Véritable plaidoyer que fait Charles Blé Goudé auprès des douaniers. « Je vous demande pardon, personne n’est à l’aise dans sa condition de vie. Je souhaite que vous soyez indulgents. Si nous sortons de la crise, la vie va s’améliorer. Faites en sorte que les Ivoiriens vous célèbrent un jour. Une année d’attente ce n’est pas beaucoup ; soyez patients et n’apparaissez pas comme ceux qui sont à la base des malheurs des autres », a-t-il plaidé. C’était samedi à l’occasion des échanges du ‘’Café politique‘’, à la Caistab au Plateau.
Coulisses Publié le lundi 27 septembre 2010 | Nord-Sud