Basketnews.net - Auteur de 13 points dans la défaites des Éléphants dimanche à Villeurbanne contre les Bleus, Pape Philippe Amagou (1,85 m, 25 ans) a pris beaucoup de plaisir à jouer contre une équipe qu’il connaît très bien.
Propos recueillis par Laurent SALLARD, à Villeurbanne (23/08/10)
Vous aviez mal démarré face aux Bleus, mais vous êtes revenus à -6 sur la fin. Qu’as-tu pensé de ce match ?
On a des regrets parce qu’on manque cruellement de rythme. On n’avait pas joué de matches depuis deux semaines. On a fait que des entraînements, mais ça ne reproduit pas l’intensité d’un match. On revenait d’un stage en Espagne et on s’est entraîné à Compiègne. On avait perdu le rythme et tout le monde était cramé au bout de trois minutes. C’est revenu au fur et à mesure. C’est bien pour nous de faire ce tournoi pour retrouver du rythme avant la compétition. Un peu de regrets, mais ce n’est pas grave, ce ne sont que des matches amicaux, ce n’est pas maintenant qu’il faut être au top.
C’était un match spécial, parce que de nombreux joueurs ivoiriens évoluent en France, ou sont français…
C’était un match contre des potes. Du coach aux joueurs, je connaissais tout le monde, donc c’était sympa.
Y avait-il une motivation spéciale ?
Un plaisir plutôt. C’est déjà plaisant de préparer un championnat du monde, et de jouer en plus l’équipe de France et le coach qui m’a donné ma première chance, c’est d’autant plus plaisant.
Comment sens-tu ce championnat du monde ?
Ce match contre la France va justement nous permettre de bien nous tester parce que nous n’avions pas joué de match depuis deux semaines. C’est bien pour nous parce que nous avons vraiment un groupe très difficile. Deux équipes sont à notre portée : la Chine et Porto-Rico. Et on va essayer de créer une surprise. On va y aller le couteau entre les dents, et sans pression, parce que personne ne nous attend. Donc ça ne sert à rien de se mettre un surcroît de pression.
Vous jouez le Brésil et l’Australie. Qu’attends-tu de ce match ?
Se remettre en rythme et prendre de la confiance. Mais on a déjà joué l’Espagne et on était à +1 après trois quarts-temps. Donc ce n’est pas tant de la confiance que des repères qu’on cherche.
Propos recueillis par Laurent SALLARD, à Villeurbanne (23/08/10)
Vous aviez mal démarré face aux Bleus, mais vous êtes revenus à -6 sur la fin. Qu’as-tu pensé de ce match ?
On a des regrets parce qu’on manque cruellement de rythme. On n’avait pas joué de matches depuis deux semaines. On a fait que des entraînements, mais ça ne reproduit pas l’intensité d’un match. On revenait d’un stage en Espagne et on s’est entraîné à Compiègne. On avait perdu le rythme et tout le monde était cramé au bout de trois minutes. C’est revenu au fur et à mesure. C’est bien pour nous de faire ce tournoi pour retrouver du rythme avant la compétition. Un peu de regrets, mais ce n’est pas grave, ce ne sont que des matches amicaux, ce n’est pas maintenant qu’il faut être au top.
C’était un match spécial, parce que de nombreux joueurs ivoiriens évoluent en France, ou sont français…
C’était un match contre des potes. Du coach aux joueurs, je connaissais tout le monde, donc c’était sympa.
Y avait-il une motivation spéciale ?
Un plaisir plutôt. C’est déjà plaisant de préparer un championnat du monde, et de jouer en plus l’équipe de France et le coach qui m’a donné ma première chance, c’est d’autant plus plaisant.
Comment sens-tu ce championnat du monde ?
Ce match contre la France va justement nous permettre de bien nous tester parce que nous n’avions pas joué de match depuis deux semaines. C’est bien pour nous parce que nous avons vraiment un groupe très difficile. Deux équipes sont à notre portée : la Chine et Porto-Rico. Et on va essayer de créer une surprise. On va y aller le couteau entre les dents, et sans pression, parce que personne ne nous attend. Donc ça ne sert à rien de se mettre un surcroît de pression.
Vous jouez le Brésil et l’Australie. Qu’attends-tu de ce match ?
Se remettre en rythme et prendre de la confiance. Mais on a déjà joué l’Espagne et on était à +1 après trois quarts-temps. Donc ce n’est pas tant de la confiance que des repères qu’on cherche.
