Les Eléphants ont un nouvel entraîneur. Zahoui François ayant réussi son examen de passage, lors de la rencontre amicale contre l’Italie, Jacques Anouma lui donne sa chance. Disons les choses comme ça…
Tout ça pour ça… pourrait-on être tenté de dire. Depuis le dimanche 25 juin, date d’un certain Corée du Nord-Côte d’Ivoire (0-3) à Nelspruit à l’occasion du dernier Mondial, les Eléphants n’avaient plus de sélectionneur-entraîneur. Le bail de Sven-Göran Eriksson ayant pris fin après une pige de trois mois, Jacques Anouma a repris un exercice qu’il affectionne particulièrement : chercher un nouvel entraîneur à nos pachydermes. L’attente a été longue et même ennuyeuse, avouons-le. Une demi-douzaine de noms de tous les continents ont été cités. Avec récurrence. Si le Français Elie Baup a vite dit niet, son compatriote Gérard Gili a (finalement) reculé devant la menace des cadres. Il y a eu, tour à tour, l’Argentin José Pekerman, l’Anglais Glenn Hoddle, le Brésilien Baltemar Brito et autres qui ont été sondés. Sans succès. Une vraie équation pour Jacques Anouma et ses proches collaborateurs. L’imminence de la rencontre amicale du mardi 10 août dernier, à Londres, a alors contraint nos dirigeants à accélérer les discussions. Toujours sans succès. C’est donc à la va-vite, faute d’avoir ferré le gros poisson espéré, que Zahoui François a été prié d’accompagner les Eléphants à Londres devant la Squadra Azzurra. Bingo ! Le match amical remporté (1-0), avec la manière, a révélé l’ex-responsable des cadets de Toulon (France). Pas besoin d’aller chercher en Suède ou en France, ce qui est ici même. Toujours courtois, le premier Ivoirien a évolué dans le Calcio aurait convaincu joueurs et dirigeants. Résultat des courses, il rafle la mise. Et il sera officiellement présenté à la presse comme le successeur de Sven-Göran Eriksson. Dans les prochains jours. Hier, il a échangé avec le patron du football ivoirien. Histoire d’apprendre les codes et les spécificités du milieu.
Guy-Florentin Yaméogo
Tout ça pour ça… pourrait-on être tenté de dire. Depuis le dimanche 25 juin, date d’un certain Corée du Nord-Côte d’Ivoire (0-3) à Nelspruit à l’occasion du dernier Mondial, les Eléphants n’avaient plus de sélectionneur-entraîneur. Le bail de Sven-Göran Eriksson ayant pris fin après une pige de trois mois, Jacques Anouma a repris un exercice qu’il affectionne particulièrement : chercher un nouvel entraîneur à nos pachydermes. L’attente a été longue et même ennuyeuse, avouons-le. Une demi-douzaine de noms de tous les continents ont été cités. Avec récurrence. Si le Français Elie Baup a vite dit niet, son compatriote Gérard Gili a (finalement) reculé devant la menace des cadres. Il y a eu, tour à tour, l’Argentin José Pekerman, l’Anglais Glenn Hoddle, le Brésilien Baltemar Brito et autres qui ont été sondés. Sans succès. Une vraie équation pour Jacques Anouma et ses proches collaborateurs. L’imminence de la rencontre amicale du mardi 10 août dernier, à Londres, a alors contraint nos dirigeants à accélérer les discussions. Toujours sans succès. C’est donc à la va-vite, faute d’avoir ferré le gros poisson espéré, que Zahoui François a été prié d’accompagner les Eléphants à Londres devant la Squadra Azzurra. Bingo ! Le match amical remporté (1-0), avec la manière, a révélé l’ex-responsable des cadets de Toulon (France). Pas besoin d’aller chercher en Suède ou en France, ce qui est ici même. Toujours courtois, le premier Ivoirien a évolué dans le Calcio aurait convaincu joueurs et dirigeants. Résultat des courses, il rafle la mise. Et il sera officiellement présenté à la presse comme le successeur de Sven-Göran Eriksson. Dans les prochains jours. Hier, il a échangé avec le patron du football ivoirien. Histoire d’apprendre les codes et les spécificités du milieu.
Guy-Florentin Yaméogo
