Il aura 18 ans en décembre prochain. Il est attaquant dans le club italien de Chievo Verone et il ne paie pas de mine sur un terrain de football. Tallo Gadji Junior, le neveu de l’ex-capitaine des Eléphants, Gadji Celi St Joseph, a séduit le Stade Houphouet-Boigny, dimanche devant les Juniors tanzaniens. Auteur de l’unique but de la partie, il livre ses émotions et avoue que le nom Gadji est lourd à porter…
Comment votre histoire avec le football a-t-elle commencé ?
C’est au Stella, dans les catégories de jeunes, que mon histoire avec le football a véritablement commencé. En 2008, j’ai été transféré au Chievo Verone en Italie (Serie A).
Dans quelle catégorie évoluez-vous au Chievo Verone ?
Cela fait deux ans que j’évolue avec la réserve du Chievo Verone. Mais cette saison, mes dirigeants m’ont permis de franchir un palier supérieur. Je fais donc désormais partie du groupe A. Nous sommes en préparation.
Que répondez-vous à ceux qui vous comparent déjà à votre oncle Gadji Céli ?
(Sourire). Il n’y a pas de comparaison à faire. Gadji Céli évoluait au poste de milieu défensif. Moi, je suis attaquant.
La comparaison avec Gadji Céli pèse-t-elle sur vos frêles épaules ?
Oui beaucoup. C’est un nom lourd à porter lorsqu’on est footballeur en Côte d’Ivoire.
Pour votre premier match au Stade Houphouet-Boigny, dimanche, contre les Tanzaniens, que retenez-vous ?
C’était mon premier match sous le maillot des Eléphants. C’était bien. Nous avons manqué de chance. Nous aurions pu gagner par 5-0.
Premier match, premier but…
Oui. Je suis content. Ça fait plaisir de marquer pour le pays.
Comment entrevoyez-vous le match retour à Dar-Es-Salam ?
Je ne sais pas si je serai de la partie.
Pourquoi ?
Je suis en préparation en ce moment avec mon club italien. Déjà, ç’a été dur de venir pour disputer le match du dimanche. On verra. J’encourage mes coéquipiers et je crois qu’ils se qualifieront.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Comment votre histoire avec le football a-t-elle commencé ?
C’est au Stella, dans les catégories de jeunes, que mon histoire avec le football a véritablement commencé. En 2008, j’ai été transféré au Chievo Verone en Italie (Serie A).
Dans quelle catégorie évoluez-vous au Chievo Verone ?
Cela fait deux ans que j’évolue avec la réserve du Chievo Verone. Mais cette saison, mes dirigeants m’ont permis de franchir un palier supérieur. Je fais donc désormais partie du groupe A. Nous sommes en préparation.
Que répondez-vous à ceux qui vous comparent déjà à votre oncle Gadji Céli ?
(Sourire). Il n’y a pas de comparaison à faire. Gadji Céli évoluait au poste de milieu défensif. Moi, je suis attaquant.
La comparaison avec Gadji Céli pèse-t-elle sur vos frêles épaules ?
Oui beaucoup. C’est un nom lourd à porter lorsqu’on est footballeur en Côte d’Ivoire.
Pour votre premier match au Stade Houphouet-Boigny, dimanche, contre les Tanzaniens, que retenez-vous ?
C’était mon premier match sous le maillot des Eléphants. C’était bien. Nous avons manqué de chance. Nous aurions pu gagner par 5-0.
Premier match, premier but…
Oui. Je suis content. Ça fait plaisir de marquer pour le pays.
Comment entrevoyez-vous le match retour à Dar-Es-Salam ?
Je ne sais pas si je serai de la partie.
Pourquoi ?
Je suis en préparation en ce moment avec mon club italien. Déjà, ç’a été dur de venir pour disputer le match du dimanche. On verra. J’encourage mes coéquipiers et je crois qu’ils se qualifieront.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo