Le placali 200 de Bona…
Pensant encore que le danse à la mode à Abidjan était le coupé-décalé, que ne fut pas la surprise du bassiste camerounais, Richard Bona, d’apprendre que c’est le ‘’placali 200’’. Un mot qu’il a voulu prononcer avec beaucoup de difficultés. « Lacali, ou quelque chose de ce genre », a-t-il essayé de dire. Mais, le public était là pour l’aider. Ouf ! Que ce fut laborieux.
…Qui annonce la nouvelle danse
« La danse de l’année 2010 sera la gérance », a indiqué Richard Bona au cours de son concert. Selon l’artiste, tout le monde ‘’gère’’ à Abidjan. « Tu montes dans un taxi, tu demandes quelque chose au chauffeur, il te répond : je gère. Tout le monde gère ici », a-t-il remarqué. Ce qui fait que, pense-t-il, seul le vocable ‘’gérance’’ sera en adéquation avec la danse à venir. Concepteurs de danse, à vos laboratoires.
Le plus grand fan
S’il y avait un concours du plus grand fan de Richard Bona, samedi, au Centre culturel Bernard B. Dadié, il aurait été incontestablement remporté par Samuel Ediémou. Ce spectateur s’est fait remarquer toute la soirée, en reprenant avec l’artiste toutes ses chansons. A défaut d’un trophée, il a eu droit à une photo sur scène avec le chanteur. En voilà un qui a pu réaliser son rêve.
Les cadeaux de Wêrê-wêrê
La directrice de l’Ecole panafricaine de culture, le Kiyi M’bock, Wêrê-wêrê Liking, a assisté aux deux concerts de son confrère (camerounais), Richard Bona. Et elle s’y est rendue les mains pleines de cadeaux. Le vendredi, c’est une belle image de l’artiste sur scène datant de 1997 qu’elle lui a offerte. Samedi, ce fut une canne dont Bona a promis taper ses musiciens avec, s’ils ne jouent pas bien.
La sape à l’ivoirienne ?
Vêtu d’une belle tunique blanche et d’un pantalon noir, Richard Bona a fait sensation auprès du public, samedi. Mais, le hic a été le fait qu’il pense que cette sape est à l’ivoirienne. Le public qui appréciait son récit, a dû faire une objection pour rejeter cela. Donc les Ivoiriens s’habillent comment alors ?
Le sac, c’est mon chien
En pleine conférence de presse, jeudi, Richard Bona a effectué une pause, inquiet. Juste pour demander qu’on lui apporte son sac. « Vous savez, je n’aime pas être loin de mon sac et de ma guitare. La guitare, c’est mon fils, le sac, c’est mon chien », a-t-il imagé.
Pensant encore que le danse à la mode à Abidjan était le coupé-décalé, que ne fut pas la surprise du bassiste camerounais, Richard Bona, d’apprendre que c’est le ‘’placali 200’’. Un mot qu’il a voulu prononcer avec beaucoup de difficultés. « Lacali, ou quelque chose de ce genre », a-t-il essayé de dire. Mais, le public était là pour l’aider. Ouf ! Que ce fut laborieux.
…Qui annonce la nouvelle danse
« La danse de l’année 2010 sera la gérance », a indiqué Richard Bona au cours de son concert. Selon l’artiste, tout le monde ‘’gère’’ à Abidjan. « Tu montes dans un taxi, tu demandes quelque chose au chauffeur, il te répond : je gère. Tout le monde gère ici », a-t-il remarqué. Ce qui fait que, pense-t-il, seul le vocable ‘’gérance’’ sera en adéquation avec la danse à venir. Concepteurs de danse, à vos laboratoires.
Le plus grand fan
S’il y avait un concours du plus grand fan de Richard Bona, samedi, au Centre culturel Bernard B. Dadié, il aurait été incontestablement remporté par Samuel Ediémou. Ce spectateur s’est fait remarquer toute la soirée, en reprenant avec l’artiste toutes ses chansons. A défaut d’un trophée, il a eu droit à une photo sur scène avec le chanteur. En voilà un qui a pu réaliser son rêve.
Les cadeaux de Wêrê-wêrê
La directrice de l’Ecole panafricaine de culture, le Kiyi M’bock, Wêrê-wêrê Liking, a assisté aux deux concerts de son confrère (camerounais), Richard Bona. Et elle s’y est rendue les mains pleines de cadeaux. Le vendredi, c’est une belle image de l’artiste sur scène datant de 1997 qu’elle lui a offerte. Samedi, ce fut une canne dont Bona a promis taper ses musiciens avec, s’ils ne jouent pas bien.
La sape à l’ivoirienne ?
Vêtu d’une belle tunique blanche et d’un pantalon noir, Richard Bona a fait sensation auprès du public, samedi. Mais, le hic a été le fait qu’il pense que cette sape est à l’ivoirienne. Le public qui appréciait son récit, a dû faire une objection pour rejeter cela. Donc les Ivoiriens s’habillent comment alors ?
Le sac, c’est mon chien
En pleine conférence de presse, jeudi, Richard Bona a effectué une pause, inquiet. Juste pour demander qu’on lui apporte son sac. « Vous savez, je n’aime pas être loin de mon sac et de ma guitare. La guitare, c’est mon fils, le sac, c’est mon chien », a-t-il imagé.