Les habitants d’Anyama-gare ne sont pas au bout de leur peine malgré l’assouplissement du couvre-feu. Ils sont harcelés en pleine nuit et dépossédés de leur bien par des individus en tenue militaire. Plusieurs témoignages concordants confirment les faits.
Coulisses Publié le vendredi 10 décembre 2010 | Le Patriote