Le retour des déplacés. Des personnes ne sont plus dans les villes où elles se sont enrôlées. Elles doivent y retourner pour le vote. Ceux qui peuvent organiser des convois pour réduire les coûts de transport sont encouragés à le faire. S'il se trouve des militants et sympathisants dans cette situation, qui ne mettent pas tout en œuvre pour retourner voter dans leur lieu d'enrôlement, pourront-elles être en paix avec leur conscience? La contribution des transporteurs sera déterminante à ce niveau. Ils doivent faire des facilités aux personnes qui se trouvent dans ce cas. Dans cette perspective, la DCCQE et "MON ADO TRANSPORTEUR" informent tous les militants et les électeurs d’ADO que des facilités leurs seront accordées pour retourner retirer leurs cartes et rester pour voter ADO. Il s'agit de réduire le coût du transport entre Abidjan et la localité concernée. Pour bénéficier de ce service, il faut avoir son récépissé d'enrôlement, la carte d'électeur ou la nouvelle carte d'identité. Si vous êtes dans ce cas, alors appelez les numéros suivants : 07 08 44 11 / 46 00 29 18 / 06 34 06 56
- la préparation du scrutin du 31 octobre : Le dimanche prochain doit être consacré entièrement au vote. Les marchés pour la nourriture se feront donc le samedi 30 octobre. Ne faites aucune autre activité le dimanche prochain tant que vous et vos proches n'avez pas fini de voter. Sensibilisez tous les électeurs d’ADO à agir ainsi.
- la détermination : Chacun est conscient que le 31 octobre est la porte pour le changement en Cote d'ivoire. Il faut garder la détermination qui vous a anime jusqu'à maintenant pour ratisser large. Allez partout sensibiliser et former à bien voter ADO. Exposez a tous les Ivoiriens sans exclusion, les solutions d’ADO pour la Côte d’Ivoire, pour la famille, les jeunes, la femme, l'emploi, la santé, etc. Ne répondez pas aux provocations d'où qu'elles viennent. Restez concentrés sur l'objectif.
Motus : Sang
Depuis dix ans, son règne inaugure le rendez-vous du sang. On passerait toute une année à égrener les tueries orchestrées par la refondation qui nous avait pourtant promis « une transition pacifique au pouvoir d’Etat ». Le discours n’a pas résisté à l’attrait du pouvoir et à ses privilèges. Que de sang versé sur le terrain de la conquête et de la confiscation des manettes de l’Etat ! Avec le grand chef aux affaires, la République a perdu énormément de sang. On eût dit un régime de type vampirique qui a besoin en permanence de sang pour se régénérer ! Octobre 2000, janvier 2001, Mars 2004, Novembre 2004, pour ne citer que ces évènements tragiques. Comme si cela ne suffisait pas, le vendredi dernier à Lakota, le cortège présidentiel a fait cinq morts. Le sang, toujours le sang, toutes sortes de sang, pour se maintenir au perchoir. Il faut inaugurer tous les moyens pour que la pérennité soit acquise pour l’ancien opposant historique. Le camarade socialiste, nous avait bien prévenu : « mille morts à gauche, mille morts à droite, moi, j’avance ». Pour la présidentielle du 31 octobre, le ton est encore à la menace. Avec les discours belliqueux des pontes du régime et surtout les « révélations » bien apocalyptiques du « prophète des aurores », Zahiri Ziki. Face à l’atmosphère de fin de règne qui se précise à la refondation, les caciques au pouvoir nous présentent des schémas de sang. « Le fils du pays », « l’enfant des élections » ou encore le curieux « candidat des Ivoiriens » qui se fait entourer par des occidentaux, a visiblement le dos au mur. Son message usé et usité, qui a servi à instrumentaliser une partie des Ivoiriens et à les dresser contre les autres composantes de la société, ne prospère plus. Face à ce drame intérieur, devant un horizon qui s’assombrit davantage, le camarade socialiste et ses amis préparent les ingrédients d’une descente crépusculaire pour la Côte d’Ivoire. Comme son devancier Kragbé Gnangbé « Opadjilé », il est parvenu à se convaincre que « le sang parle mieux aux masses ». Il est temps, grand temps, de prier pour la patrie, afin de l’exorciser du péril appelé refondation
Bakary NImaga
- la préparation du scrutin du 31 octobre : Le dimanche prochain doit être consacré entièrement au vote. Les marchés pour la nourriture se feront donc le samedi 30 octobre. Ne faites aucune autre activité le dimanche prochain tant que vous et vos proches n'avez pas fini de voter. Sensibilisez tous les électeurs d’ADO à agir ainsi.
- la détermination : Chacun est conscient que le 31 octobre est la porte pour le changement en Cote d'ivoire. Il faut garder la détermination qui vous a anime jusqu'à maintenant pour ratisser large. Allez partout sensibiliser et former à bien voter ADO. Exposez a tous les Ivoiriens sans exclusion, les solutions d’ADO pour la Côte d’Ivoire, pour la famille, les jeunes, la femme, l'emploi, la santé, etc. Ne répondez pas aux provocations d'où qu'elles viennent. Restez concentrés sur l'objectif.
Motus : Sang
Depuis dix ans, son règne inaugure le rendez-vous du sang. On passerait toute une année à égrener les tueries orchestrées par la refondation qui nous avait pourtant promis « une transition pacifique au pouvoir d’Etat ». Le discours n’a pas résisté à l’attrait du pouvoir et à ses privilèges. Que de sang versé sur le terrain de la conquête et de la confiscation des manettes de l’Etat ! Avec le grand chef aux affaires, la République a perdu énormément de sang. On eût dit un régime de type vampirique qui a besoin en permanence de sang pour se régénérer ! Octobre 2000, janvier 2001, Mars 2004, Novembre 2004, pour ne citer que ces évènements tragiques. Comme si cela ne suffisait pas, le vendredi dernier à Lakota, le cortège présidentiel a fait cinq morts. Le sang, toujours le sang, toutes sortes de sang, pour se maintenir au perchoir. Il faut inaugurer tous les moyens pour que la pérennité soit acquise pour l’ancien opposant historique. Le camarade socialiste, nous avait bien prévenu : « mille morts à gauche, mille morts à droite, moi, j’avance ». Pour la présidentielle du 31 octobre, le ton est encore à la menace. Avec les discours belliqueux des pontes du régime et surtout les « révélations » bien apocalyptiques du « prophète des aurores », Zahiri Ziki. Face à l’atmosphère de fin de règne qui se précise à la refondation, les caciques au pouvoir nous présentent des schémas de sang. « Le fils du pays », « l’enfant des élections » ou encore le curieux « candidat des Ivoiriens » qui se fait entourer par des occidentaux, a visiblement le dos au mur. Son message usé et usité, qui a servi à instrumentaliser une partie des Ivoiriens et à les dresser contre les autres composantes de la société, ne prospère plus. Face à ce drame intérieur, devant un horizon qui s’assombrit davantage, le camarade socialiste et ses amis préparent les ingrédients d’une descente crépusculaire pour la Côte d’Ivoire. Comme son devancier Kragbé Gnangbé « Opadjilé », il est parvenu à se convaincre que « le sang parle mieux aux masses ». Il est temps, grand temps, de prier pour la patrie, afin de l’exorciser du péril appelé refondation
Bakary NImaga