrique des nations (Can 2010), avaient déjà concocté un plan de préparation. Le président Jacques Anouma de la Fif, en homme heureux après la cinglante défaite infligée au Syli de guinée, a dévoilé le programme des Eléphants. Un menu savamment dosé, qui devrait permettre à l’équipe d’atterrir en tout assurance dans le Cabinda. «La préparation débutera véritablement vers la fin de l’année, probablement le 26 décembre. Ce sera une semaine à Abidjan et la dernière phase à partir du 2 janvier. Ce sera en Tanzanie ou en Afrique du Sud. Nous sommes en train de voir», annonce le président Anouma, qui réaffirme son ambition de remporter le trophée en Angola. «Dans tous les cas, nous irons chercher ce trophée, mais tous ensemble. Nous nous sommes fixé des objectifs et nous allons nous donner les moyens de les atteindre. Pour ce faire, j’appelle à la mobilisation et à la solidarité des Ivoiriens. Solidarité autour et au sein de l’équipe», poursuit-il. Que ce soit en Afrique du Sud ou en Tanzanie, les Eléphants disputeront deux matches amicaux avec des équipes locales avant de se rendre en Angola où ils débutent la compétitions contre le Burkina, une équipe qu’ils connaissent très bien le 8 janvier.
Pour la récompense des joueurs, M. Anouma s’en remet au Chef de l’Etat. «Vous l’avez écouté. C’est lui-même qui va les récompenser. Je ne sais pas ce qu’il leur réserve. C’est vrai qu’il y a une prime de qualification qui est au bout, il faut la payer», indique le président de la Fif, qui avoue n’avoir aucune crainte après le tirage au sort de la Can vendredi dernier. «Tous ceux qui sont là-bas sont des équipes à respecter. Aujourd’hui, il n’y a pas de tirage clément. Quel que, soit l’adversaire en face, nous soyons à la hauteur. Nous avons un statut à défendre. Il faut que les joueurs en soient conscients», estime-t-il.
Paul Bagnini
Pour la récompense des joueurs, M. Anouma s’en remet au Chef de l’Etat. «Vous l’avez écouté. C’est lui-même qui va les récompenser. Je ne sais pas ce qu’il leur réserve. C’est vrai qu’il y a une prime de qualification qui est au bout, il faut la payer», indique le président de la Fif, qui avoue n’avoir aucune crainte après le tirage au sort de la Can vendredi dernier. «Tous ceux qui sont là-bas sont des équipes à respecter. Aujourd’hui, il n’y a pas de tirage clément. Quel que, soit l’adversaire en face, nous soyons à la hauteur. Nous avons un statut à défendre. Il faut que les joueurs en soient conscients», estime-t-il.
Paul Bagnini
