Pour la première fois de son histoire, Adzopé FC évoluera en Ligue 1. Un évènement qui a été bien fêté dans cette ville. Passé l’euphorie, le président-délégué prévient qu’Adzopé ne sera pas ridicule.
Après l’euphorie de la montée historique en Ligue 1, que peut-on attendre d’Adzopé FC, la saison prochaine ?
Nous sommes arrivés à la terre promise mais la difficulté sera amplifiée. La Ligue 1 est une autre réalité. Ce que je tiens à vous dire, c’est qu’Adzopé FC prend ses dispositions. Le devis est déjà fait par une société assermentée de la place comme celle qui a refait le Stade Houphouet-Boigny à la faveur du CHAN 2009. Nous attendions que le chef de l’Etat passe à Adzopé, le 11 octobre, pour sa bénédiction, avant que les travaux démarrent.
Des formations comme Hiré FC ou l’ASC Ouragahio ont souffert de ne pas pouvoir évoluer à domicile. Adzopé FC peut-il rassurer sa population ?
Il s’agit d’un problème organisationnel et structurel. Djèkanou a ses réalités. Pareil pour Hiré, Issia ou Ouragahio. La saison dernière, des décisions avaient été prises en cours de championnat. Si tout est clarifié au départ et qu’un cahier de charges est signé par tout le monde, on peut avancer sans crainte.
Que manque-t-il encore au Stade d’Adzopé pour recevoir des rencontres de la Ligue 1 ?
Nous avons déjà une clôture et un siège (inachevé). La priorité sera de faire la grille de protection, des vestiaires et une pelouse. En plus, nous mettrons six couloirs de piste pour permettre la sécurité entre l’aire de jeu et la grille. Des bâches amovibles sont prévues aussi pour pallier l’absence de tribunes.
Pourrez-vous être fin prêts avant la reprise du championnat prévue dès décembre 2010 ?
Je suis confiant. Nous avons vu comment Jacques Anouma s’est battu en 2009 pour organiser le Championnat d’Afrique des nations (CHAN). A cœur vaillant, rien d’impossible.
Comment comptez-vous vous préparer ?
Notre préparation se fera dans un pays de la sous-région. Cela permettra à nos joueurs de se concentrer. Ils reviendront, sans pression, pour affronter les autres équipes de la Ligue 1.
Craignez-vous la Ligue 1 ?
Nous jouerons sur du gazon naturel à Adzopé mais nous jouerons beaucoup sur du synthétique, une fois à Abidjan. C’est notre crainte. Notre préparation se fera en conséquence.
Quel sera votre objectif ?
Nous venons d’abord voir comment les choses se déroulent en Ligue 1. L’objectif est de ne pas être ridicules. Quand vous restez longtemps en Egypte et que vous atteignez la terre promise, Dieu a pitié de vous.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo
Après l’euphorie de la montée historique en Ligue 1, que peut-on attendre d’Adzopé FC, la saison prochaine ?
Nous sommes arrivés à la terre promise mais la difficulté sera amplifiée. La Ligue 1 est une autre réalité. Ce que je tiens à vous dire, c’est qu’Adzopé FC prend ses dispositions. Le devis est déjà fait par une société assermentée de la place comme celle qui a refait le Stade Houphouet-Boigny à la faveur du CHAN 2009. Nous attendions que le chef de l’Etat passe à Adzopé, le 11 octobre, pour sa bénédiction, avant que les travaux démarrent.
Des formations comme Hiré FC ou l’ASC Ouragahio ont souffert de ne pas pouvoir évoluer à domicile. Adzopé FC peut-il rassurer sa population ?
Il s’agit d’un problème organisationnel et structurel. Djèkanou a ses réalités. Pareil pour Hiré, Issia ou Ouragahio. La saison dernière, des décisions avaient été prises en cours de championnat. Si tout est clarifié au départ et qu’un cahier de charges est signé par tout le monde, on peut avancer sans crainte.
Que manque-t-il encore au Stade d’Adzopé pour recevoir des rencontres de la Ligue 1 ?
Nous avons déjà une clôture et un siège (inachevé). La priorité sera de faire la grille de protection, des vestiaires et une pelouse. En plus, nous mettrons six couloirs de piste pour permettre la sécurité entre l’aire de jeu et la grille. Des bâches amovibles sont prévues aussi pour pallier l’absence de tribunes.
Pourrez-vous être fin prêts avant la reprise du championnat prévue dès décembre 2010 ?
Je suis confiant. Nous avons vu comment Jacques Anouma s’est battu en 2009 pour organiser le Championnat d’Afrique des nations (CHAN). A cœur vaillant, rien d’impossible.
Comment comptez-vous vous préparer ?
Notre préparation se fera dans un pays de la sous-région. Cela permettra à nos joueurs de se concentrer. Ils reviendront, sans pression, pour affronter les autres équipes de la Ligue 1.
Craignez-vous la Ligue 1 ?
Nous jouerons sur du gazon naturel à Adzopé mais nous jouerons beaucoup sur du synthétique, une fois à Abidjan. C’est notre crainte. Notre préparation se fera en conséquence.
Quel sera votre objectif ?
Nous venons d’abord voir comment les choses se déroulent en Ligue 1. L’objectif est de ne pas être ridicules. Quand vous restez longtemps en Egypte et que vous atteignez la terre promise, Dieu a pitié de vous.
Entretien réalisé par Guy-Florentin Yaméogo