La porte-parole principale du candidat du Rassemblement des républicains, Anne Désiré Oulotto était le mercredi 29 septembre 2010 face aux journalistes. Elle a saisi l’occasion de cette rencontre qui a eu lieu à la Maison de la presse au Plateau pour exprimer ses inquiétudes vis-à-vis de la sécurisation des futures élections.
‘‘Sondages et stratégie de sécurisation du scrutin par le Fpi : Quelle Côte d’Ivoire après la présidentielle du 31 octobre 2010’’. Tel était le thème de la conférence de presse animée par la porte-parole d’Alassane Ouattara . Anne Oulotto a fait remarquer que le Front populaire ivoirien (Fpi) envisage de passer outre les décisions du Cadre permanent de Concertation (Cpc) qui a décidé que le Centre de Commandement intégré (Cci) sécurise les élections. Elle en veut pour preuve les propos tenus par le conseiller à la défense Kadet Bertin faisant état de ce que le Cci sera seulement déployé dans la zone Centre, Nord et Ouest. En plus de cela, le FPI selon elle, manigance d’autres plans notamment l’achat d’armes qui seront mises à la disposition des Forces de défense et de sécurité (Fds) devant leur permettre d’empêcher surtout les militants du Rdr d’exercer leur droit de vote. Aussi la zone gouvernementale, a-t-elle signifié « sera quadrillée au soir du 31 octobre par les Fds déployés pour l’annonce anticipée de la victoire de Laurent Gbagbo conformément aux sondages ». Face à cette situation, elle a estimé que « la sécurisation du processus est un préalable ». Anne Oulotto est convaincue que le camp présidentiel compte faire un passage en force pour se maintenir au pouvoir en dépit des « sondages par sous-traitance, réalisés ici à Abidjan, avec la collaboration d’une société fictive et la complicité de cadres proches de Laurent Gbagbo ». En fait pour la porte-parole d’Alassane Ouattara, les ivoiriens dans leur grande majorité sanctionneront Gbagbo au soir du 31 octobre 2010 puisqu’ à l’en croire le clignotant est passé au rouge au plan social, économique, managérial et culturel. Aux ivoiriens qui craignent des troubles après une éventuelle défaite du candidat Laurent Gbagbo, la conférencière les a rassuré. « Si Gbagbo tombe au soir du 31 octobre 2010, le ciel ne nous tombera pas dessus, et il ne se passera rien du tout », a-t-elle souligné. Non sans marteler que le Rdr n’entretient pas de milices et que les ex-combattants de la Force Lima qui ont décidé de soutenir Alassane Ouattara ont définitivement donné dos aux armes. « Aucune milice ne nous a rallié. Le Rdr n’a pas besoin de milices », a-t-elle déclaré.
Touré Abdoulaye
‘‘Sondages et stratégie de sécurisation du scrutin par le Fpi : Quelle Côte d’Ivoire après la présidentielle du 31 octobre 2010’’. Tel était le thème de la conférence de presse animée par la porte-parole d’Alassane Ouattara . Anne Oulotto a fait remarquer que le Front populaire ivoirien (Fpi) envisage de passer outre les décisions du Cadre permanent de Concertation (Cpc) qui a décidé que le Centre de Commandement intégré (Cci) sécurise les élections. Elle en veut pour preuve les propos tenus par le conseiller à la défense Kadet Bertin faisant état de ce que le Cci sera seulement déployé dans la zone Centre, Nord et Ouest. En plus de cela, le FPI selon elle, manigance d’autres plans notamment l’achat d’armes qui seront mises à la disposition des Forces de défense et de sécurité (Fds) devant leur permettre d’empêcher surtout les militants du Rdr d’exercer leur droit de vote. Aussi la zone gouvernementale, a-t-elle signifié « sera quadrillée au soir du 31 octobre par les Fds déployés pour l’annonce anticipée de la victoire de Laurent Gbagbo conformément aux sondages ». Face à cette situation, elle a estimé que « la sécurisation du processus est un préalable ». Anne Oulotto est convaincue que le camp présidentiel compte faire un passage en force pour se maintenir au pouvoir en dépit des « sondages par sous-traitance, réalisés ici à Abidjan, avec la collaboration d’une société fictive et la complicité de cadres proches de Laurent Gbagbo ». En fait pour la porte-parole d’Alassane Ouattara, les ivoiriens dans leur grande majorité sanctionneront Gbagbo au soir du 31 octobre 2010 puisqu’ à l’en croire le clignotant est passé au rouge au plan social, économique, managérial et culturel. Aux ivoiriens qui craignent des troubles après une éventuelle défaite du candidat Laurent Gbagbo, la conférencière les a rassuré. « Si Gbagbo tombe au soir du 31 octobre 2010, le ciel ne nous tombera pas dessus, et il ne se passera rien du tout », a-t-elle souligné. Non sans marteler que le Rdr n’entretient pas de milices et que les ex-combattants de la Force Lima qui ont décidé de soutenir Alassane Ouattara ont définitivement donné dos aux armes. « Aucune milice ne nous a rallié. Le Rdr n’a pas besoin de milices », a-t-elle déclaré.
Touré Abdoulaye
