Partout dans le monde depuis plus de 100 ans, la journée du 8 mars est dédiée aux femmes et au respect de leurs droits. De nombreux événements sont organisés sur tous les continents pour mettre en lumière le combat pour l’égalité des sexes, et cela dans tous les domaines. Cette année, la Journée internationale des droits de la Femme est consacrée à l’éducation et à l’accès à un travail décent.
Comme l’explique Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, l'égalité des sexes et l’accès à l’autonomie des femmes sont des impératifs à la fois économique et social. Tant que les femmes n'auront pas été libérées de la pauvreté et de l'injustice, la réalisation de tous nos objectifs – la paix, la sécurité, le développement durable – sera aléatoire.
Malgré l’implication de l’ONU dans le combat pour l’égalité hommes/femmes des inégalités souvent marquées persistent dans tous les pays. Notamment en matière d’accès à l’éducation, à l’emploi, d’égalité des salaires et de représentation politique. Pour en savoir davantage sur ce sujet, vous pouvez d’ailleurs vous rendre sur le tout nouveau portail de l’ONU Femmes à l’adresse www.unwomen.org/fr.
D’après les Nations Unies, les deux tiers des 774 millions d’adultes illettrés dans le monde sont des femmes. Or cette proportion est inchangée depuis 20 ans, ce qui traduit l’absence de toute évolution probante. L’Afrique sub-saharienne et l’Asie du Sud-Est restent les régions les plus touchées par ces inégalités. Toutefois, les pays développés continuent de présenter des disparités importantes et inadmissibles. En France par exemple, à peine 18,5% des députés étaient des femmes en 2007. Un chiffre qui est très loin d’être représentatif de la composition de la population bien sûr, même s’il est en progression par rapport au scrutin précédent où il ne dépassait pas 12%…
Au niveau européen, l’écart moyen de rémunération entre les hommes et les femmes – à poste et compétence égaux naturellement - est de 17,8%. En France, 82% des personnes travaillant à temps partiel sont des femmes. Ce temps partiel est contraint pour au moins 30% d’entre elles, qui ne parviennent pas à trouver d’emploi à temps plein.
Comme l’explique Ban Ki-moon, Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, l'égalité des sexes et l’accès à l’autonomie des femmes sont des impératifs à la fois économique et social. Tant que les femmes n'auront pas été libérées de la pauvreté et de l'injustice, la réalisation de tous nos objectifs – la paix, la sécurité, le développement durable – sera aléatoire.
Malgré l’implication de l’ONU dans le combat pour l’égalité hommes/femmes des inégalités souvent marquées persistent dans tous les pays. Notamment en matière d’accès à l’éducation, à l’emploi, d’égalité des salaires et de représentation politique. Pour en savoir davantage sur ce sujet, vous pouvez d’ailleurs vous rendre sur le tout nouveau portail de l’ONU Femmes à l’adresse www.unwomen.org/fr.
D’après les Nations Unies, les deux tiers des 774 millions d’adultes illettrés dans le monde sont des femmes. Or cette proportion est inchangée depuis 20 ans, ce qui traduit l’absence de toute évolution probante. L’Afrique sub-saharienne et l’Asie du Sud-Est restent les régions les plus touchées par ces inégalités. Toutefois, les pays développés continuent de présenter des disparités importantes et inadmissibles. En France par exemple, à peine 18,5% des députés étaient des femmes en 2007. Un chiffre qui est très loin d’être représentatif de la composition de la population bien sûr, même s’il est en progression par rapport au scrutin précédent où il ne dépassait pas 12%…
Au niveau européen, l’écart moyen de rémunération entre les hommes et les femmes – à poste et compétence égaux naturellement - est de 17,8%. En France, 82% des personnes travaillant à temps partiel sont des femmes. Ce temps partiel est contraint pour au moins 30% d’entre elles, qui ne parviennent pas à trouver d’emploi à temps plein.