L’actualité, c’est la Can angolaise qui va débuter dans quelques jours. Etes-vous déçu de n’avoir pas été convoqué par Vahid Halilhodzic ?
Non. Si je ne fais pas partie du groupe de la Can 2010, ce n’est pas la fin du monde. Je vais continuer de travailler. L’entraîneur a fait ses choix. Je me plie à cela. J’espère simplement que la prochaine fois sera la bonne pour moi.
Au Ghana en 2008, vous n’avez pas joué parce que blessé. Là, vous n’êtes pas convoqué…
Je ne me reproche rien. Footballistique ment parlant, je pense être en mesure de concurrencer avec ceux qui ont été convoqués. Il n’y a aucun problème.
Comment expliquez-vous alors le fait que vous continuez d’être ignoré par le sélectionneur depuis plusieurs mois ?
J’ai eu un problème avec la Fif.
Que s’est-il passé ?
C’est une histoire qui remonte aux Jeux Olympiques de Pékin où j’étais resté avec mon club.
Avez-vous des regrets aujourd’hui ?
(Hésitations) Je n’ai pas de regrets car j’estime avoir fait ma part de boulot en contribuant à la qualification de mon pays à des J.O. Je suis donc content que mes coéquipiers aient relevé le drapeau à Pékin.
Beaucoup de sportifs estiment que vous avez sacrifié votre pays au cours de cette compétition majeure…
Je venais à peine de signer un nouveau contrat. Ce n’est pas facile de quitter le championnat roumain pour la Bundesliga. Je ne voulais donc pas d’histoires avec mon club employeur. J’aurais pu être radié par Hanovre 96. Si c’était le cas, la Fif ne m’aurait pas trouvé un club…
N’est-ce pas à cause de cette histoire que vous n’êtes plus appelé chez les Eléphants ?
Absolument ! Et ça persiste encore.
Que comptez-vous faire pour arranger les choses ?
Un jour la Fif se souviendra de moi. Il n’y a rien d’autre à faire. Mon objectif est de rester toujours au top, de faire de bons matches et de pouvoir changer de club.
Quel bilan faites-vous de votre première partie de saison avec Hanovre 96 ?
Je pense que le bilan est positif du moment où je me suis bien comporté durant la phase aller. J’ai disputé tous les matches en dehors de celui contre Stuttgart où j’étais malade.
Par Guy-Florentin Yaméogo
Non. Si je ne fais pas partie du groupe de la Can 2010, ce n’est pas la fin du monde. Je vais continuer de travailler. L’entraîneur a fait ses choix. Je me plie à cela. J’espère simplement que la prochaine fois sera la bonne pour moi.
Au Ghana en 2008, vous n’avez pas joué parce que blessé. Là, vous n’êtes pas convoqué…
Je ne me reproche rien. Footballistique ment parlant, je pense être en mesure de concurrencer avec ceux qui ont été convoqués. Il n’y a aucun problème.
Comment expliquez-vous alors le fait que vous continuez d’être ignoré par le sélectionneur depuis plusieurs mois ?
J’ai eu un problème avec la Fif.
Que s’est-il passé ?
C’est une histoire qui remonte aux Jeux Olympiques de Pékin où j’étais resté avec mon club.
Avez-vous des regrets aujourd’hui ?
(Hésitations) Je n’ai pas de regrets car j’estime avoir fait ma part de boulot en contribuant à la qualification de mon pays à des J.O. Je suis donc content que mes coéquipiers aient relevé le drapeau à Pékin.
Beaucoup de sportifs estiment que vous avez sacrifié votre pays au cours de cette compétition majeure…
Je venais à peine de signer un nouveau contrat. Ce n’est pas facile de quitter le championnat roumain pour la Bundesliga. Je ne voulais donc pas d’histoires avec mon club employeur. J’aurais pu être radié par Hanovre 96. Si c’était le cas, la Fif ne m’aurait pas trouvé un club…
N’est-ce pas à cause de cette histoire que vous n’êtes plus appelé chez les Eléphants ?
Absolument ! Et ça persiste encore.
Que comptez-vous faire pour arranger les choses ?
Un jour la Fif se souviendra de moi. Il n’y a rien d’autre à faire. Mon objectif est de rester toujours au top, de faire de bons matches et de pouvoir changer de club.
Quel bilan faites-vous de votre première partie de saison avec Hanovre 96 ?
Je pense que le bilan est positif du moment où je me suis bien comporté durant la phase aller. J’ai disputé tous les matches en dehors de celui contre Stuttgart où j’étais malade.
Par Guy-Florentin Yaméogo
