Aicha Koné, secrétaire chargée des relations extérieures et directrice de campagne, se prononce sur la campagne électorale en Ile de France.
Le Patriote : Quel est l`état de la mobilisation des militants du RDR dans la région Ile de France?
Aicha Koné : Il y a des rencontres organisées pour instruire les uns et les autres sur les enjeux du scrutin du 31 octobre prochain. Car, n`oublions pas que c`est l`aboutissement de quinze ans de combat. Notre devoir est d`honorer les mémoires de tous ceux qui sont tombés par la cause du RDR sans oublier celles et ceux qui sont marqués à jamais par la dictature politique que vit le pays. Enfin la victoire de notre Président à l`élection présidentielle du 31 octobre sera la meilleure consolation pour toutes les familles qui ont payé au prix du sang, le juste combat du président Alassane OUATTARA pour l`instauration d`une société de justice et le redressement économique de la Côte d`Ivoire. Nous sommes tous prêts. Mieux, je dirais que nous sommes en effervescence car c`est l`événement que nous attendions depuis plus d`une décennie. Tout le monde est mobilisé et sachez que l`état d`esprit c`est "ça passe ou ça casse!" et ça ne peut que passer s`il n`y a pas de tricherie puisqu`en face, il n` ya que dalle!
L.P. : Il y a toujours eu des querelles de positionnement à Paris? Qu’en est-il actuellement?
A.K. : Effectivement, il y a toujours eu des querelles de positionnement à Paris, mais depuis que le président Alassane Ouattara a renouvelé sa confiance à notre délégué général Gnizako Vincent pendant la crise que nous traversions il faut reconnaitre que les pendules ont été mises à l`heure et que tout est rentré dans l`ordre. Désormais, nous travaillons tous en bonne intelligence.
L.P. : Quel est le plan de campagne établi par les responsables de la campagne à Paris?
A.K. : On a fait inscrire sur les listes électorales le maximum de personnes pour l`opération du vote. Les scrutateurs sont prêts et tous les bureaux en seront pourvus pour ce qui est de leur restauration le parti s`en charge. Au moment du dépouillement, la vigilance sera accrue et Abidjan sera au fait des différents résultats en temps réel. Nous ferons acheminer par voiture et mini cars nos électeurs dans le besoin et tous les réseaux sont prêts pour le jour J. Par ailleurs, nous organisons notre dernier meeting le 23 octobre à 19H à l`agéca à Paris.
L.P. : Pensez-vous que la France a un candidat dans cette élection?
A.K. : Je ne crois pas qu`il soit judicieux que la France ait un candidat et d`autre part je ne vois pas pourquoi la France devrait elle avoir un candidat. C`est le peuple ivoirien qui s`exprime. Je pense qu`il serait même contre productif pour ce candidat, qu`il soit celui de la France. Il faut aussi comprendre que la France ne peut pas totalement se retirer de la Côte d`Ivoire. Elle n`a pas le choix parce que depuis le début de la crise, elle s`est fortement impliquée et est donc condamnée à poursuivre son engagement jusqu`à la fin de la crise.
L.P. : Quels sont les chances pour votre candidat ADO?
A.K. : Il faut dire que nous maitrisons les paramètres objectifs de l`opération et nous sommes confiants quant à son issue. Je me permets d`en appeler à la conscience de tous militantes, militants et sympathisants du RDR une forte implication dans la campagne qui est ouverte depuis le 15 octobre afin d`éjecter du fauteuil présidentiel koudou Laurent Gbagbo, père fondateur d`une refondation nullissime, des vols de toutes catégories, de la corruption de toutes sortes, des dépravations en tous genres.
Yves Abiet
Le Patriote : Quel est l`état de la mobilisation des militants du RDR dans la région Ile de France?
Aicha Koné : Il y a des rencontres organisées pour instruire les uns et les autres sur les enjeux du scrutin du 31 octobre prochain. Car, n`oublions pas que c`est l`aboutissement de quinze ans de combat. Notre devoir est d`honorer les mémoires de tous ceux qui sont tombés par la cause du RDR sans oublier celles et ceux qui sont marqués à jamais par la dictature politique que vit le pays. Enfin la victoire de notre Président à l`élection présidentielle du 31 octobre sera la meilleure consolation pour toutes les familles qui ont payé au prix du sang, le juste combat du président Alassane OUATTARA pour l`instauration d`une société de justice et le redressement économique de la Côte d`Ivoire. Nous sommes tous prêts. Mieux, je dirais que nous sommes en effervescence car c`est l`événement que nous attendions depuis plus d`une décennie. Tout le monde est mobilisé et sachez que l`état d`esprit c`est "ça passe ou ça casse!" et ça ne peut que passer s`il n`y a pas de tricherie puisqu`en face, il n` ya que dalle!
L.P. : Il y a toujours eu des querelles de positionnement à Paris? Qu’en est-il actuellement?
A.K. : Effectivement, il y a toujours eu des querelles de positionnement à Paris, mais depuis que le président Alassane Ouattara a renouvelé sa confiance à notre délégué général Gnizako Vincent pendant la crise que nous traversions il faut reconnaitre que les pendules ont été mises à l`heure et que tout est rentré dans l`ordre. Désormais, nous travaillons tous en bonne intelligence.
L.P. : Quel est le plan de campagne établi par les responsables de la campagne à Paris?
A.K. : On a fait inscrire sur les listes électorales le maximum de personnes pour l`opération du vote. Les scrutateurs sont prêts et tous les bureaux en seront pourvus pour ce qui est de leur restauration le parti s`en charge. Au moment du dépouillement, la vigilance sera accrue et Abidjan sera au fait des différents résultats en temps réel. Nous ferons acheminer par voiture et mini cars nos électeurs dans le besoin et tous les réseaux sont prêts pour le jour J. Par ailleurs, nous organisons notre dernier meeting le 23 octobre à 19H à l`agéca à Paris.
L.P. : Pensez-vous que la France a un candidat dans cette élection?
A.K. : Je ne crois pas qu`il soit judicieux que la France ait un candidat et d`autre part je ne vois pas pourquoi la France devrait elle avoir un candidat. C`est le peuple ivoirien qui s`exprime. Je pense qu`il serait même contre productif pour ce candidat, qu`il soit celui de la France. Il faut aussi comprendre que la France ne peut pas totalement se retirer de la Côte d`Ivoire. Elle n`a pas le choix parce que depuis le début de la crise, elle s`est fortement impliquée et est donc condamnée à poursuivre son engagement jusqu`à la fin de la crise.
L.P. : Quels sont les chances pour votre candidat ADO?
A.K. : Il faut dire que nous maitrisons les paramètres objectifs de l`opération et nous sommes confiants quant à son issue. Je me permets d`en appeler à la conscience de tous militantes, militants et sympathisants du RDR une forte implication dans la campagne qui est ouverte depuis le 15 octobre afin d`éjecter du fauteuil présidentiel koudou Laurent Gbagbo, père fondateur d`une refondation nullissime, des vols de toutes catégories, de la corruption de toutes sortes, des dépravations en tous genres.
Yves Abiet
