La France privilégie les sanctions financières, plutôt qu`une intervention militaire africaine, pour forcer le président sortant, Laurent Gbagbo à quitter le pouvoir, a déclaré, hier, la ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie. La ministre a affirmé que les chefs d`Etat de l`Union africaine, qui se réuniront dimanche à Addis-Abeba, allaient accroître la pression sur Laurent Gbagbo. « Il y aura probablement des mesures supplémentaires qui vont être prises à cette occasion », a-t-elle confié.
Coulisses Publié le samedi 29 janvier 2011 | Nord-Sud