« Le montage juridico-politique issu de l'attelage Laurent Gbagbo-Yao Paul N'Dré est bien visible d'autant plus que le litigieux article 64 du code électoral ivoirien aurait pu permettre une réorganisation des votes dans ces zones avec plus de vigilance afin d'éviter les griefs à la base de la requête. Mais en optant pour la facilité et en agissant comme de véritables va-t-en-guerre, le président du Conseil constitutionnel, Yao Paul N'Dré en bon mercenaire du Droit et les ''sages'' du Conseil constitutionnel, ont manqué d'indépendance, de conscience et de lumière », a écrit dans une contribution, Goullom Ouattara, ancien élève de Yao-N'Dré, avocat au Barreau de Sarreguemines, France, et consultant en droit économique à Nuremberg, Allemagne.
Coulisses Publié le samedi 15 janvier 2011 | Nord-Sud