CONAKRY - L'organisation de la société civile en Guinée a relevé mardi des "situations déplorables" et des "dérapages" lors du scrutin présidentiel organisé dimanche dans le pays.
Dans une déclaration rendue publique mardi, la société relève des "manquements" à plusieurs niveaux aussi bien dans les communes de Conakry que dans certaines villes ou régions à l'intérieur du pays.
Ces manquements, selon le communiqué, sont relatifs à des tentatives de chefs de quartier de faire voter des personnes sans carte d'électeur ou à plusieurs reprises, à des défauts de signature sur les procès-verbaux, à des écarts de voix entre le suffrage exprimé lors du dépouillement et celui retrouvé au moment de la centralisation des résultats ou encore à des tentatives d'utilisation de cartes d'électeurs falsifiées.
Toutefois, précise la société civile, ces tentatives de fraude, ont été toutes déjouées grâce à la vigilance des organisateurs du scrutin et de la population elle-même.
Le scrutin a connu une très forte participation estimée, selon la société civile, à un taux de 80% sur 4,2 millions d'électeurs répartis dans quelques 8000 bureaux de vote pour choisir, parmi 24 candidats, le président de la République.
Les résultats sont attendus mercredi.
Dans le cas où aucun candidat n'obtient la majorité absolue au premier tour, un second tour qui pourrait intervenir le 18 juillet, toujours selon les médias, opposera les deux candidats arrivés en tête.
Dans une déclaration rendue publique mardi, la société relève des "manquements" à plusieurs niveaux aussi bien dans les communes de Conakry que dans certaines villes ou régions à l'intérieur du pays.
Ces manquements, selon le communiqué, sont relatifs à des tentatives de chefs de quartier de faire voter des personnes sans carte d'électeur ou à plusieurs reprises, à des défauts de signature sur les procès-verbaux, à des écarts de voix entre le suffrage exprimé lors du dépouillement et celui retrouvé au moment de la centralisation des résultats ou encore à des tentatives d'utilisation de cartes d'électeurs falsifiées.
Toutefois, précise la société civile, ces tentatives de fraude, ont été toutes déjouées grâce à la vigilance des organisateurs du scrutin et de la population elle-même.
Le scrutin a connu une très forte participation estimée, selon la société civile, à un taux de 80% sur 4,2 millions d'électeurs répartis dans quelques 8000 bureaux de vote pour choisir, parmi 24 candidats, le président de la République.
Les résultats sont attendus mercredi.
Dans le cas où aucun candidat n'obtient la majorité absolue au premier tour, un second tour qui pourrait intervenir le 18 juillet, toujours selon les médias, opposera les deux candidats arrivés en tête.