Mme Simone Ehivet Gbagbo a parrainé, jeudi dernier, les festivités marquant le cinquantenaire de l`Inspection préscolaire et primaire (Iep) de Grand Bassam. C`était au stade municipal de la ville.
1958-2010, il y a 52 ans que naissait l`Iep de Grand Bassam. L`événement a été célébré avec ferveur, hier. La première dame Simone Ehivet Gbagbo a salué les résultats obtenus. Mais concernant ceux de l`année dernière, (80,45% d`admis au Cepe et 47,78% à l`entrée en 6ème) elle a indiqué qu`on peut faire mieux. " On doit faire mieux parce que l`enseignement coûte cher en Côte d`Ivoire ", a-t-elle dit. Mme Gbagbo a par ailleurs souhaité la création d`un centre de formation aux métiers de l`eau afin d`intégrer cette valeur traditionnelle qu`est la pêche pour les bassamois aux besoins de la modernité et garantir également l`autosuffisance en poisson. " Aujourd`hui, nous sommes obligés d`importer les tilapia, les carpes de Chine. Cela veut dire qu`il y a quelque chose qui ne va pas. Le poisson que nous sommes heureux de manger, nous vient de Chine. "Aïaoué ! Chine !" " s`est indignée Simone Gbagbo. A l`instar de Mme Essis Tomé, représentant le ministre de l`Education nationale, le député-maire Jean Michel Moulod a aussi salué le bon parcourts de l`Iep de Grand Bassam. Il a fait savoir que des grands serviteurs de l`école dans la première capitale seront immortalisés en rebaptisant des établissements. Mme Manglé Marie Josée, Inspectrice de l`enseignement primaire a rendu hommage aux 13 inspecteurs qui l`ont précédée. Elle a énuméré des doléances dont certaines ont été prises en compte par la Première Dame et par M Gomon Diagou, maire de Cocody. La remise de prix aux meilleurs élèves et des diplômes aux anciens inspecteurs ont été des moments forts de cette cérémonie qui n`a pas laissé des Bassamois indifférents. " Le président Gbagbo dit que l`école est gratuite et la Première Dame déclare que l`école est chère en Côte d`Ivoire…Et c’est ce qui est la réalité" a réagi un invité à la sortie du stade. Quand un autre d`indiquer que " la Première Dame doit faire rouvrir l`embouchure pour qu`il y ait beaucoup de poissons… ".
Diarrassouba Sory
1958-2010, il y a 52 ans que naissait l`Iep de Grand Bassam. L`événement a été célébré avec ferveur, hier. La première dame Simone Ehivet Gbagbo a salué les résultats obtenus. Mais concernant ceux de l`année dernière, (80,45% d`admis au Cepe et 47,78% à l`entrée en 6ème) elle a indiqué qu`on peut faire mieux. " On doit faire mieux parce que l`enseignement coûte cher en Côte d`Ivoire ", a-t-elle dit. Mme Gbagbo a par ailleurs souhaité la création d`un centre de formation aux métiers de l`eau afin d`intégrer cette valeur traditionnelle qu`est la pêche pour les bassamois aux besoins de la modernité et garantir également l`autosuffisance en poisson. " Aujourd`hui, nous sommes obligés d`importer les tilapia, les carpes de Chine. Cela veut dire qu`il y a quelque chose qui ne va pas. Le poisson que nous sommes heureux de manger, nous vient de Chine. "Aïaoué ! Chine !" " s`est indignée Simone Gbagbo. A l`instar de Mme Essis Tomé, représentant le ministre de l`Education nationale, le député-maire Jean Michel Moulod a aussi salué le bon parcourts de l`Iep de Grand Bassam. Il a fait savoir que des grands serviteurs de l`école dans la première capitale seront immortalisés en rebaptisant des établissements. Mme Manglé Marie Josée, Inspectrice de l`enseignement primaire a rendu hommage aux 13 inspecteurs qui l`ont précédée. Elle a énuméré des doléances dont certaines ont été prises en compte par la Première Dame et par M Gomon Diagou, maire de Cocody. La remise de prix aux meilleurs élèves et des diplômes aux anciens inspecteurs ont été des moments forts de cette cérémonie qui n`a pas laissé des Bassamois indifférents. " Le président Gbagbo dit que l`école est gratuite et la Première Dame déclare que l`école est chère en Côte d`Ivoire…Et c’est ce qui est la réalité" a réagi un invité à la sortie du stade. Quand un autre d`indiquer que " la Première Dame doit faire rouvrir l`embouchure pour qu`il y ait beaucoup de poissons… ".
Diarrassouba Sory