La secrétaire générale du RDR, Mme Henriette Dagri Diabaté présidente de l’Association des Femmes Atchan s’est adressée à ses sœurs avec son cœur. Un discours fortement apprécié par celles-ci à l’occasion de leur cérémonie d’investiture qui a eu lieu mardi dernier à Adjamé. Nous vous proposons de larges extraits de son allocution.
(…) Pourquoi cette réunion? Parce que nous le souhaitions toutes: vous et moi.
En effet, c’est bien souvent que m’est parvenu ce reproche «on dit qu’elle notre sœur mais on ne la connaît pas».
Une fois même à Adjamé, Madame Kandia ici présente s’est faite interpellée en ces termes: «Nous avons compris ton message mais nous, nous voulons voir notre sœur, qu’elle vienne elle-même nous parler».
De mon côté, j’avais programmé depuis longtemps rencontrer mes sœurs pour faire plus ample connaissance, échanger et réfléchir ensemble sur notre présent et notre avenir.
A cause de mon calendrier, nous n’avons pas pu le faire plus tôt. Je m’en excuse et je prends un engagement : nous nous reverrons plus souvent. C’est dire que cette rencontre n’est pas la dernière. Merci pour votre indulgence.
Chères sœurs, vous vous êtes présentées, vous avez présenté votre triste situation. Vous avez souhaité que la même initiative soit prise pour rencontrer les hommes. J’en prends acte. Merci. A mon tour de vous dire qui je suis avant de nous arrêter sur nos préoccupations communes.
Chères sœurs, chers frères,
Je ne suis ni Béninoise, ni mossi, ni dioula, ni bété comme certains le prétendent. D’autres ont entendu dire que je suis Agni, ou Aladian ou Ebrié. Ça c’est vrai : je suis tout cela à la fois.
Mon père Dagri Pierre est Aldian, sa grand-mère est Eotilé d’Epleman dans la région d’Adjéké.
Ma mère Monique Bogui est Aladian par son père et Ebrié par sa grand-mère maternelle KALE et sa mère Ndiba, de la famille Lokoman d’Adjamé.
Mes grands parents connus sont les oncles Euzèbe, Akouatcha. Aujourd’hui mon chef de famille est Sagou Sika Eugène et mes sœurs Madame Bassin connue aussi sous le nom de Madame Arthur ou CECIA, et Geneviève. Elles sont là.
Je suis de la génération Gnando classe Djeou.
Au total, je suis une vraie salade lagunaire.
Pourquoi donc je ne parle pas l’ébrié? Parce que contrairement à certains de mes frères et sœurs, je n’ai pas grandi auprès de mes grands parents maternels. J’ai suivi mon père dans ses fonctions à travers la Côte d’Ivoire, avant sa fixation à Gagnoa où je me suis mariée avant de l’envoler pour le Sénégal et la France!
Dès mon retour j’ai renoué avec l’oncle Akouatcha pour mon intégration au village. Il n’a pas eu le temps de le faire. Je n’ai pas pour autant négligé les miens car dans mes recherches à l’université, j’ai publié des articles sur l’organisation territoriale des villages Atchan, sur le système démocratique de la transmission du pouvoir chez les Atchan. J’ai publié un livre sur les Tchaman et la ville d’Abidjan.
Voilà mon profil.
Chères sœurs,
Excusez moi d’avoir parlé si longuement de ma personne alors que le plus important ce sont nos échanges.
Je vous ai écouté tout à l’heure et vous avez évoqué l’état déplorable dans lequel vous vivez, la cherté de la vie, le chômage, le manque de médicaments, l’école qui se dégrade, … bref, vous m’avez parlé essentiellement de problèmes socioéconomiques. Vos préoccupations majeures, ce sont: avoir de l’eau potable, de quoi nourrir vos enfants et les mettre à l’école, avoir des routes qui vous permettent d’évacuer vos produits…
Vous appelez au secours votre marraine et votre sœur pour savoir quelle contribution nous pouvons apporter à la résolution de ces problèmes.
Nous, nous sommes prêtes à vous aider à les résoudre à hauteur de nos possibilités. L’association que nous allons mettre en place ne sera pas une association de plus. Elle veut réellement être un outil de solidarité et de fraternité vraies. Et croyez-moi, des efforts seront faits dans ce sens. Pour ouvrir symboliquement nos caisses, j’ai l’honneur d’offrir la modeste somme de 2 millions de francs CFA en attendant que d’autres personnes, présentes ici, fassent parler leur cœur, à la suite de qui vous savez.
Mais chères sœurs, soyons réalistes. Combien de femmes parmi les milliers que nous sommes pourront être aidées? Combien d’enfants pourrons-nous envoyer à l’école? Tout ce que nous ferons ne pourra régler le problème que de façon partielle. Car le pays entier est concerné.
J’ai parcouru au cours de ces derniers mois la Côte d’Ivoire. Et vous le savez comme moi, toute la Côte d’Ivoire est sinistrée. Tous les Ivoiriens sont fatigués. Ce qu’ils attendent c’est partout des routes, des ponts, de l’eau potable, des centres de santé, du travail pour les jeunes… il n’est pas nécessaire d’égrainer tous les maux qui frappent nos populations. Partout les Ivoiriens sont appauvris et très fatigués.
Ils veulent retrouver la prospérité, améliorer leurs conditions de vie, reconstruire leur avenir et de celui de leurs enfants, trouver emploi et repères à leurs enfants, dans la paix, la tolérance, l’amour et l’unité.
Le pays a besoin d’un changement fort.
En cette période où nous allons enfin vers des élections, le prochain Président doit forcément être un professionnel de la gestion et des finances, un batisseur qui a la volonté de reconstruire la Côte d’Ivoire avec l’ensemble des Ivoiriens, sans exclure personne. Il doit être un homme expérimenté, compétent et rigoureux qui sait ce qu’il faut faire et comment le faire. Un homme de sacrifice pour les autres… Bref, il doit faire l’objet d’un choix rigoureux.
Cet homme providentiel, ne le cherchez plus. Vous l’avez sous la main. C’est … Alassane Dramane Ouattara.
Voilà un homme qui n’est pas venu à la politique pour se réaliser. Il était déjà socialement et économiquement assis. Il était promis à une belle carrière. Mais, il n’av pas regardé ses intérêts, il a accepté de se mettre au service de son pays alors en difficulté. Pour lui, la politique n’est pas un commerce juteux. Alassane Dramane Ouattara est venu, mû par le sens du devoir. Voici ce qu’il dit de ses ambitions: «je ne chercher pas à être votre président par goût des honneurs, je ne cherche pas à être président pour assouvir une gloire personnelle; je veux que vous me donniez les moyens d’être utile à mon pays».
De 1989 à 1993, Alassane Dramane Ouattara avait permis, par sa compétence, l’Etat ivoirien en cessation de paiement de devenir excédentaire. Alassane Dramane Ouattara a su créer et redistribuer l’argent. Aujourd’hui encore, ses réalisations ne se comptent pas; on peut citer de mémoire: 300 écoles BAD, 2universités (Bouaké et Korhogo).
Chères sœurs, chers frères,
Ce qu’il a réussi une fois, pourquoi ne le réussirait-il pas à nouveau?
Aujourd’hui, pour sortir notre pays définitivement de la crise, Alassane Dramane Ouattara a des solutions, sans démagogie. Il propose un nouveau contratcentré sur les préoccupations de nos concitoyens. Il a un programme crédible et réalisable pour combattre la pauvreté, restaurer l’autorité de l’Etat, assurer la sécurité des biens et des personnes, relancer l’économie, lutter contre le chômage, ramener la paix, créer des hôpitaux, des écoles, des formations d’emploi, revaloriser et améliorer les structures routières etc.
A titre d’exemple, pour les femmes, il est prévu dans son programme:
-Des lignes de crédits pour le financement de leurs projets
-Il est prévu aussi que l’accouchement sera gratuit
-L’allègement des tâches domestiques
A titre d’exemple toujours, il est prévu
-La rénovation et équipements de centres de santé et la construction de nouveaux centres
-Des pompes villageoises
-La rénovation des classes primaires
-Ado au pouvoir, c’est la promotion de cadres compétents et la reconnaissance du mérité et non l’achat de diplômes parce qu’il veut une jeunesse saine, bien éduquée et bien formée.
Chères sœurs, chers frères,
En ce moment précis de la vie de notre pays, nos difficultés doivent nous responsabiliser davantage au moment de choisir un candidat.
Cette fois, ne vous trompez pas, faites le bon choix; privilégiez le critère de la bonne gouvernance car le développement n’a pas de couleur politique, éthique ou religieuse.
Choisissons le candidat de la rupture avec le désordre, le candidat de la justice et de la paix, celui qui tient ses promesses, celui qui travaille pour la prospérité de tous les Ivoiriens, avec tous les Ivoiriens.
Chères sœurs et frères,
En cette période de la vie de la nation, il y a le discours dangereux de campagne om l’on promet mille choses sans y croire.
Ce que je viens de vous dire est différent.
Mon choix pour Alassane Ouattara repose sur des considérations objectives. C’est un choix éclairé. Je sais par expérience qu’il peut et qu’il est prêt à faire ce qu’il dit.
Chers frères, chères sœurs,
Je suis votre sœur, je refuse de vous induire en erreur.
Je veux vous aider pour garantir votre présent et l’avenir de vos enfants.
6Je suis chrétienne, je crains Dieu. Je ne viens vous mentir pour un intérêt quelconque.
-J’ai 75 ans et à mon âge, on n’engage pas sa réputation sur du faux.
Alors, chers frères, chères sœurs, suivez-moi car choisir ADO c’est choisir Henriette Dagri Diabaté.
(…) Pourquoi cette réunion? Parce que nous le souhaitions toutes: vous et moi.
En effet, c’est bien souvent que m’est parvenu ce reproche «on dit qu’elle notre sœur mais on ne la connaît pas».
Une fois même à Adjamé, Madame Kandia ici présente s’est faite interpellée en ces termes: «Nous avons compris ton message mais nous, nous voulons voir notre sœur, qu’elle vienne elle-même nous parler».
De mon côté, j’avais programmé depuis longtemps rencontrer mes sœurs pour faire plus ample connaissance, échanger et réfléchir ensemble sur notre présent et notre avenir.
A cause de mon calendrier, nous n’avons pas pu le faire plus tôt. Je m’en excuse et je prends un engagement : nous nous reverrons plus souvent. C’est dire que cette rencontre n’est pas la dernière. Merci pour votre indulgence.
Chères sœurs, vous vous êtes présentées, vous avez présenté votre triste situation. Vous avez souhaité que la même initiative soit prise pour rencontrer les hommes. J’en prends acte. Merci. A mon tour de vous dire qui je suis avant de nous arrêter sur nos préoccupations communes.
Chères sœurs, chers frères,
Je ne suis ni Béninoise, ni mossi, ni dioula, ni bété comme certains le prétendent. D’autres ont entendu dire que je suis Agni, ou Aladian ou Ebrié. Ça c’est vrai : je suis tout cela à la fois.
Mon père Dagri Pierre est Aldian, sa grand-mère est Eotilé d’Epleman dans la région d’Adjéké.
Ma mère Monique Bogui est Aladian par son père et Ebrié par sa grand-mère maternelle KALE et sa mère Ndiba, de la famille Lokoman d’Adjamé.
Mes grands parents connus sont les oncles Euzèbe, Akouatcha. Aujourd’hui mon chef de famille est Sagou Sika Eugène et mes sœurs Madame Bassin connue aussi sous le nom de Madame Arthur ou CECIA, et Geneviève. Elles sont là.
Je suis de la génération Gnando classe Djeou.
Au total, je suis une vraie salade lagunaire.
Pourquoi donc je ne parle pas l’ébrié? Parce que contrairement à certains de mes frères et sœurs, je n’ai pas grandi auprès de mes grands parents maternels. J’ai suivi mon père dans ses fonctions à travers la Côte d’Ivoire, avant sa fixation à Gagnoa où je me suis mariée avant de l’envoler pour le Sénégal et la France!
Dès mon retour j’ai renoué avec l’oncle Akouatcha pour mon intégration au village. Il n’a pas eu le temps de le faire. Je n’ai pas pour autant négligé les miens car dans mes recherches à l’université, j’ai publié des articles sur l’organisation territoriale des villages Atchan, sur le système démocratique de la transmission du pouvoir chez les Atchan. J’ai publié un livre sur les Tchaman et la ville d’Abidjan.
Voilà mon profil.
Chères sœurs,
Excusez moi d’avoir parlé si longuement de ma personne alors que le plus important ce sont nos échanges.
Je vous ai écouté tout à l’heure et vous avez évoqué l’état déplorable dans lequel vous vivez, la cherté de la vie, le chômage, le manque de médicaments, l’école qui se dégrade, … bref, vous m’avez parlé essentiellement de problèmes socioéconomiques. Vos préoccupations majeures, ce sont: avoir de l’eau potable, de quoi nourrir vos enfants et les mettre à l’école, avoir des routes qui vous permettent d’évacuer vos produits…
Vous appelez au secours votre marraine et votre sœur pour savoir quelle contribution nous pouvons apporter à la résolution de ces problèmes.
Nous, nous sommes prêtes à vous aider à les résoudre à hauteur de nos possibilités. L’association que nous allons mettre en place ne sera pas une association de plus. Elle veut réellement être un outil de solidarité et de fraternité vraies. Et croyez-moi, des efforts seront faits dans ce sens. Pour ouvrir symboliquement nos caisses, j’ai l’honneur d’offrir la modeste somme de 2 millions de francs CFA en attendant que d’autres personnes, présentes ici, fassent parler leur cœur, à la suite de qui vous savez.
Mais chères sœurs, soyons réalistes. Combien de femmes parmi les milliers que nous sommes pourront être aidées? Combien d’enfants pourrons-nous envoyer à l’école? Tout ce que nous ferons ne pourra régler le problème que de façon partielle. Car le pays entier est concerné.
J’ai parcouru au cours de ces derniers mois la Côte d’Ivoire. Et vous le savez comme moi, toute la Côte d’Ivoire est sinistrée. Tous les Ivoiriens sont fatigués. Ce qu’ils attendent c’est partout des routes, des ponts, de l’eau potable, des centres de santé, du travail pour les jeunes… il n’est pas nécessaire d’égrainer tous les maux qui frappent nos populations. Partout les Ivoiriens sont appauvris et très fatigués.
Ils veulent retrouver la prospérité, améliorer leurs conditions de vie, reconstruire leur avenir et de celui de leurs enfants, trouver emploi et repères à leurs enfants, dans la paix, la tolérance, l’amour et l’unité.
Le pays a besoin d’un changement fort.
En cette période où nous allons enfin vers des élections, le prochain Président doit forcément être un professionnel de la gestion et des finances, un batisseur qui a la volonté de reconstruire la Côte d’Ivoire avec l’ensemble des Ivoiriens, sans exclure personne. Il doit être un homme expérimenté, compétent et rigoureux qui sait ce qu’il faut faire et comment le faire. Un homme de sacrifice pour les autres… Bref, il doit faire l’objet d’un choix rigoureux.
Cet homme providentiel, ne le cherchez plus. Vous l’avez sous la main. C’est … Alassane Dramane Ouattara.
Voilà un homme qui n’est pas venu à la politique pour se réaliser. Il était déjà socialement et économiquement assis. Il était promis à une belle carrière. Mais, il n’av pas regardé ses intérêts, il a accepté de se mettre au service de son pays alors en difficulté. Pour lui, la politique n’est pas un commerce juteux. Alassane Dramane Ouattara est venu, mû par le sens du devoir. Voici ce qu’il dit de ses ambitions: «je ne chercher pas à être votre président par goût des honneurs, je ne cherche pas à être président pour assouvir une gloire personnelle; je veux que vous me donniez les moyens d’être utile à mon pays».
De 1989 à 1993, Alassane Dramane Ouattara avait permis, par sa compétence, l’Etat ivoirien en cessation de paiement de devenir excédentaire. Alassane Dramane Ouattara a su créer et redistribuer l’argent. Aujourd’hui encore, ses réalisations ne se comptent pas; on peut citer de mémoire: 300 écoles BAD, 2universités (Bouaké et Korhogo).
Chères sœurs, chers frères,
Ce qu’il a réussi une fois, pourquoi ne le réussirait-il pas à nouveau?
Aujourd’hui, pour sortir notre pays définitivement de la crise, Alassane Dramane Ouattara a des solutions, sans démagogie. Il propose un nouveau contratcentré sur les préoccupations de nos concitoyens. Il a un programme crédible et réalisable pour combattre la pauvreté, restaurer l’autorité de l’Etat, assurer la sécurité des biens et des personnes, relancer l’économie, lutter contre le chômage, ramener la paix, créer des hôpitaux, des écoles, des formations d’emploi, revaloriser et améliorer les structures routières etc.
A titre d’exemple, pour les femmes, il est prévu dans son programme:
-Des lignes de crédits pour le financement de leurs projets
-Il est prévu aussi que l’accouchement sera gratuit
-L’allègement des tâches domestiques
A titre d’exemple toujours, il est prévu
-La rénovation et équipements de centres de santé et la construction de nouveaux centres
-Des pompes villageoises
-La rénovation des classes primaires
-Ado au pouvoir, c’est la promotion de cadres compétents et la reconnaissance du mérité et non l’achat de diplômes parce qu’il veut une jeunesse saine, bien éduquée et bien formée.
Chères sœurs, chers frères,
En ce moment précis de la vie de notre pays, nos difficultés doivent nous responsabiliser davantage au moment de choisir un candidat.
Cette fois, ne vous trompez pas, faites le bon choix; privilégiez le critère de la bonne gouvernance car le développement n’a pas de couleur politique, éthique ou religieuse.
Choisissons le candidat de la rupture avec le désordre, le candidat de la justice et de la paix, celui qui tient ses promesses, celui qui travaille pour la prospérité de tous les Ivoiriens, avec tous les Ivoiriens.
Chères sœurs et frères,
En cette période de la vie de la nation, il y a le discours dangereux de campagne om l’on promet mille choses sans y croire.
Ce que je viens de vous dire est différent.
Mon choix pour Alassane Ouattara repose sur des considérations objectives. C’est un choix éclairé. Je sais par expérience qu’il peut et qu’il est prêt à faire ce qu’il dit.
Chers frères, chères sœurs,
Je suis votre sœur, je refuse de vous induire en erreur.
Je veux vous aider pour garantir votre présent et l’avenir de vos enfants.
6Je suis chrétienne, je crains Dieu. Je ne viens vous mentir pour un intérêt quelconque.
-J’ai 75 ans et à mon âge, on n’engage pas sa réputation sur du faux.
Alors, chers frères, chères sœurs, suivez-moi car choisir ADO c’est choisir Henriette Dagri Diabaté.