Hier, le professeur de droit constitutionnel, Ouraga Obou, s'est prononcé dans l'affaire de la réouverture des candidatures à la présidentielle. Selon le Pr Obou, du point de vue du droit, la possibilité d'ouvrir une nouvelle liste de postulants à la magistrature suprême n'existerait qu'en cas de décès d'un des candidats déjà déclarés. Toujours selon Ouraga Obou, si réouverture, il doit y avoir, ce serait sur des bases politiques.
Coulisses Publié le mercredi 7 juillet 2010 | Nord-Sud