Gueu Droh, président du parti communiste ivoirien, n’a pas pris le chemin de l’exil. Il n’a même pas quitté le ‘’quartier Latin’’ à Adjamé où il vit depuis des années. Hier matin, sanglé dans un ensemble vert quelque peu déteint et avec des lunettes noires, le communiste ivoirien faisait les cent pas dans son quartier.
Coulisses Publié le mercredi 4 mai 2011 | Nord-Sud