Les représentants de l’Etat togolais, présents jeudi à Paris, ont porté plainte contre la CAF mais aussi contre le groupe rebelle de Cabinda baptisé, le Front de Libération de l’Etat de Cabinda. Cette plainte fait bien évidemment suite au mitraillage du bus de la sélection nationale par des rebelles du FLEC le vendredi 8 janvier dernier alors que les Eperviers se rendaient sur leur lieu de villégiature. Une attaque meurtrière qui avait fait deux morts au sein de la délégation togolaise : l’entraîneur-adjoint et l’intendant chargé de la communication.
Coulisses Publié le vendredi 5 février 2010 | Nord-Sud