L'hôpital général Thérèse Houphouet-Boigny de la commune d'Abobo a été, mardi, le théâtre d'une scène relevant de la barbarie. Ce sont au moins trois civils blessés par balles qui auraient été tirés de leur lit par des gendarmes fidèles à Laurent Gbagbo. A les en croire, l'ordre qui venait de leur hiérarchie devait être exécuté au risque d'être considérés comme des personnes appartenant au camp du président élu. Que sont-ils devenus ?
Coulisses Publié le jeudi 10 février 2011 | Nord-Sud