Eburnews - Revenu de blessure, Salomon Kalou a repris sa place dans le groupe de Chelsea où il fait son trou. Il se prononce sur l’arrivée de Fernando Tores sur le front de l’attaque des Blues.
Comment allez-vous Salomon ?
Merci de penser de à moi, ça va plutôt bien. Personnellement, je respire la forme après ma blessure à la cuisse qui est maintenant un vieux souvenir derrière moi. J’ai recommencé à jouer. Et les choses se déroulent assez bien.
Seulement assez bien ?
Non, écoutez, c’est juste une manière de parler. Mais globalement, tout se passe bien entre les coéquipiers et moi. Il y a une très bonne ambiance dans le groupe, je m’entends aussi bien avec le coach, en tout cas tout se passe bien.
Le problème, c’est que vous n’êtes pas titulaire comme vous le souhaitez…
Ecoutez, nous sommes un groupe d’une trentaine de joueurs. Et seul l’entraîneur fait ses choix. Des choix qu’on ne peut pas discuter. Pour le moment, il fait confiance à un groupe qui ne le déçoit pas. Comme on dit dans notre jargon, on ne change pas une équipe qui gagne, même si à un moment donné, nous avons connu un passage à vide. Ce qui arrive à tous les grands clubs. Il arrivera un moment où j’aurai son entière confiance.
Vous n’étiez déjà pas titulaire, avec l’arrivée de Tores sur le front de l’attaque, n’êtes-vous pas en danger ?
(Rires). Pas du tout ! Pourquoi voulez-vous que je sois en danger ? Et par rapport à quoi ? Bien au contraire, l’arrivée de Tores m’arrange. Ça va nous amener à évoluer en 4-4-2 où j’ai ma place au lieu du 4-3-3 où ma marge de manœuvre est réduite.
Est-ce Drogba qui est danger ?
Je ne dis pas ça, mais je ne suis pas le concurrent direct de Torres, moi j’évolue plus sur le côté. C’est Didier qui est conccurence direct avec lui. Mais je pense qu’ils seront associés.
Ne pensez-vous pas que Chelsea a plus besoin d’un meneur que d’un attaquant à ce jour?
Ce n’est pas faux, mais la décision revient au staff technique et à la direction du club. Dans l’équipe, il y a des cadres qui ne bougent pas souvent, donc ça réduit la marge de manœuvre de l’entraîneur, quel qu’il soit. Pour le moment, on fait avec.
Comment vivez-vous de loin la crise politique en Côte d’Ivoire ?
Nous, sportifs, ne pouvons que demander aux politiques de s’entendre pour mettre fin à la souffrance de l’ensemble des Ivoiriens. Car même d’ici, nous savons que c’est dur au pays. Tous, nous prions pour la fin effective de la crise.
Réalisé au téléphone par Tibet Kipré
Comment allez-vous Salomon ?
Merci de penser de à moi, ça va plutôt bien. Personnellement, je respire la forme après ma blessure à la cuisse qui est maintenant un vieux souvenir derrière moi. J’ai recommencé à jouer. Et les choses se déroulent assez bien.
Seulement assez bien ?
Non, écoutez, c’est juste une manière de parler. Mais globalement, tout se passe bien entre les coéquipiers et moi. Il y a une très bonne ambiance dans le groupe, je m’entends aussi bien avec le coach, en tout cas tout se passe bien.
Le problème, c’est que vous n’êtes pas titulaire comme vous le souhaitez…
Ecoutez, nous sommes un groupe d’une trentaine de joueurs. Et seul l’entraîneur fait ses choix. Des choix qu’on ne peut pas discuter. Pour le moment, il fait confiance à un groupe qui ne le déçoit pas. Comme on dit dans notre jargon, on ne change pas une équipe qui gagne, même si à un moment donné, nous avons connu un passage à vide. Ce qui arrive à tous les grands clubs. Il arrivera un moment où j’aurai son entière confiance.
Vous n’étiez déjà pas titulaire, avec l’arrivée de Tores sur le front de l’attaque, n’êtes-vous pas en danger ?
(Rires). Pas du tout ! Pourquoi voulez-vous que je sois en danger ? Et par rapport à quoi ? Bien au contraire, l’arrivée de Tores m’arrange. Ça va nous amener à évoluer en 4-4-2 où j’ai ma place au lieu du 4-3-3 où ma marge de manœuvre est réduite.
Est-ce Drogba qui est danger ?
Je ne dis pas ça, mais je ne suis pas le concurrent direct de Torres, moi j’évolue plus sur le côté. C’est Didier qui est conccurence direct avec lui. Mais je pense qu’ils seront associés.
Ne pensez-vous pas que Chelsea a plus besoin d’un meneur que d’un attaquant à ce jour?
Ce n’est pas faux, mais la décision revient au staff technique et à la direction du club. Dans l’équipe, il y a des cadres qui ne bougent pas souvent, donc ça réduit la marge de manœuvre de l’entraîneur, quel qu’il soit. Pour le moment, on fait avec.
Comment vivez-vous de loin la crise politique en Côte d’Ivoire ?
Nous, sportifs, ne pouvons que demander aux politiques de s’entendre pour mettre fin à la souffrance de l’ensemble des Ivoiriens. Car même d’ici, nous savons que c’est dur au pays. Tous, nous prions pour la fin effective de la crise.
Réalisé au téléphone par Tibet Kipré
