Avant de faire connaître hier le soutien officiel de son pays a la position de l'Union Africaine, le président Jacob Zuma a échangé longuement au téléphone avec Laurent Gbagbo. Durant une heure, il a expliqué la bonne foi et le sérieux du panel. Par contre Dos Santos et l'Angola refusent de faire des pressions directes sur Gbagbo. Selon Luanda si Laurent Gbagbo accepte sous la pression, les décisions de l'UA, il ne les appliquera pas franchement. L'Angola estime,pour le moment, donc qu'il faut le laisser assumer ce qui est bon pour son peuple.
Coulisses Publié le mercredi 16 mars 2011 | L’intelligent d’Abidjan