La Commission nationale des droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) appelle les autorités militaires ivoiriennes (FDS et FAFN) à rétablir sans délai la liberté de la circulation des personnes et des biens en levant les barrages sur toute l’étendue du territoire national. Des observateurs de la crise ivoirienne estiment que la Commission devait aller plus loin en demandant la levée du blocus au Golf Hôtel.
Coulisses Publié le lundi 10 janvier 2011 | L’intelligent d’Abidjan