Le pays Dida, a besoin de changement. Il a droit au changement. Voilà en substance ce que, jeudi, Hamed Bakayoko, directeur de campagne chargé de la jeunesse de Alassane Ouattara et sa délégation sont allés dire aux populations de Lakota, Divo et Hermankono. Des populations qui semblaient déjà comprendre l’importance du moment au regard de leur mobilisation. De Lakota à Hermankono en passant par Divo, il y avait foule pour entendre le message de Ouattara. Hermankono a été impressionnante par sa mobilisation. En dépit de la tombée de la nuit, ces populations sont restées là avec leurs danses pour accueillir Hamed Bakayoko, Gaoussou Touré et Kanté Coly. « Hermankono est pour Ouattara et restera pour Ouattara, a justifié Diané Mamadou, directeur local campagne». « Tombé en admiration » de cette cité, Hamed Bakayoko leur a offert une moto afin qu’elles persévèrent dans leur travail de terrain. Lambert Tia et Amadou Diallo respectivement chargé de la campagne de Ouattara à Lakota et Divo ont pour leur part exprimé leur détermination à faire gagner leur candidat. A chacune de ces trois localités, Gaoussou Touré, directeur central chargé du programme de gouvernement a expliqué qu’il n’y a pas meilleur programme que celui de son candidat. Car, c’est un programme chiffré par région, département, et ville. Pour les femmes et les jeunes également. Il s’agit d’un programme a-t-il expliqué qui n’exclut rien : du chômage à la modernisation de la justice en passant par les routes, l’eau, l’électricité, la santé etc. Une solution pour tout. Du concret en somme. Un tout qui permet à Hamed Bakayoko de dire que son candidat va « apporter la paix, la prospérité et le bonheur » à chacun des ivoiriens. C’est pourquoi, il a demandé à chacun de prendre conscience que le 31 octobre peut être un « tournant décisif et radical » pour le pays. Il a insisté auprès des populations qu’elles n’ont pas droit à l’erreur. « Il ne s’agit pas d’une affaire d’ethnie ou de religion, a-t-il indiqué. Il s’agit de choisir celui qui peut nous faire progresser».
« Lakota n’a eu que des malheurs avec le FPI »
Comme pour prendre Lakota notamment à témoin, il a interrogé : « En dix ans, qu’est ce qui a changé pour vous ici à Lakota ? Lakota n’a rien eu. Lakota n’a eu que des malheurs avec la refondation. Il faut que cela change». Le changement, voilà le maître mot. Partout, le ministre Bakayoko a expliqué qu’en dix ans « Le régime Gbagbo a fait régressé le pays de 20 ans ». Il a énuméré, entre autres, le ch dministration, le manque de respect de l’Etat envers les citoyens etc. Toute chose qui le fonde à dire qu’il faut aller au changement. « Ivoiriens, a-t-il plaidé, il faut un sursaut national. On n’est plus d’un grand moment. Debout, c’est le temps du changement. Débout, pour la victoire de Alassane Ouattara ! ». Car le FPI a démontré qu’il n’est plus digne d’être de diriger le pays. En revanche, Ouattara « va mettre le pays au travail ». Par conséquent, il demande à chacun d’entre eux de devenir un « bénévole » pour lui. Particulièrement à Divo, il a insisté qu’ils ne voient aux policiers de la CRS que des « frères ». Et d’être certains que « nul ne peut aujourd’hui violer les Droits de l’Homme impunément ». En somme, Hamed Bakayoko a fait comprendre que chacun devrait se battre à son niveau afin de faire de Ouattara le Président de la République.
KIGBAFORY Inza, envoyé spécial
« Lakota n’a eu que des malheurs avec le FPI »
Comme pour prendre Lakota notamment à témoin, il a interrogé : « En dix ans, qu’est ce qui a changé pour vous ici à Lakota ? Lakota n’a rien eu. Lakota n’a eu que des malheurs avec la refondation. Il faut que cela change». Le changement, voilà le maître mot. Partout, le ministre Bakayoko a expliqué qu’en dix ans « Le régime Gbagbo a fait régressé le pays de 20 ans ». Il a énuméré, entre autres, le ch dministration, le manque de respect de l’Etat envers les citoyens etc. Toute chose qui le fonde à dire qu’il faut aller au changement. « Ivoiriens, a-t-il plaidé, il faut un sursaut national. On n’est plus d’un grand moment. Debout, c’est le temps du changement. Débout, pour la victoire de Alassane Ouattara ! ». Car le FPI a démontré qu’il n’est plus digne d’être de diriger le pays. En revanche, Ouattara « va mettre le pays au travail ». Par conséquent, il demande à chacun d’entre eux de devenir un « bénévole » pour lui. Particulièrement à Divo, il a insisté qu’ils ne voient aux policiers de la CRS que des « frères ». Et d’être certains que « nul ne peut aujourd’hui violer les Droits de l’Homme impunément ». En somme, Hamed Bakayoko a fait comprendre que chacun devrait se battre à son niveau afin de faire de Ouattara le Président de la République.
KIGBAFORY Inza, envoyé spécial
