Parti de la présidence de l’Africa depuis bientôt une décennie, pour diverses querelles, Doré Lanciné affirme qu’il n’est pas frustré. Mais pourquoi se fait-il rare dans les stades ?
Patron du comité de pilotage des travaux du siège de l’Africa à Treichville, considérez-vous cela comme une reconnaissance ?
Oui. J’ai commencé l’œuvre quand j’étais aux affaires. C’était pour que l’Africa puisse rayonner. A son arrivée, Kuyo Téa Narcisse m’a fait appel (les autres ne l’ont pas fait) et je viens pour l’aider. J’aime l’Africa et je l’aide pour que l’équipe avance.
Croyez-vous au succès de votre mission ?
Nous n’avons pas de siège jusque-là. Et cela n’est pas normal. Kuyo Téa Narcisse va terminer ce que j’ai entamé en 2000. Certainement que quelqu’un d’autre arrivera pour parachever le tout. Nous n’en savons rien.
L’Africa n’est-elle pas encore trop tenaillée par les conflits ?
Il faut que les gens oublient les problèmes et viennent aider le club. Nous devons former une famille unie. C’est uni, comme nous l’avons été par le passé, que nous vaincrons. Divisés, nous ne pourrons rien.
Comment jugez-vous les résultats actuels de l’Africa ?
Les résultats actuels sont à la hauteur de l’Africa. Aujourd’hui, il n’y a pas d’oiseaux rares sur le plan national. C’est difficile. L’Africa fait du mieux qu’elle peut. Nous avons la Coupe nationale. C’est une bonne chose. Nous nous battrons encore afin d’avoir un meilleur rang en Ligue 1. L’année prochaine, nous bâtirons une bonne équipe pour attaquer l’Afrique car c’est cela qui nous intéresse.
Comment expliquez-vous votre absence dans les différents stades ?
Je ne vais pas au stade car nous avons mis en place une organisation. Eric Tiacoh, le président de la section football, fait son travail. Derrière, nous le poussons. Nous laissons aussi tous ceux à qui des rôles ont été donnés prendre leurs marques. Plus tard, nous viendrons au stade. Promis !
Tout le monde se souvient des conditions dans lesquelles vous avez été poussé dehors. N’êtes-vous pas toujours frustré ?
Je ne suis pas frustré. Si je l’étais, je ne serais pas venu aider Kuyo Téa. Je connais la maison Africa Sports comme ma poche (depuis 20 ans). Je n’ai jamais répondu à quelqu’un à travers un journal. Malgré le fait que j’étais loin de l’équipe, j’aidais le club à certains niveaux. Pour ceux qui sont partis pour frustration, je pense que ce sont des incompréhensions.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Patron du comité de pilotage des travaux du siège de l’Africa à Treichville, considérez-vous cela comme une reconnaissance ?
Oui. J’ai commencé l’œuvre quand j’étais aux affaires. C’était pour que l’Africa puisse rayonner. A son arrivée, Kuyo Téa Narcisse m’a fait appel (les autres ne l’ont pas fait) et je viens pour l’aider. J’aime l’Africa et je l’aide pour que l’équipe avance.
Croyez-vous au succès de votre mission ?
Nous n’avons pas de siège jusque-là. Et cela n’est pas normal. Kuyo Téa Narcisse va terminer ce que j’ai entamé en 2000. Certainement que quelqu’un d’autre arrivera pour parachever le tout. Nous n’en savons rien.
L’Africa n’est-elle pas encore trop tenaillée par les conflits ?
Il faut que les gens oublient les problèmes et viennent aider le club. Nous devons former une famille unie. C’est uni, comme nous l’avons été par le passé, que nous vaincrons. Divisés, nous ne pourrons rien.
Comment jugez-vous les résultats actuels de l’Africa ?
Les résultats actuels sont à la hauteur de l’Africa. Aujourd’hui, il n’y a pas d’oiseaux rares sur le plan national. C’est difficile. L’Africa fait du mieux qu’elle peut. Nous avons la Coupe nationale. C’est une bonne chose. Nous nous battrons encore afin d’avoir un meilleur rang en Ligue 1. L’année prochaine, nous bâtirons une bonne équipe pour attaquer l’Afrique car c’est cela qui nous intéresse.
Comment expliquez-vous votre absence dans les différents stades ?
Je ne vais pas au stade car nous avons mis en place une organisation. Eric Tiacoh, le président de la section football, fait son travail. Derrière, nous le poussons. Nous laissons aussi tous ceux à qui des rôles ont été donnés prendre leurs marques. Plus tard, nous viendrons au stade. Promis !
Tout le monde se souvient des conditions dans lesquelles vous avez été poussé dehors. N’êtes-vous pas toujours frustré ?
Je ne suis pas frustré. Si je l’étais, je ne serais pas venu aider Kuyo Téa. Je connais la maison Africa Sports comme ma poche (depuis 20 ans). Je n’ai jamais répondu à quelqu’un à travers un journal. Malgré le fait que j’étais loin de l’équipe, j’aidais le club à certains niveaux. Pour ceux qui sont partis pour frustration, je pense que ce sont des incompréhensions.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
