L’inégalité entre les pays du Nord et ceux du Sud ne se lit plus seulement aujourd’hui en termes de fracture sociale économique, culturelle, etc. Une nouvelle fracture dite numérique a vu le jour depuis l’avènement des nouvelles technologies.
La fracture numérique est définie comme l`inégalité d`accès aux technologies numériques. La fracture est certes récente, mais elle engendre énormément de conséquences. Au point où, la résolution de cette fracture a été mise au cœur des préoccupations du géant mondial de l’informatique MICROSOFT.
L`objectif visé n`est pas l`égalité de tout le monde à l’accès à Internet, à la téléphonie ou au numérique, car c`est utopique. Les questions de fond, c’est de voir comment faire pour réduire cette fracture, comment organiser la lutte. Voilà le défi.
La fracture numérique est désormais une priorité pour MICROSOFT en Afrique d’autant plus que l’entreprise relie le problème à des enjeux socio-économique de développement sur le continent africain.
Pour les responsables de Microsoft Afrique de l’Ouest en effet, il faut avoir une compréhension large de la fracture numérique. Il ne s`agit pas seulement d`enjeux d`infrastructures et de connectivité, mais plus généralement d`accès aux contenus et aux savoirs. On ne peut pas séparer trois dimensions : les infrastructures, qui englobent l`équipement, la formation, et enfin la participation, celle-ci étant le fait de donner à tous les moyens de ne pas être pas uniquement un consommateur d`information, mais un citoyen actif dans la société de l`information.
MICROSOFT est convaincu que les programmes de lutte contre la fracture numérique ne doivent pas s`arrêter au premier volet. Aujourd`hui, il faut redonner la priorité au deuxième et au troisième.
Dans cette logique, MICROSOFT va même plus loin. Car, s’il vrai est que la réduction de la fracture numérique a des enjeux énormes allant jusqu’à la lutte contre la pauvreté, la multinationale américaine et ses filiales en Afrique pensent plutôt que les moyens devraient être aussi mobilisés en amont, c`est-à-dire associés les populations ciblées à la conceptualisation et à la conception des technologies de l`information. On se rappelle que le concours Imagin Cup (compétition mondiale de l’informatique entre les étudiants de la planète) a été conçu à cet effet. Structurellement, la conception de la lutte contre la fracture numérique par MICROSOFT est d’autant plus juste qu’elle pose un problème réaliste. Comment en effet des nations ou des communautés, comme celles d’Afrique par exemple, qui sont en marge de la conception des outils numériques peuvent-elles participer à leurs exploitations? L`essentiel alors ce n`est pas de demander des fonds pour la lutte contre la pauvreté, mais c`est surtout, et c`est capital, d`avoir accès et de participer à l`information.
Pour mener à bien cette lutte, MICROSOFT Afrique de l’Ouest et du Centre s’appuie, et va continuer de le faire, sur des partenaires locaux et divers dans la conduite des projets et dans la vulgarisation de l’outil informatique et des nouvelles technologies. Médias, ONG, étudiants, pouvoirs publics, entreprises, etc. tous seront associés à la lutte aux côtés du leader mondial des logiciels.
La fracture numérique est définie comme l`inégalité d`accès aux technologies numériques. La fracture est certes récente, mais elle engendre énormément de conséquences. Au point où, la résolution de cette fracture a été mise au cœur des préoccupations du géant mondial de l’informatique MICROSOFT.
L`objectif visé n`est pas l`égalité de tout le monde à l’accès à Internet, à la téléphonie ou au numérique, car c`est utopique. Les questions de fond, c’est de voir comment faire pour réduire cette fracture, comment organiser la lutte. Voilà le défi.
La fracture numérique est désormais une priorité pour MICROSOFT en Afrique d’autant plus que l’entreprise relie le problème à des enjeux socio-économique de développement sur le continent africain.
Pour les responsables de Microsoft Afrique de l’Ouest en effet, il faut avoir une compréhension large de la fracture numérique. Il ne s`agit pas seulement d`enjeux d`infrastructures et de connectivité, mais plus généralement d`accès aux contenus et aux savoirs. On ne peut pas séparer trois dimensions : les infrastructures, qui englobent l`équipement, la formation, et enfin la participation, celle-ci étant le fait de donner à tous les moyens de ne pas être pas uniquement un consommateur d`information, mais un citoyen actif dans la société de l`information.
MICROSOFT est convaincu que les programmes de lutte contre la fracture numérique ne doivent pas s`arrêter au premier volet. Aujourd`hui, il faut redonner la priorité au deuxième et au troisième.
Dans cette logique, MICROSOFT va même plus loin. Car, s’il vrai est que la réduction de la fracture numérique a des enjeux énormes allant jusqu’à la lutte contre la pauvreté, la multinationale américaine et ses filiales en Afrique pensent plutôt que les moyens devraient être aussi mobilisés en amont, c`est-à-dire associés les populations ciblées à la conceptualisation et à la conception des technologies de l`information. On se rappelle que le concours Imagin Cup (compétition mondiale de l’informatique entre les étudiants de la planète) a été conçu à cet effet. Structurellement, la conception de la lutte contre la fracture numérique par MICROSOFT est d’autant plus juste qu’elle pose un problème réaliste. Comment en effet des nations ou des communautés, comme celles d’Afrique par exemple, qui sont en marge de la conception des outils numériques peuvent-elles participer à leurs exploitations? L`essentiel alors ce n`est pas de demander des fonds pour la lutte contre la pauvreté, mais c`est surtout, et c`est capital, d`avoir accès et de participer à l`information.
Pour mener à bien cette lutte, MICROSOFT Afrique de l’Ouest et du Centre s’appuie, et va continuer de le faire, sur des partenaires locaux et divers dans la conduite des projets et dans la vulgarisation de l’outil informatique et des nouvelles technologies. Médias, ONG, étudiants, pouvoirs publics, entreprises, etc. tous seront associés à la lutte aux côtés du leader mondial des logiciels.