BAD 10 milliards dans le secteur forestier
Le conseil d’administration de la Banque africaine de développement (Bad) a approuvé, mercredi, à Tunis, un investissement de 20 millions de dollars américains soit environ 10 milliards de Fcfa dans des terrains forestiers et des entreprises liées au secteur forestier en Afrique sub-saharienne. Et ce, à travers le Fonds africain pour la sylviculture pour l’environnement mondial (FEM). Selon les acteurs de la filière forestière, cet investissement va contribuer à leur apporter un véritable soulagement.
La Marocs’attaque à la corruption…
Le gouvernement marocain a dévoilé hier, un plan biennal de lutte contre la corruption chronique qui sévit dans le royaume, phagocytant 2 % du produit intérieur brut et sapant ses valeurs morales. Dans les milieux autorisés, on convient avec l’opposition que la corruption entrave l’investissement étranger et porte atteinte aux règles du marché et à la concurrence, nécessaires pour encourager la croissance et lutter contre la pauvreté et le chômage. «Avec ce plan, nous entrons dans une nouvelle phase de notre détermination à aboutir à des résultats», a déclaré le ministre de la Modernisation du secteur public, Mohamed Saâd El Alami
Le conseil d’administration de la Banque africaine de développement (Bad) a approuvé, mercredi, à Tunis, un investissement de 20 millions de dollars américains soit environ 10 milliards de Fcfa dans des terrains forestiers et des entreprises liées au secteur forestier en Afrique sub-saharienne. Et ce, à travers le Fonds africain pour la sylviculture pour l’environnement mondial (FEM). Selon les acteurs de la filière forestière, cet investissement va contribuer à leur apporter un véritable soulagement.
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Le gouvernement marocain a dévoilé hier, un plan biennal de lutte contre la corruption chronique qui sévit dans le royaume, phagocytant 2 % du produit intérieur brut et sapant ses valeurs morales. Dans les milieux autorisés, on convient avec l’opposition que la corruption entrave l’investissement étranger et porte atteinte aux règles du marché et à la concurrence, nécessaires pour encourager la croissance et lutter contre la pauvreté et le chômage. «Avec ce plan, nous entrons dans une nouvelle phase de notre détermination à aboutir à des résultats», a déclaré le ministre de la Modernisation du secteur public, Mohamed Saâd El Alami