La prochaine Can en Angola va-t-elle enregistrer la présence d’une autre superstar évoluant dans le Calcio ?
Tout porte à le croire. En effet, le jeune attaquant de l’Inter de Milan d’origine ghanéenne, Mario Balotelli, est courtisé par les Black Stars. L’entraîneur de cette sélection nationale, le Serbe Milovan Rajevac, veut le convaincre de porter le maillot du Ghana. Dans ce sens, une première rencontre a eu lieu, hier, entre les deux hommes. S’il arrivait à le convaincre, l’entraîneur du Ghana aurait un renfort de poids, pour cette compétition.
En fait, Balotelli, bien que né de parents ghanéens, s’est toujours considéré comme Italien. Il a été clair à ce sujet : « Je suis Italien, je me sens Italien, donc je jouerai avec la sélection italienne ». Pour la petite histoire, retenons que Balotelli est né en 1990 à Palerme.
Il a été abandonné par ses parents ghanéens peu de temps après une hospitalisation qui a duré 15 mois à l’hôpital Di Cristina. À deux ans, le tribunal des mineurs l’a confié à une famille de la région de Brescia, les Balotelli. C’est là que son aventure a commencé. Cependant, Balotelli songe de plus en plus à faire volte-face. Car ne pouvant plus faire face aux critiques et propos racistes qui sont son lot quotidien en club.
«Laissez-moi en paix ! A la longue, tu ne peux plus endurer toutes ces injures et tous ces blâmes. Connaître d’autres sensations m’intéresse», a-t-il envisagé, hier, dans un quotidien italien. Surtout que la plupart de ces cris racistes mettent en cause sa nationalité italienne: «Un Italien noir ! Cela n’existe pas !». Las d’entendre ces propos, super Balotelli ne cache plus ses intentions de jouer pour son pays d’origine. Une occasion que veut saisir le coach Rajevac pour étoffer sa bande, qui outre la Can, devra participer au Mondial au pays de Mandela.
Edgar Yéboué
Tout porte à le croire. En effet, le jeune attaquant de l’Inter de Milan d’origine ghanéenne, Mario Balotelli, est courtisé par les Black Stars. L’entraîneur de cette sélection nationale, le Serbe Milovan Rajevac, veut le convaincre de porter le maillot du Ghana. Dans ce sens, une première rencontre a eu lieu, hier, entre les deux hommes. S’il arrivait à le convaincre, l’entraîneur du Ghana aurait un renfort de poids, pour cette compétition.
En fait, Balotelli, bien que né de parents ghanéens, s’est toujours considéré comme Italien. Il a été clair à ce sujet : « Je suis Italien, je me sens Italien, donc je jouerai avec la sélection italienne ». Pour la petite histoire, retenons que Balotelli est né en 1990 à Palerme.
Il a été abandonné par ses parents ghanéens peu de temps après une hospitalisation qui a duré 15 mois à l’hôpital Di Cristina. À deux ans, le tribunal des mineurs l’a confié à une famille de la région de Brescia, les Balotelli. C’est là que son aventure a commencé. Cependant, Balotelli songe de plus en plus à faire volte-face. Car ne pouvant plus faire face aux critiques et propos racistes qui sont son lot quotidien en club.
«Laissez-moi en paix ! A la longue, tu ne peux plus endurer toutes ces injures et tous ces blâmes. Connaître d’autres sensations m’intéresse», a-t-il envisagé, hier, dans un quotidien italien. Surtout que la plupart de ces cris racistes mettent en cause sa nationalité italienne: «Un Italien noir ! Cela n’existe pas !». Las d’entendre ces propos, super Balotelli ne cache plus ses intentions de jouer pour son pays d’origine. Une occasion que veut saisir le coach Rajevac pour étoffer sa bande, qui outre la Can, devra participer au Mondial au pays de Mandela.
Edgar Yéboué
