L’unique pharmacie de Biankouma refuse, depuis le déclenchement de la crise post-électorale, de servir les bons de la MUGEFCI, au grand dam des adhérents à qui l’on prélève toujours les cotisations. Cette situation est une mesure prise par le pharmacien pour mieux gérer ses ressources pendant cette période trouble que vit la Côte d’Ivoire.
Coulisses Publié le mardi 18 janvier 2011 | Nord-Sud