A l’occasion de la Journée internationale de la femme, le sous-préfet de Tafiré, Sylla Moustapha, a prôné le maintien de la cohésion sociale. « Nous devons puiser en nous-mêmes les énergies nécessaires pour préserver un environ apaisé à Tafiré », a-t-il exhorté, a rapporté une source sur place. Koné Fatoumata, porte-parole des femmes, a plaidé pour l’organisation de séminaires sur la crise ivoirienne, de voyages de contact avec d’autres femmes des différentes régions du pays.
Coulisses Publié le jeudi 10 mars 2011 | Nord-Sud