L’ONG Bon Air a le plaisir de vous présenter son Rapport mensuel du mois de février 2010 et qui témoigne de l’état de la protection et de la promotion de l’environnement et du cadre de vie en Côte d’Ivoire.
L’ONG Bon Air a observé, avec satisfaction quelques actions en faveurs de la protection, de la promotion de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie dans notre pays au cours de ce mois.
Ces frémissements attendent d’être partagés par la population dans sa globalité. L’ONG Bon Air propose des recommandations pour consolider les acquis en la matière et œuvrer pour implanter durablement la sauvegarde de l’environnement et l’amélioration du cadre de vie dans le quotidien des populations.
Le présent rapport s’articulera donc sur deux axes :
- Situation sur l’évolution de la protection, de la promotion de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie
- Recommandations pour une préservation efficace de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie
I- Situation sur l’évolution de la protection, de la promotion de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie
L’ONG Bon Air constate avec bonheur que les questions environnementales gagnent du terrain dans la conscience collective nationale. L’environnement est en voie de devenir un sujet d’intérêt national. Les dirigeants politiques et certaines entreprises de la place ont engagé des pistes de réflexion pour la promotion et la préservation de l’environnement.
Ainsi l’ONG Bon Air se félicite de :
- La déclaration mémorable du Président de la République à la tribune des Nations Unies lors de la 64ème Assemblée Générale de cette institution concernant l’adoption d’un accord équitable et définitif sur les changements climatiques à la conférence de Copenhague du 7 au 18 décembre 2009.
L’ONG Bon Air avait en son temps salué cette intervention du Chef de l’Etat par un courrier adressé à la Présidence de la République.
- L’organisation le 3 février 2010 par la Société des Transports Abidjanais (SOTRA) et le District d’Abidjan d’un atelier de concertation sur la dépollution et la valorisation des baies lagunaires d’Abidjan.
- La déclaration par les immortels de l’Académie des Sciences, des Arts, des Cultures d’Afrique et des Diasporas (ASCAD) d’un séminaire sur la disparition de la forêt ivoirienne.
II- Recommandations pour une préservation efficace de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie
En vue d’une protection efficiente de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie, l’ONG Bon Air fait les recommandations suivantes :
• A SEM le Président de la République et à SEM le Premier Ministre
- L’engagement à inscrire la protection de l’environnement comme une priorité nationale ;
- le soutien à toutes les actions en faveur de la préservation de l’environnement ;
- la fermeté quant à l’application des lois et règlements en matière environnementale ;
- la mise à disposition de moyens financiers aux structures étatiques et l’implication effective des ONG dans la sensibilisation contre la destruction de l’environnement.
• Au Ministre en charge de l’environnement
- le respect et la vulgarisation du code de l’environnement ;
- la mise en place d’un comité de veille chargé d’évaluer et de solutionner les risques environnementaux en Côte d’Ivoire ;
- la diligence d’une étude sur la pollution des lagunes et la pollution automobile ;
- la reconstitution de l’écosystème lagunaire détruit par la collecte de sable de construction par l’instauration d’une règlementation rigoureuse et d’une taxe à cet effet ;
- la préservation des aires protégées par le déguerpissement des populations installées dans ces aires ;
- le contrôle de la pollution due aux unités industrielles et artisanales installées irrégulièrement à proximité des cours d’eaux (lagunes, océan, fleuve…) et y déversant des résidus nocifs.
• Au Ministre en charge de la construction et du cadre de vie
- Le respect des normes de construction et d’urbanisation des cités ivoiriennes ;
- La lutte rigoureuse contre l’occupation anarchique du domaine public qui défigure notre cadre de vie ;
- La promotion d’habitations écologiques.
• Au Gouverneur du District d’Abidjan
- L’arrêt de l’occupation anarchique et irrégulière du domaine public ;
- Le rétablissement des jardins publics dans leurs superficies originelles ;
- La création de décharges écologiques ;
- La prise en compte des projets de protection de l’environnement dans le budget du District.
• Au Président de l’UVICOCI
- La fin de l’occupation anarchique et irrégulière du domaine public ;
- La création de jardins publics et le rétablissement dans leurs superficies
originelles ceux dénaturés par la présence d’infrastructures telles que
les magasins;
- La construction de marchés modernes et accessibles financièrement aux
petits commerçants ;
- La collecte régulière des ordures ;
- La création de décharges écologiques.
• Aux populations ivoiriennes
- L’observation des dispositions du code de l’environnement ;
- L’adoption de comportements écologiques en n’acquérant que les produits écologiques ;
- L’information des autorités compétentes au sujet de tout comportement représentant un danger pour l’environnement.
Fait à Abidjan, le lundi 08 mars 2010
Pour le Bureau Exécutif de l’ONG Bon Air
Le Secrétaire Général
Vamara Gbon COULIBALY
L’ONG Bon Air a observé, avec satisfaction quelques actions en faveurs de la protection, de la promotion de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie dans notre pays au cours de ce mois.
Ces frémissements attendent d’être partagés par la population dans sa globalité. L’ONG Bon Air propose des recommandations pour consolider les acquis en la matière et œuvrer pour implanter durablement la sauvegarde de l’environnement et l’amélioration du cadre de vie dans le quotidien des populations.
Le présent rapport s’articulera donc sur deux axes :
- Situation sur l’évolution de la protection, de la promotion de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie
- Recommandations pour une préservation efficace de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie
I- Situation sur l’évolution de la protection, de la promotion de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie
L’ONG Bon Air constate avec bonheur que les questions environnementales gagnent du terrain dans la conscience collective nationale. L’environnement est en voie de devenir un sujet d’intérêt national. Les dirigeants politiques et certaines entreprises de la place ont engagé des pistes de réflexion pour la promotion et la préservation de l’environnement.
Ainsi l’ONG Bon Air se félicite de :
- La déclaration mémorable du Président de la République à la tribune des Nations Unies lors de la 64ème Assemblée Générale de cette institution concernant l’adoption d’un accord équitable et définitif sur les changements climatiques à la conférence de Copenhague du 7 au 18 décembre 2009.
L’ONG Bon Air avait en son temps salué cette intervention du Chef de l’Etat par un courrier adressé à la Présidence de la République.
- L’organisation le 3 février 2010 par la Société des Transports Abidjanais (SOTRA) et le District d’Abidjan d’un atelier de concertation sur la dépollution et la valorisation des baies lagunaires d’Abidjan.
- La déclaration par les immortels de l’Académie des Sciences, des Arts, des Cultures d’Afrique et des Diasporas (ASCAD) d’un séminaire sur la disparition de la forêt ivoirienne.
II- Recommandations pour une préservation efficace de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie
En vue d’une protection efficiente de l’environnement et de l’amélioration du cadre de vie, l’ONG Bon Air fait les recommandations suivantes :
• A SEM le Président de la République et à SEM le Premier Ministre
- L’engagement à inscrire la protection de l’environnement comme une priorité nationale ;
- le soutien à toutes les actions en faveur de la préservation de l’environnement ;
- la fermeté quant à l’application des lois et règlements en matière environnementale ;
- la mise à disposition de moyens financiers aux structures étatiques et l’implication effective des ONG dans la sensibilisation contre la destruction de l’environnement.
• Au Ministre en charge de l’environnement
- le respect et la vulgarisation du code de l’environnement ;
- la mise en place d’un comité de veille chargé d’évaluer et de solutionner les risques environnementaux en Côte d’Ivoire ;
- la diligence d’une étude sur la pollution des lagunes et la pollution automobile ;
- la reconstitution de l’écosystème lagunaire détruit par la collecte de sable de construction par l’instauration d’une règlementation rigoureuse et d’une taxe à cet effet ;
- la préservation des aires protégées par le déguerpissement des populations installées dans ces aires ;
- le contrôle de la pollution due aux unités industrielles et artisanales installées irrégulièrement à proximité des cours d’eaux (lagunes, océan, fleuve…) et y déversant des résidus nocifs.
• Au Ministre en charge de la construction et du cadre de vie
- Le respect des normes de construction et d’urbanisation des cités ivoiriennes ;
- La lutte rigoureuse contre l’occupation anarchique du domaine public qui défigure notre cadre de vie ;
- La promotion d’habitations écologiques.
• Au Gouverneur du District d’Abidjan
- L’arrêt de l’occupation anarchique et irrégulière du domaine public ;
- Le rétablissement des jardins publics dans leurs superficies originelles ;
- La création de décharges écologiques ;
- La prise en compte des projets de protection de l’environnement dans le budget du District.
• Au Président de l’UVICOCI
- La fin de l’occupation anarchique et irrégulière du domaine public ;
- La création de jardins publics et le rétablissement dans leurs superficies
originelles ceux dénaturés par la présence d’infrastructures telles que
les magasins;
- La construction de marchés modernes et accessibles financièrement aux
petits commerçants ;
- La collecte régulière des ordures ;
- La création de décharges écologiques.
• Aux populations ivoiriennes
- L’observation des dispositions du code de l’environnement ;
- L’adoption de comportements écologiques en n’acquérant que les produits écologiques ;
- L’information des autorités compétentes au sujet de tout comportement représentant un danger pour l’environnement.
Fait à Abidjan, le lundi 08 mars 2010
Pour le Bureau Exécutif de l’ONG Bon Air
Le Secrétaire Général
Vamara Gbon COULIBALY