Eburnews - Il est à la tête, pour la zone Afrique de l’Ouest et du Centre, du géant mondial de l’Informatique, MICROSOFT.
Dans cette mission, Ibrahim YOUSSRY s’est donné pour ambition de mettre l’informatique à la disposition de l’Afrique. Car, sa conviction est que la technologie est aujourd’hui l’alternative au développement de l’Afrique.
Entretien avec ce patron qui veut informatiser l’Afrique.
Est-ce qu’en arrivant à la tête de MICROSOFT Afrique de l’Ouest et du Centre, vous ne vous dites pas : « MICROSOFT est déjà mondialement connu, il n’y a plus rien à prouver.» Y avait-il une réelle motivation en y arrivant ?
Bien sûr, il y a une motivation évidente. Déjà par la volonté de développer et d’accroitre notre marché, il y a une motivation. Vous devez savoir que mon métier est un métier d’action. Il faut agir, ouvrir des horizons, et mesurer les impacts dans les pays où nous travaillons.
Professionnellement, quels sont vos challenges, vos défis au niveau de MICROSOFT WCA (West and Central Africa ?
Les défis sont énormes. La zone géographique dont nous avons la charge couvre 14 pays. Vous devez vous douter que nos challenges, c’est de développer MICROSOFT dans ces pays-là. Professionnellement, moi et toute l’équipe de MICROSOFT Afrique de l’ouest et du Centre, nous travaillons à développer l’écosystème informatique de nos partenaires. Personnellement, je veux continuer à partager ma passion pour les technologies avec le plus grands nombre de personnes, de pays.
Depuis combien de temps est-il présent en Afrique et plus particulièrement en Afrique de l’ouest et du Centre ?
Depuis 2000, MICROSOFT est présent en Afrique. Mais la présence physique à Abidjan et à Dakar date respectivement de 2004 et 2007.
Quels sont les grands chantiers sur lesquels vous travaillez en ce moment ?
Ecoutez, nous avons beaucoup de chantiers. Et la nature des chantiers est différente selon qu’on se retrouve dans tel ou tel pays. Mais, dans l’ensemble, nous travaillons à faire connaître Microsoft. Nous continuons à jouer notre rôle de fournisseur de solutions globales informatiques. Je n’oublierai pas la promotion du Cloud Computing ou si vous voulez l’informatique dématérialisée.
Avez-vous l’impression que vos objectifs sont atteints ?
Les échos sont favorables. Il faut continuer à travailler. Je vous ai indiqué tout à l’heure que ce métier demande de l’action. C’est le signe qu’il y a d’énormes défis à relever.
L’Afrique de l’Ouest représente-t-elle un réel marché pour les technologies Microsoft ? A combien peut-on l’évaluer? Combien représente la Côte d’Ivoire en termes de chiffres d’affaires, de clients ?
C’est clair que le marché existe. Et je peux vous dire que la Côte d’Ivoire a un réel potentiel.
Quand on dit MICROSOFT, le commun des mortels pense à matériel informatique en l’occurrence des ordinateurs. Ce qui n’est pas tout à fait vrai, n’est-ce pas ? Que vend exactement MICROSOFT ?
Bah, Microsoft essaie de satisfaire les besoins des entreprises, des professionnels et des utilisateurs de technologies.
Partant de là, Microsoft vend des infrastructures, des plateformes technologiques, des applications, des services informatiques.
MICROSOFT est champion dans l’avancée technologique. Qu’avez-vous, en ce moment sur le marché comme produits innovants, par exemple ?
Ah, je peux vous dire qu’en termes de nouveautés, les produits ne manquent pas. Alors, en ce moment Microsoft a mis sur le marché Windows 7, un système d’exploitation plus sécurisé et qui quelques mois après sa mise sur le marché est aujourd’hui le plus vendu dans le monde. Il y a aussi LINK, un système de communication externe et interne pour les entreprises. L’actualité en ce moment, c’est aussi Office 2010, Cloud Computing et Windows Phone System Mobile.
Voilà un peu dans l’ensemble. Je dois dire que les produits Microsoft ne sont pas des produits de luxe. Ils sont à la portée de tous. C’est important de le préciser.
La vision de Microsoft Afrique de l’ouest et du Centre est de « Mettre la technologie au service du développement » de l’Afrique Subsaharienne. Pouvez-vous expliquez le choix d’une telle option ?
La technologie a toujours été un facteur de facilitation. L’Afrique est en retard, la technologie doit être un catalyseur pour rattraper ce retard et même dépasser le reste du monde. Il s’agit pour nous de mettre la technologie à la disposition de L’Afrique.
De quels instruments dispose Microsoft Afrique de l’ouest et du Centre pour arriver à faire de cette vision une réalité ?
Nous disposons d’une équipe et nous faisons la formation continue de nos partenaires sur les plateformes. Nous mettons à disposition des ressources humaines et une expertise.
Existe-t-il une solution sur mesure pour l’Afrique au regard de son développement technologique relativement moyen ?
Nous n’avons pas de solutions spécifiques. Nous commençons de façon graduelle par la base, les infrastructures, les applications et ensuite le développement.
Il y a en Afrique un certain nombre de problèmes tels le faible taux d’alphabétisation, la fracture numérique, est-ce que vouloir développer l’Afrique par les technologies, dans le contexte actuel, ce n’est pas mettre la charrue avant les bœufs ?
Après une longue liste de technologies pouvant aider les pays africains dans cette période de crise, M. Youssry souligne que « Microsoft permet aux sociétés Sénégalaises de la place de bénéficier des avantages des technologies de pointe grâce à ses actions civiques ». Il rappelle ainsi que « l’État joue un rôle très important, principalement en facilitant l’accès aux nouvelles technologies en les rendant abordables à toutes les couches sociales Sénégalaises et Africaines, en encourageant et en communiquant sur l’innovation et les avantages de la technologie, et finalement en protégeant les sociétés contre le piratage et en faisant appliquer les lois en vigueur »
Dans cette mission, Ibrahim YOUSSRY s’est donné pour ambition de mettre l’informatique à la disposition de l’Afrique. Car, sa conviction est que la technologie est aujourd’hui l’alternative au développement de l’Afrique.
Entretien avec ce patron qui veut informatiser l’Afrique.
Est-ce qu’en arrivant à la tête de MICROSOFT Afrique de l’Ouest et du Centre, vous ne vous dites pas : « MICROSOFT est déjà mondialement connu, il n’y a plus rien à prouver.» Y avait-il une réelle motivation en y arrivant ?
Bien sûr, il y a une motivation évidente. Déjà par la volonté de développer et d’accroitre notre marché, il y a une motivation. Vous devez savoir que mon métier est un métier d’action. Il faut agir, ouvrir des horizons, et mesurer les impacts dans les pays où nous travaillons.
Professionnellement, quels sont vos challenges, vos défis au niveau de MICROSOFT WCA (West and Central Africa ?
Les défis sont énormes. La zone géographique dont nous avons la charge couvre 14 pays. Vous devez vous douter que nos challenges, c’est de développer MICROSOFT dans ces pays-là. Professionnellement, moi et toute l’équipe de MICROSOFT Afrique de l’ouest et du Centre, nous travaillons à développer l’écosystème informatique de nos partenaires. Personnellement, je veux continuer à partager ma passion pour les technologies avec le plus grands nombre de personnes, de pays.
Depuis combien de temps est-il présent en Afrique et plus particulièrement en Afrique de l’ouest et du Centre ?
Depuis 2000, MICROSOFT est présent en Afrique. Mais la présence physique à Abidjan et à Dakar date respectivement de 2004 et 2007.
Quels sont les grands chantiers sur lesquels vous travaillez en ce moment ?
Ecoutez, nous avons beaucoup de chantiers. Et la nature des chantiers est différente selon qu’on se retrouve dans tel ou tel pays. Mais, dans l’ensemble, nous travaillons à faire connaître Microsoft. Nous continuons à jouer notre rôle de fournisseur de solutions globales informatiques. Je n’oublierai pas la promotion du Cloud Computing ou si vous voulez l’informatique dématérialisée.
Avez-vous l’impression que vos objectifs sont atteints ?
Les échos sont favorables. Il faut continuer à travailler. Je vous ai indiqué tout à l’heure que ce métier demande de l’action. C’est le signe qu’il y a d’énormes défis à relever.
L’Afrique de l’Ouest représente-t-elle un réel marché pour les technologies Microsoft ? A combien peut-on l’évaluer? Combien représente la Côte d’Ivoire en termes de chiffres d’affaires, de clients ?
C’est clair que le marché existe. Et je peux vous dire que la Côte d’Ivoire a un réel potentiel.
Quand on dit MICROSOFT, le commun des mortels pense à matériel informatique en l’occurrence des ordinateurs. Ce qui n’est pas tout à fait vrai, n’est-ce pas ? Que vend exactement MICROSOFT ?
Bah, Microsoft essaie de satisfaire les besoins des entreprises, des professionnels et des utilisateurs de technologies.
Partant de là, Microsoft vend des infrastructures, des plateformes technologiques, des applications, des services informatiques.
MICROSOFT est champion dans l’avancée technologique. Qu’avez-vous, en ce moment sur le marché comme produits innovants, par exemple ?
Ah, je peux vous dire qu’en termes de nouveautés, les produits ne manquent pas. Alors, en ce moment Microsoft a mis sur le marché Windows 7, un système d’exploitation plus sécurisé et qui quelques mois après sa mise sur le marché est aujourd’hui le plus vendu dans le monde. Il y a aussi LINK, un système de communication externe et interne pour les entreprises. L’actualité en ce moment, c’est aussi Office 2010, Cloud Computing et Windows Phone System Mobile.
Voilà un peu dans l’ensemble. Je dois dire que les produits Microsoft ne sont pas des produits de luxe. Ils sont à la portée de tous. C’est important de le préciser.
La vision de Microsoft Afrique de l’ouest et du Centre est de « Mettre la technologie au service du développement » de l’Afrique Subsaharienne. Pouvez-vous expliquez le choix d’une telle option ?
La technologie a toujours été un facteur de facilitation. L’Afrique est en retard, la technologie doit être un catalyseur pour rattraper ce retard et même dépasser le reste du monde. Il s’agit pour nous de mettre la technologie à la disposition de L’Afrique.
De quels instruments dispose Microsoft Afrique de l’ouest et du Centre pour arriver à faire de cette vision une réalité ?
Nous disposons d’une équipe et nous faisons la formation continue de nos partenaires sur les plateformes. Nous mettons à disposition des ressources humaines et une expertise.
Existe-t-il une solution sur mesure pour l’Afrique au regard de son développement technologique relativement moyen ?
Nous n’avons pas de solutions spécifiques. Nous commençons de façon graduelle par la base, les infrastructures, les applications et ensuite le développement.
Il y a en Afrique un certain nombre de problèmes tels le faible taux d’alphabétisation, la fracture numérique, est-ce que vouloir développer l’Afrique par les technologies, dans le contexte actuel, ce n’est pas mettre la charrue avant les bœufs ?
Après une longue liste de technologies pouvant aider les pays africains dans cette période de crise, M. Youssry souligne que « Microsoft permet aux sociétés Sénégalaises de la place de bénéficier des avantages des technologies de pointe grâce à ses actions civiques ». Il rappelle ainsi que « l’État joue un rôle très important, principalement en facilitant l’accès aux nouvelles technologies en les rendant abordables à toutes les couches sociales Sénégalaises et Africaines, en encourageant et en communiquant sur l’innovation et les avantages de la technologie, et finalement en protégeant les sociétés contre le piratage et en faisant appliquer les lois en vigueur »
