Abidjan - L’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) a rencontré, mercredi 24 août 2010 à son siège à Sébroko, le corps diplomatique accrédité en Côte d’Ivoire afin de lui présenter le résultat de son enquête spéciale sur les violations des droits de l’homme liées aux événements survenus en février 2010.
Lors de la rencontre, le chef de la Division des Droits de l’Homme (DDH) de l’ONUCI, M. Simon Munzu, a présenté les grandes lignes des résultats de l’enquête contenues dans un rapport qui sera publié le jeudi 26 août. Ce rapport, a-t-il indiqué, révèle des violations graves des droits de l’homme, caractérisées par « un usage disproportionné de la force par les Forces de Défense et de Sécurité (FDS), des exécutions sommaires, extrajudiciaires et des atteintes à l’intégrité physique ayant entrainé la mort, des violences physiques, des actes d’intimidation, d’arrestation et de détention arbitraires ainsi que des actes de violence et des abus commis par des manifestants ».
« L’observation des droits de l’homme est une mission de l’ONUCI », a rappelé le Représentant special adjoint du Secrétaire général de l’ONU, M. Ndolamb Ngokwey, qui présidait la rencontre. « L’enquête a été réalisée par les 9 bureaux régionaux de la DDH et porte une attention particulière à la situation des femmes et des enfants », a ajouté M. Ngokwey.
Les membres du corps diplomatique accrédités en Côte d’Ivoire ainsi que les responsables des agences, fonds et programmes du système des Nations Unies en Côte d’Ivoire ont salué la qualité du travail effectué par l’ONUCI et commenté les recommandations. « Ce rapport viendra éclairer ces évènements de février déplorés par la Communauté internationale», a commenté le Doyen du corps diplomatique en Côte d’Ivoire, Mgr Ambroise Madtha.
Le rapport avait été partagé, avant sa finalisation, avec les autorités ivoiriennes, notamment le Gouvernement, les responsables des Forces Nouvelles et les leaders politiques, afin de recueillir des observations. Ces autorités sont les destinataires des principales recommandations formulées dans le rapport, tout comme les Nations Unies et la Communauté Internationale.
Lors de la rencontre, le chef de la Division des Droits de l’Homme (DDH) de l’ONUCI, M. Simon Munzu, a présenté les grandes lignes des résultats de l’enquête contenues dans un rapport qui sera publié le jeudi 26 août. Ce rapport, a-t-il indiqué, révèle des violations graves des droits de l’homme, caractérisées par « un usage disproportionné de la force par les Forces de Défense et de Sécurité (FDS), des exécutions sommaires, extrajudiciaires et des atteintes à l’intégrité physique ayant entrainé la mort, des violences physiques, des actes d’intimidation, d’arrestation et de détention arbitraires ainsi que des actes de violence et des abus commis par des manifestants ».
« L’observation des droits de l’homme est une mission de l’ONUCI », a rappelé le Représentant special adjoint du Secrétaire général de l’ONU, M. Ndolamb Ngokwey, qui présidait la rencontre. « L’enquête a été réalisée par les 9 bureaux régionaux de la DDH et porte une attention particulière à la situation des femmes et des enfants », a ajouté M. Ngokwey.
Les membres du corps diplomatique accrédités en Côte d’Ivoire ainsi que les responsables des agences, fonds et programmes du système des Nations Unies en Côte d’Ivoire ont salué la qualité du travail effectué par l’ONUCI et commenté les recommandations. « Ce rapport viendra éclairer ces évènements de février déplorés par la Communauté internationale», a commenté le Doyen du corps diplomatique en Côte d’Ivoire, Mgr Ambroise Madtha.
Le rapport avait été partagé, avant sa finalisation, avec les autorités ivoiriennes, notamment le Gouvernement, les responsables des Forces Nouvelles et les leaders politiques, afin de recueillir des observations. Ces autorités sont les destinataires des principales recommandations formulées dans le rapport, tout comme les Nations Unies et la Communauté Internationale.