PARIS - La force française Licorne présente à Abidjan a été renforcée récemment de quelque 150 hommes, ce qui porte son effectif global "à environ 1.050-1.100 soldats", a indiqué vendredi le ministère de la Défense sur son site internet.
Licorne, dont toutes les unités ont été regroupées à Abidjan, comptait
jusqu`alors environ 900 hommes.
"La force française basée à Abidjan a récemment bénéficié de l`envoi d`une
unité supplémentaire de l`ordre de 150 hommes, ce qui ramène l`effectif global
à environ 1.050-1.100 soldats sur la zone", écrit le ministère.
Des "patrouilles renforcées" de soldats français sont déployées depuis
jeudi en zone 4, les quartiers sud d`Abidjan, pour protéger notamment les
ressortissants français et d`autres nationalités des groupes de pillards.
Selon l`état-major des armées, quelque 700 ressortissants français et
d`autres nationalités ont été regroupés depuis jeudi dans le camp militaire
français de Port-Bouët pour échapper aux violences.
Au plus fort de la présence militaire française, la force Licorne a compté
5.300 hommes en Côte d`Ivoire en novembre 2004, quand neuf soldats français
avaient été tués à Bouaké (centre) dans une attaque de l`aviation loyaliste.
Licorne, dont toutes les unités ont été regroupées à Abidjan, comptait
jusqu`alors environ 900 hommes.
"La force française basée à Abidjan a récemment bénéficié de l`envoi d`une
unité supplémentaire de l`ordre de 150 hommes, ce qui ramène l`effectif global
à environ 1.050-1.100 soldats sur la zone", écrit le ministère.
Des "patrouilles renforcées" de soldats français sont déployées depuis
jeudi en zone 4, les quartiers sud d`Abidjan, pour protéger notamment les
ressortissants français et d`autres nationalités des groupes de pillards.
Selon l`état-major des armées, quelque 700 ressortissants français et
d`autres nationalités ont été regroupés depuis jeudi dans le camp militaire
français de Port-Bouët pour échapper aux violences.
Au plus fort de la présence militaire française, la force Licorne a compté
5.300 hommes en Côte d`Ivoire en novembre 2004, quand neuf soldats français
avaient été tués à Bouaké (centre) dans une attaque de l`aviation loyaliste.