Le couvre-feu décrété à Abobo et Anyama profite actuellement aux transporteurs. Les tarifs sont en hausse, au grand désarroi des populations. Pendant ce temps, les populations d’Abobo-Sogefia disent vivre dans la terreur.
Coulisses Publié le vendredi 14 janvier 2011 | L’intelligent d’Abidjan